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«J'essaie d'y croire. Je me voile sûrement la face. Tu m'as poignardé dans le noir. J'ai fait confiance, aveugle était ma confiance. Et tu m'as fait du tort parce que le cerveau suit le cœur.»Nous étions couchés, en mode papouilles et petits bisous. Nous étions bien mais mon téléphone se mit à vibrer.
Au début, je fis mine de rien même si je l'avais entendu mais il vibra une deuxième fois et Farès réagit. Il se retira de moi et il prit mon téléphone. Je le laissa faire même si j'étais très inquiète par rapport au fait que je ne savais pas qui venait de m'envoyer un message. Je sentis mon coeur battre rapidement et il se retourna vers moi avec un regard noir.
Fares: C'est le numéro de l'autre narvalo ou pas ?
Je pris mon téléphone et effectivement c'était le numéro d'Hassan. Le message disait: «Ça me rend fou de savoir que là t'es dans ses bras Chaïma ! Lui il a le droit de te toucher et j'ai pas envie putain ! »
J'avais une boule au ventre. J'avais peur de la façon dont Farès allait réagir. J'avais confiance en ses promesses où il me disait que plus jamais il lèverai la main sur moi mais j'avais tout de même une petite crainte. Hassan avait tellement le don de le pousser à bout en tentant de me conquérir qu'il pouvait réagir au quart de tour.
Je lui rendis le téléphone en hochant la tête et c'est tendu qu'il lui téléphona en mettant le haut-parleur.
Hassan: Chaïma
Farès en le coupant: Prononce plus son prénom, j'vais te *****.
Hassan: Qu'est-ce que tu veux, toi ? J'ai rien à t'dire !
Farès: Moi j'ai des trucs à te dire sale **** ! T'appelles pas ma femme ! Va te chercher quelqu'un d'autre parce que Chaïma tu l'oublies. C'est de moi qu'elle est enceinte, c'est avec moi qu'elle est et qu'elle restera donc arrête de nous prendre la tête et supprime son numéro ! Tu commences à me péter les **** wAllah donc lâche-la maintenant parce que la prochaine fois j'resterai pas aussi calme !Et sur ces mots qu'il raccrocha. Il bloqua ensuite le numéro d'Hassan comme ça je n'aurai plus aucun appel ou message de la part de celui-ci puis il mit sa tête dans ses mains.
Je ne le sentais pas du tout bien. Il avait l'air nerveux, tendu, stressé alors je m'approcha de lui et j'entoura sa taille de mes bras.
Moi: Omri (*mon amour) arrête. On est marié, on s'en fiche du reste.
Farès: Laisse-moi Chaïma sinon j'vais mettre mes nerfs sur toi et j'veux pas.Je ne dis rien même si j'avais été vexé par ses propos puis je m'éloigna de lui. Je mis un gilet, j'alla faire ma toilette puis alors que je me coiffais les cheveux devant le miroir, Farès me rejoignit. Il se mit derrière moi et il déposa ses mains sur mon gros ventre.
Fares: T'as jamais rien eu avec lui Chaïma ?
Moi: Non, je ne pourrais jamais te faire ça.
Fares: Tu m'le promets ?
Moi: Mais oui, wAllah Farès.Il sourit brièvement, il me fit un bisou sur la joue et nous allâmes dormir.
Le lendemain, je me réveilla heureuse. Même si la veille, la soirée avait été gâché par Hassan, ma journée avait tout de même était parfaite.
Farès dormait encore donc je ne le dérangea pas et j'alla discrètement dans la salle-de-bain. Je me brossa les dents, me coiffa puis j'alla prendre mon petit déjeuner. Je commença ensuite à faire le ménage et Farès se réveilla à ce moment.
Pour lui, il était hors de questions que je le fasse ! Je devais me reposer pour le bébé mais bon, il fallait bien s'occuper de l'appartement quand même donc j'étais obligée. C'est alors à ma grande surprise qu'il me proposa de m'aider. Nous commençâmes donc à faire le ménage à deux. Au lieu d'être saoulant, c'était super marrant ! Nous faisions le ménage en nous amusant et je peux vous dire que c'était spécial. Il faisait le fou en dansant en pliant les draps et j'en étais morte de rire. Il était sketch à lui tout seul.
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Chaïma : de l'amour a la haine ?
AzioneCette chronique va vous raconter mon histoire. Je préfère déjà vous le dire, elle ne sera pas joyeuse, enfin si, mais..juste au début alors. Vous allez suivre mon histoire passionnelle, celle avec le seul homme que j'ai aimé en dehors de mon papa et...