Chapitre 12

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Lucas.

Il y a une chose que j'ai à dire, c'est que je suis chanceux. Je regarde la femme qui est dans ma douche, elle est sublime. Elle a de belles formes, son corps est harmonieux et délicieux, il est parfait. Cette nuit je l'ai dévoré de ma bouche et de mes yeux, c'était très agréable de la voir jouir.

En attendant, voir une femme nue dans ma douche me donne des envies, je commence à me sentir à l'étroit dans mon boxer. Je retire mes habits et la rejoins doucement, j'ai encore envie d'elle. J'entre dans la cabine et la prends dans mes bras, mes mains glissant jusqu'à sa poitrine pendant que mes lèvres se posent sur son cou. Je l'entends rire, ce qui me fait sourire à mon tour.

— Lucas, je veux prendre ma douche.

— Moi aussi. Je n'ai pas le droit de me doucher ?

— Tu as le droit, évidemment, mais j'ai envie de prendre une douche, pas de coucher avec toi. Je te sens dans mon dos.

— D'accord, je comprends.

Je la lâche et réussis à me mettre sous l'eau, changeant sa température pour une eau plus froide, ce qui fait crier et reculer Candice.

— Lucas, tu n'étais pas obligé pour l'eau froide ! Je suis gelée !

— J'étais obligé pour l'eau froide, désolé.

— T'es vraiment nul. J'ai hâte de rentrer chez moi.

— Je me douche rapidement et on pourra y aller. Tu peux fouiller dans le dressing, pour prendre une ou deux choses pour t'habiller.

— Merci.

Elle finit rapidement sa douche après avoir tiré l'eau chaude et quitte la salle de bains, je laisse mon érection diminuer totalement puis je me douche, bien que j'aurais aimé passer un petit moment avec mon amante.

Je termine rapidement ma douche une fois apaisé, je passe une serviette autour de mes hanches et je vais dans ma chambre. Candice est ici, elle porte une chemise assez longue pour la couvrir, c'est une sur-mesure, je le remarque tout de suite. Elle récupère ses talons, j'ai pu voir ce qu'elle porte en dessous, c'est un de mes boxer.

— Il est confortable ? je demande en riant

Elle se tourne vers moi en souriant, ravie de ce qu'elle porte.

— Très confortable, merci. Maintenant, peux-tu te dépêcher ? J'ai hâte de rentrer.

— Je me dépêche.

Je me dirige vers mon dressing, j'en sors un jean, un pull, un boxeur que j'enfile rapidement puis je mets mes chaussures. J'essuie mes cheveux vite fait et je retourne dans la chambre où je trouve Candice assise sur mon lit, le portable en main.

— Candice, je suis prêt.

— J'arrive.

Elle se lève en gardant les yeux sur son téléphone mais le verrouille après quelques instants. Elle récupère sa pochette, un sac qui contient ses affaires, elle a bien fait de se servir, et nous sortons de la chambre, se dirigeant vers l'ascenseur. Je récupère les clés de ma voiture et de la maison puis j'appuie sur le bouton de l'ascenseur en la regardant. Je dois avouer que si je trouve sa tenue plutôt plaisante, j'ai quelques craintes à l'idée qu'elle sorte comme cela.

— Candice, as-tu de quoi t'habiller dans ta voiture ?

Elle se tourne vers moi, ne comprenant pas.

— Quoi ?

— Tu ne portes qu'une chemise, c'est risqué. As-tu autre chose dans ta voiture ?

— Oui, normalement. J'essaie de toujours avoir quelque chose pour me changer.

— Ça me rassure. Je n'ai pas envie que les autres hommes te vois comme ça.

— Jaloux ?

— Non, pas du tout, dis-je en riant. Je suis plus protecteur.

Elle sourit puis nous entrons dans l'ascenseur qui vient d'arriver. J'appuie sur le bouton du garage et me tourne vers Candice qui s'est appuyée contre la paroi. Je souris à mon tour, j'aime bien la voir ainsi. Je m'approche un peu d'elle, elle se tourne vers moi, j'ai l'impression de voir la lueur coquine dans ses yeux. J'appuie sur le bouton d'arrêt d'urgence et la prends dans mes bras, elle est surprise mais pas dans le rejet.

— Lucas, j'ai envie de rentrer chez moi.

— Et moi je veux t'embrasser et profiter de ce dernier moment ensemble.

— On pourra se revoir la semaine prochaine.

— Je ne suis pas là, j'ai des rendez-vous en dehors de Paris et je vais voir ma famille pour le week-end.

— Oh, je comprends.

Elle saisit une de mes mains et la dépose sur sa poitrine, je comprends que c'est oui.

— Alors profitons de ce dernier moment.

Elle passe ses bras autour de ma nuque et saute pour passer ses jambes autour de ma taille, je la maintiens en allant l'embrasser, elle me réponds sans attendre. Je descends sur son cou, elle sent mon gel douche. Je souris et vais mordiller le lobe de son oreille, ce qui la fait gémir. Je m'appuie un peu plus contre, j'entends son rire.

— Tu es vraiment insatiable toi.

— Toujours avec une femme aussi belle.

Je l'entends pouffer de rire, puis elle se frotte à son tour contre moi.

— Allez, sois plus rapide.

— A vos ordres madame.

Je réussis à retirer le boxer qu'elle porte pendant qu'elle ouvre mon jean, je glisse une main entre ses cuisses, elle est déjà prête. Je retire ma main pour retirer mon pantalon, mon boxer et prends mon érection en main pour plonge en elle sans attendre. Sa chaleur va me manquer pendant ma semaine de travail et de voyage, je reste donc immobile quelques instants, profitant du moment. Candice commence à se mouvoir, je suis son mouvement.

J'accélère mes va-et-vient après quelques minutes, Candice gémit plus fort. Je glisse ma main entre ses jambes, caressant son point sensible. Je la sens venir, elle se mordille la lèvre et ferme les yeux, son orgasme est silencieux. Je ne tarde pas à la suivre, ce moment était excellent.

Nous reprenons doucement notre souffle, nous nous rhabillons à la hâte et j'appuie sur le bouton pour enclencher de nouveau l'ascenseur.

Amoureuse de mon patronOù les histoires vivent. Découvrez maintenant