The Wolf

Chapitre 17

Explication

Alex se réveilla dans les bras protecteur de son amoureux. Il grogna en ouvrant les yeux, dû à la lumière qui pénétrait dans la pièce par la fenêtre. Le blond referma ses yeux et se retourna pour cacher son visage dans le creux du cou de Make. Il sentit ça main caresser son dos doucement, alors qu'il afficha un petit sourire.

-bon matin mon loup...

-bon matin mon lapin.

-bien dormit?

-avec toi, toujours. Dit le brun en souriant.

Celui-ci serra Alex doucement, avant d'embrasser ça tête.

-on fait quoi aujourd'hui alexinou ?

-ce que tu veux...

-on baise toute la journée!

Alex lâcha un rire en relevant la tête pour regarder le visage de son homme.

-petit accro.

-de toi, répliqua Make en souriant.

Alex déposa ses lèvres contre celles de son homme. Ils s'embrassèrent ainsi durant quelques minutes, avant qu'Alexander ne rompe le baiser en entendant son ventre gronder.

-ta faim mon lapinou ?

-moui

Make se leva, puis se tourna vers Alex.

-je mets quoi?

-tu reste à poil! Lâcha Alex en rigolant.

-espèce d'accro.

-à toi Make, je suis accro à toi.

Alex fouilla dans sa garde-robe et trouva des vêtements de la dernière fois que Make avait dormit chez lui et lui lança, puis il se changea, mettant un chandail blanc trop grand pour lui et un short assez court. Il descendit ensuite à la cuisine, Make sur les talons. Arrivée à la cuisine, Make pinça les fesses du blondinet en rigolant.

-touche pas à mes fesses toi, dit Alex en tirant la langue.

- mais se sont les miennes aussi.

-non non.

-si si.

-je te dis que non.

-ho ta gueule bébé, lâcha le brun en tirant son homme contre lui pour l'embrasser.

C'est alors que la mère d'Alexander entra dans la cuisine. Il fit sursauter Alex en lâchant un:<<je le savais!>> Alex resta là un moment figé, ne sachant pas quoi dire. Il chercha la main de Make avec la sienne, voulant un support physique. Make serra la main à Alex et la caressa avec son pouce.

-madame volter...je peux vous assurer qu'alex et moi...c'est sérieux...il n'est pas forcer non plus...ne lui fais rien...ce n'est pas de ça faute, essaya de dire Make la voix tremblante.

-Alex pourquoi..?

-je ne savais pas...comment tu réagirai maman...

Alex sentit les larmes lui monter et un immense stress l'envahir. Ses doigts se mirent alors à serrer plus fort la main de Make. Les secondes passait, ressemblant à des heures, avant que sa mère brise se silence.

-ce n'est pas grave, tout se qui compte pour moi; c'est ton bonheur.

-maman...

Alex lâcha la main de Make et courut vers sa mère avant de la serrer dans ses bras en pleurant. Sa mère caressa son dos doucement.

-alors depuis tout se temps...?

-oui nous sommes ensemble...en secret, déclara Make.

-pourquoi?

-son père, murmura Alex.

-oui, mon père est contre que je sois en couple avec un homme.

-oh, mais vous serez ensemble au yeux de tous un jour les garçons.

Alex lâcha sa mère, alors que Make hochait faiblement la tête. Alex se dirigea vers Make et le serra en se cachant dans ses bras.

-bon...et bien, moi je vais devoir aller travailler. Je vous laisse la maison, mais ne faites pas de connerie. À se soir les garçons.

Sur ses mots, madame volter prit son sac-a-main et mît son manteau avant de quitter la maison. Alex leva les yeux vers son homme et le regarda.

-j'aimerai que tout le monde soit comme elle..

-je sais Alex...je sais..

Make passa une main dans ces cheveux en regardant son amoureux, lui donnant un sourire le plus réconfortant possible.

-tu veux faire quoi aujourd'hui mon amour?

-eum...je crois que je vais te laisser seul chez toi...j'ai un truc à faire.

-mais...notre journée, dit Alex avec déception.

-si je fais ça, c'est pour toi.

-d'accord...tu reviens quand..?

-je vais t'appeler d'accord?

-d'acc...

Make embrassa Alex tendrement, avant de quitter la maison des volters, décider d'en finir avec son père. Il n'en pouvait plus de devoir cacher son amour ou de le renier à cause de son père. En voyant la réaction et en entendant les paroles de la mère d'Alex, il avait compris. Si ses parent n'acceptais pas son bonheur, alors il ne valait pas la peine d'être dans sa vie.