chapiter 18

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Ma nuit à été mal, ce matin, ma mère me décharge un peu elle s'occupe de sa petite fille je vais au boulot énervée parce que Miguel veut diriger ma vie je ne le permettrais pas. J'irais à cette soirée, il n'est pas là s'il apprend ma sortie par Lola tans pis personne ne contrôle mes mouvements c'est hors de question.

Mon portable continue de sonner, Miguel va explosé mon journal d'appel depuis notre appel d'hier il n'arrête pas je sors de la voiture en décrochant.

- Quoi? Je crâche

- Est ce ainsi qu'on accueille son futur fiancé?

- Parle sinon je raccroche Miguel.

- T'es en colère?

- Oui...

- Pourquoi?

- Je ne sais pas...

- Tu devrais le savoir mon amour.

- Je suis pas d'humeur à écouter tes idioties, parle sinon je raccroche je hurle.

- Calme toi Guilia, j'ai beaucoup réfléchi je veux que tu partes à ta soirée.

- C'était pas d'une permission je voulais, je t'informais.

- Donc tu comptais partir dans mon dos?

- Oui qu'est ce que tu crois? Que j'ai 11 ans?

- Très bien c'est ce qu'on verra.

Il coupe sans me laisser placer ma phrase, s'il était en face de moi je lui aurais arraché les deux yeux.

- Ouh là beauté, t'es d'une humeur massacrante. M'accueille Rémit en me voyant

- Ne me parle pas sinon je déverse mon vénin sur toi. Dis je en partant me changer.

J'avais ma petite idée de comment allais se passer notre échange si je décrochais, il fallait que je lui parle pour ne plus qu'il m'enmerde.

- Excusez moi, je voudrais deux pains au chocolat et un cappuchino à emporté merci. Me demande une cliènte

Je suis au comptoir et c'est tant mieux, je lui donne sa commande en étant aimable. Miguel ne vas pas me saboté la journée les commandes se suivent de plus en plus et la fatigue s'installe, heureusement qu'on ferme à midi à cause d'une réunion qu'ordonne Cruella j'espère que ce qu'elle à dire en vaut le coup.

Trois hommes au fond du café n'arrête pas de me regarder et je n'aime pas, s'ils continuent comme ça j'irais leur demander des comptes. D'ailleurs un s'avance à la caisse pour payer en me regardant intensément.

- Bonjour belle dame.

- Bonjour, que puis je pour vous?

- Voyez vous avec mes amis, on n'a fait un pari.

- Lequel?

- On n'a parié que vous êtes la soeur d'une actrice de cinéma, vous confirmez?

- Non elle ne confirmera rien du tout, annonce une voix que je connais par coeur.

Comment est-il arrivé ici?

Il ne devrait pas être à L.A?

Il ne va pas me dire qu'il s'est envolé pour venir?

Je décide de vite répondre au type pour qu'il se barre sinon je ne donne pas chère de sa peau.

- A quel actrice faîtes vous allusion?

- À Jessica Alba, c'est vrai?

- Non, je ne sais pas qui c'est et voici votre monnaie.

- Dommage, sinon vous lui ressembliez trait pour trait avec votre petite bouche sensuelle.

Je le détesteOù les histoires vivent. Découvrez maintenant