Chapitre 19 : ressasser le passé

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Portugal, Figueiras
Elias :

L'entrainement d'hier ma énerver. Chaque fois que je glisser un plot tombé et ma colère augmenter à chaque erreur. Les minutes puis les heures passées, je ne voyais aucun changement dans ma conduite. Elle peut, peut-être réussir cette exercice haut la main mais pas moi.

Il va falloir que j'assume la conséquence de mes actes car je suis partie en lui offrant mon majeur. Les caméras on du capturer l'instant. La mécanicienne n'a pas du être très heureuse.

Avant de repartir au circuit, je parle à mes potes par messages en leur expliquant un peu ce qu'il c'est passé depuis l'autre jour.

Vasco : Tu va t'en prendre une !

Tonio : Tu a intérêt à fermer ta bouche sinon tu va finir dans un documentaire policier et ça sera toi la victime !

Je lève les yeux au ciel puis éteint mon téléphone.

Les images d'hier me reviennent à l'esprit. Il faut que j'arrive à canaliser cette colère quelque pars, sinon jamais je pourrais gagner un seul championnat.

Elle me gâche la vie...

Je n'ai pas toujours était comme ça. Avant, les courses m'aider à me sentir calme alors que la colère pulser en moi. Mon oncle la très vite remarquer, c'est pour ça qu'il ma coller dans un kart depuis gamin.

Après sa mort, on ma diagnostiqué un TEI, trouble explosif intermittent, la psychologue ma expliqué que c'était mon sport qui canaliser la colère. Mais au fil du temps, je ne suis plus jamais aller la voir.

C'est surement une grosse connerie, mais pour moi, je n'ai plus besoin de suivie. J'arrive à gérer la plupart de mes excès, sauf pendant la course. Tout explose. Mon corps brûle d'une rage inexplicable.

En pensant à la colère, je la sens montée petit à petit. Ma respiration se saccade et mes poings se serrent.

Ferme les yeux...

Ne pense plus à rien...

Refroidie ton corps...

J'essaye de trouver un point d'ancrage, d'apaisement, de détente. Impossible. Les courses que j'ai effectuées tournent dans ma tête. Mon manager qui me gueule dessus se charge d'écho.
Mes mains sur mes oreilles pour ne plus l'entendre prononcer des mots tranchants. Je plisse mes yeux tellement forts que j'en ai mal à la tête. Je fais défiler des images dans mon esprit quand, la mécanicienne pointe le bout de son nez.

D'où elle sort...

Ma respiration se calme, ses mèches de cheveux rouges volent dans le vent, son sourire aussi beau que des milliers d'étoiles coupent la voix de mon manager.

Elle se met à courir sur du sable blanc et mes jambes la suivent. Un petit rire résonne telle un ange, ses pieds renvoient du sable à chaque pas. Mes bras entourent sa taille, nous tombons ensemble dans des éclats de rire.

J'ouvre mes yeux dans l'incompréhension. Mon corps est totalement détendu, le calme plat règne dans la maison. En regardant autour de moi, la nuit est noire dehors, j'allume alors mon téléphone et je remarque l'heure paniquer.

19 h 50

J'avais rendez vous à 18 h 30, elle va me tuer. La mécanicienne aura de bonne raison pour m'engueuler au moins.

Le circuit devant moi, je prends le peut de courage que j'ai à ce moment là et me met en marche vers la tempête Rosa.

Porte tes couilles...

Le peu qui te reste d'ailleurs...

- Je crois que tu à pris un peu trop de confiance le rookie.

Drift or dieOù les histoires vivent. Découvrez maintenant