Chapitre 2 L'enterrement

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Cela fait déjà trois jours que je suis orpheline et je n'arrive toujours pas a m'en rendre compte...Vue que je n'avais pas d'autres famille a part mes parents, j'ai été placée chez une gentil dame du village. Ce n'est pas très grand mais c'est amplement suffisant pour elle. Il y a deux chambres, une petite cuisine, une salle a manger, un salon, une salle de bain avec une énorme baignoire et une petite cuisine. Je dors dans la chambre de son fils ,qui est parti depuis longtemps, et je n'en sort jamais. Une psychologue est venue me voir elle m'a conseillée d'essayer de peindre pour déposer sur la toile ma douleurs, j'ai bien essayée mais a chaque fois je dessinais le visage de mes parents et je pleurais alors j'ai abandonnée. Aujourd'hui c'est l'enterrement. Je ne veux pas y aller, il y aura tout le village et ils me regarderont tous avec se regard triste l'air de dire je te comprend mais non, non ils ne peuvent pas me comprendre ni m'aider personne ne le peux car personnes ne me comprend. Le soir, j'ai peur d'aller me coucher parce que chaque nuit je fait au minimum 5 fois le même cauchmart, a chaque fois je vois mes parents morts avec plein de sang et je me réveille en hurlant. Mme Casteniet, la dame chez qui je loge, vient me dire qu'il faut que je vienne manger et que je me prépare pour l'enterrement. Je refuse de manger depuis trois jours et je commence a avoir faim alors j'acquiesce et la rejoint dans la salle a manger, elle a préparer des lasagnes. Le plat préféré de papa.
J'essaye de retenir mes larmes pour ne pas la blesser mais c'est trop dur je cours en larmes me réfugier dans la chambre de son fils. Une heure plus tard j'en ressort vêtue d'une somptueuse robe noir à bustier et pour seul bijoux la croix que mes parents m'ont offert pour mes 14 ans, j'ai les cheveux relâcher en avant et de petites ballerines noirs elles aussi. Le temps est couvert et de gros nuages menacent de recouvrir le ciel déjà gris.Pendant la cérémonie, je pleure beaucoup mais Mme. Casteniet était la pour me soutenir et je dois avouer que non seulement je commençais à m'habituer a elle mais aussi je me sens rassurée quand elle est là. Après que les cercueils aient été mis sous terre peut a peut les gens sont partis et ils s'est mît à pleuvoir. J'ai demandée que l'on me laisse seul un moment. Le vent soufflait et mes larmes salées me rentraient dans la bouche pour ressortir de mes yeux  sous forme d'un torrent de larmes, le ciel était couvert de gros nuages noir et des éclaires grondaient au loin.
-Mademoiselle Madison ???
-Oui c'est bien moi qui êtes vous ???
Répondis je a un monsieur d'une vingtaine d'années habité tout de noir et que je n'avais ni vue ni entendue arriver.
- Moi qui je suis ??? Et bien moi, je ne suis qu'un simple messager, mais votre grand père vous demande !!!
-Mon grand père ??? Qu'est-ce que cela voulait dire??
- Oui Le roi de Gardénia.

Un amour de princesse [En réécriture]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant