Nda : Il y aura trois chapitres par jour, puisque je veux absolument finir l'histoire avant de partir en vacances le 31.
Je pense qu'elle se rends pas vraiment compte de ce qu'elle me demande.
Moi - J'essaierais mais.. qu'est ce que sa signifiait le baiser pour toi ?
Sarah - Hum, la même chose que toi.
Moi - Je pense pas, Sarah je..
Sarah - Tu es amoureux de moi. Sourit-elle. Et je crois que je le suis aussi monsieur Cross, donc pouvons nous dire de nous que nous formons un couple ?
Moi - Je l'espère mademoiselle Miller.
Sarah - Bien ! Alors nous commençons demain ! Tu viens me chercher au lycée babe. S'exclame-t-elle.
Moi - Sarah.. Soupirais-je.
Sarah - Non John, si tu es vraiment amoureux de moi, il devrait n'y avoir que mon regard qui t'importe, pas le leur.
Moi - C'est plus compliqué que ça.. il y a Jay, sa fait un an qu'il m'envoie des messages auxquels je ne réponds jamais.
Sarah - Sa serra l'occasion de le revoir. Tu dors ici ?
Moi - C'est fou ce que tu peux être têtue. Riais-je.
Sarah - Je sais, c'est sans doute ce qui fait mon charme. Rit-elle.
Moi - Je suis prêt à parier qu'il n'y a pas que ça.
Sarah - À toi de me dire. Bon, donc oui, tu dors ici parce que du coup, t'as pas vraiment le choix. Dit-elle avant de m'embrasser la joue. Je vais à la douche, après à toi, tu sais où son tes affaires donc sers toi. Termine-t-elle en allant dans la salle de bain.
LE LENDEMAIN.
Je me réveille, Sarah est déjà habillée, assise sur le bord du lit de mon côté.
Sarah - Hi. Murmure-t-elle en me caressant la joue. Bien dormis ?
Moi - Salut, oui. Sa me fait toujours bizarre de savoir que tu vois mon visage. Souriais-je en fermant les yeux un instant.
Sarah - Faut que j'y aille. Souffle-t-elle en m'embrassant.
Moi - Je te dépose. Dis-je en me levant.
FIN D'APRÈS MIDI.
Je suis garé devant le lycée, je commence à avoir chaud en pensant à Sarah qui veut que je me montre..
Bien, je vais le faire, pour elle, comme elle a dit, seul son regard m'importe.
Je retire ma capuche, souffle un coup puis sors de ma Jaguar, pour m'appuyer sur le capot.
L'obscurité.