Diabolik Lovers : Souffrance

Triste sort

COURS ! SORS D'ICI ! C'est dangereux !

Ils nous fixaient tous dangereusement sauf un, Shuu tranquillement installer sur le canapé, il semblait dormir. Il fallait que je réfléchisse.

Courir ?
Non ils nous rattraperons facilement.
Hurler ?
Aucun intérêt
Pleurer ?
Aucun intérêt non plus

Mes pensées défilaient à toute vitesse, impossible de penser correctement dans des conditions pareille ! Malgré tout j'opta pour la première option. Je lança un bref regard a Ines qui me comprit immédiatement. Nous nous apprêtâmes à nous élancées dans le couloir quand soudain le jeune homme nommé Subaru nous interrompit :

- Tch ! Ça sert à quoi ? Ont vous rattraperas de toute façons ! il poursuivit tout bas, vous n'êtes que des humaines après tout.

La panique m'envahit, comment il avait deviné !? Et surtout, que voulait-il dire par "vous n'êtes que des humaines" ?

Ines me tira de mes angoisses pour lui cracher c'est quelques mots :

- On peux toujours essayer !

Avant de me tirer par la manche de ma veste. Sans avoir compris ce qu'il venait de ce passer je me sentis soulever. Par quoi ? Ou plutôt qui ? Je ne sais pas.

Je tourna la tête pour apercevoir mon amie par terre en train de se débattre contre Subaru, qui lui n'avait aucun mal à l'immobiliser.

Je lâcha un petit rire angoissé.

Même pas eut le temps de courir ! Pas mal ! Alors là on à fait fort .

Je me retourna pour voire la tête de mon agresseur en vain puis j'entendis ça voix.

- Ahaha moi au moins la mienne est assez calme ! Il la désigna du doigts, cette fille à l'air d'être une hystérique .

Il continua de fixer mon amie, puis je croisa ses magnifiques iris verte, il souriait dévoilant ainsi ses canines.

- Arrête de bouger, s'énerva Subaru. Reiji, ta pas un truc pour l'endormir ?

Celui-ci lui tendis une fiole contenant une substance turquoise. Il fit boire Ines (de force bien sûr) qui se relâcha quelques secondes après et s'affaissa au sol.

Ayato me lâcha et l'albinos se dirigea vers moi.

Ils veulent te faire boire ce truc ? Oh non, te laisse pas faire !

Mais mes forces m'avaient abandonné depuis longtemps.

Il s'approcha de moi et me fis signe d'ouvrir la bouche ce que je fis sans résistance.