Je me réveille par la voix de ma gouvernante, Anna.
Anna - Monsieur Jonathan, réveillez vous voyons ! Vous allez être en retard pour vos cours particuliers.
Moi - J'en ai marre ! Grognais-je en tirant la couette sur mon visage.
Je repense à cette nuit, quand Sarah m'a surprit dans sa chambre, bon, ok c'était pas prévue, mais elle a vraiment bien réagis, au lieu d'hurler au viole, elle c'est calmée et avant qu'elle ne commence à me poser mille et une question, j'ai sauté par sa fenêtre avant de rentrer chez moi.
Anna - Monsieur Jonathan ! Vous m'écoutez ?
Moi - Anna, par pitié, pas aujourd'hui, je suis rentré tard, je suis épuisé.
Anna - Quand est ce que vous aller vous décidez à lui parler. Dit-elle en parlant de Sarah.
Moi - Lui parler ?! Vraiment ?! Avec ma gueule ?! Sors de ma chambre ! Tout de suite ! Grondais-je hargneusement.
Elle sort sans discuter, alors que je me calme doucement. Allongé sur le dos, les mains sous ma tête, je pense à Sarah, comme toujours depuis un an.
Je ne pourrais même pas expliquer ce qui m'attire chez elle, peut être ses longs cheveux blonds indisciplinés, qui lui donne un air sauvage, ou bien ses yeux marron clair et leurs étincelles de je-ne-sais-quoi, ou encore sa bouche pulpeuse et bien rose. Et sans parler de son corps, parce que sinon j'aurais des envies pas très catholique, difficile à calmer.
Mais le pire dans tout ça, c'est que c'est une vraie bombe atomique, elle sait qu'elle est belle, mais elle se pense, d'une beauté banale. C'est ça qui fait tout, mais aussi, le fait qu'elle ne soit pas pourrit gâtée et une vraie salope avec les autres. Non Sarah s'entend bien avec tout le monde, c'est ça que je lui envie.
Quand je n'étais pas encore cet horrible monstre, affreusement laid, j'étais le plus populaire du lycée, mais aussi le plus gros enfoiré que la Terre n'ai jamais portée, j'ai essayé un bon nombre de fois de me faire Sarah, mais elle n'a jamais répondu à mes avances, une première pour moi. Pour elle, j'étais juste Jonathan Cross, le relou qui cherche qu'à la baiser.
Bizarrement, elle n'a jamais prêter attention à ma beauté, du moins, celle que j'avais eu auparavant. Maintenant que je sais que les bombes c'est finit avec mon physique, je me rends compte que le physique n'est qu'un détail, le plus important, c'est l'intérieur.
Bon ! Trêve de plaisanterie ! Je regarde l'heure, 9H p.m, merde ! J'ai encore une fois trop pensé à Sarah Miller, ma belle Blondie. Je file à la douche, avant de m'habiller d'un jean, d'un t shirt blanc, d'une veste à capuche que je visse sur ma tête et d'un manteau.
10H p.m, je sors de chez moi pour aller m'infiltrer dans la chambre de ma Blondie..
L'obscurité.