Enfin libre ?

Chapitre 16

- Oui je pense que oui, on verra bien pour le moment je m'en fou de qui est mon directeur ce qui m'importe c'est de bien faire mon travail.

- Ouais pareil.

Je commençais à aggrafer quelques feuilles pour la structure des relations internes quand quelqu'un frappa à la porte.
Une femme entra calmement dans notre bureau. Si je me souviens bien il me semble qu'elle est la femme qui nous a distribué des papiers durant la réunion, donc une des assistantes de demoiselle Wilkerson.

- Bonjour, murmura-t-elle. Mr. Jonathan ?

- C'est ce qu'on dit, répondis-je

- Mademoiselle Wilkerson vous attend dans son bureau.

Tiens tiens. Cela ne fait que vingts minutes que la réunion est terminée. En tout cas je n'ai pas le temps de réfléchir vu que l'assistante est déjà partie et j'ai intérêt à la suivre si je veux bien me faire voir, donc je suis l'assistante sous les yeux interrogateurs d'Isabelle.

Arrivé à l'étage de Marketing, je traverse un large couloir pour arrivé au bureau du directeur de Marketing, ou devrais-je dire "directrice".
L'assistante toque à la porte, et j'entends un rapide "Entrez".
Elle entre pour annoncer ma venue, puis ressors pour m'inviter à entrer et referme la porte derrière moi.

Pour une directrice qui a peut être un lien avec le grand PDG multimilliardaire, mademoiselle Wilkerson fit preuve d'une amabilité remarquable lâcha ses papiers et se leva gracieusement et me sourit.

- Bonjour, veuillez vous asseoir je vous prie.

Ce bureau n'était pas le plus grand, mais sûrement le moeux décoré. Il était bien coloré comparé aux blancs et noirs modernes du reste des bureaux que j'ai vu. Les étagères de verres sont partout, mais au lieu de livres on voit des plantes, des cadres, des dossiers de toutes les couleurs.
Deux canapés rouges trônaient près de la porte, avec une table basse rouge entre les deux sur un tapis rond orange. Quant à son bureau il était étonnement bien rangé avec un ordinateur portable, un goblet rouge remplie de crayons et une boite en verre accrochée au bureau où il y avait quelques feuilles de dessin.

Je pris place sur un des fauteuils en cuir orange et elle fit de même sur le sien.
À la seconde où elle se posa sur son fauteuil que son sourire aimable se transforma en une mine sérieuse, elle croisa ses doigts entre eux et me regarda.

- Vous avez causé un beau remu méninges le jour de votre embauche. C'est une des rares fois où les trois têtes de l'entreprise décident ensemble de votre inclusion au sein de l'équipe... ou de votre refus...

Ils comptent me rappeler ceci à chaque fois ?

- Mais je me fou des diplômes. Ici, on travail avec le talent, la créativité et l'inédit. Si vous avez tout ça alors nous n'avons pas de problèmes, elle marqua une pose puis repris. Bref...

Elle se leva et commença à marcher dans son bureau tout en me regardant.

- J'ai déjà parler avec plusieurs de vous, au sujet de ce que vous êtes censés faire.

Elle marqua une nouvelle pose et alla se rasseoir sur mon fauteuil.
Il n'y avait maintenant qu'un bureau entre nous et je pouvais voir qu'elle était vraiment, mais alors vraiment belle. Je pus détaillé l'originalité de la jupe tailleur qu'elle portait. C'est là que je pris parole.

- Je suis prêt à faire ce que vous me demandez.

- Vous allez travaillé avec quatre autres employés pour retrouver un prix convenable au ventes. Après avoir augmenté les prix, les clients se dirigeront vers les entreprises concurentes donc il nous faudra un prix qui attire le plus de monde possible, sans pour autant qu'ils doutent de la qualité.