Dolve Geoffrey Tome 1 (Harry Potter) BxB

Chapitre 10 - La berger s'affole

    Les épreuves écrites se déroula dans la grande salle ou il faisait une chaleur étouffante. Pour l'occasion ont nous donna de jolie plume ensorcelé qui empêche les tricheries. Il y eut aussi un examen pratique.

    Le professeur Flitwick nous appela un par un dans sa salle de cour pour nous tester sur des ananas que nous devons faire danser sur une table, pour ma part je réussis à lui faire faire le Moonwalk et la salsa.

    Le professeur McGonagall nous regarda transformer une souris en tabatière, elle ajoutait des points si la tabatière était particulièrement belle mais elle en enlevait si on y décelait des moustache. Personnellement je trouve cela ridicule mais bon je n'ai pas trouvé cette exercice difficile non plus.

    Nous étions tous paniqués devant Rogue qui nous surveillait de près pendant que nous essayons de fabriquer une potion d'Amnésie. Ce n'est vraiment pas une mince affaire cette potion. D'ailleurs j'ai remarqué que Harry était plutôt discret pendant cette examens, à cause de Rogue sûrement.

     Le dernier examen était celui d'Histoire de la magie. Nous devons passer une heure à répondre à des questions concernant de vieux sorciers un peu fous, inventeurs de chaudrons dont le contenu tournait tout seul puis nous furent enfin libres pendant toute une semaine jusqu'aux résultats des examens. Lorsque le fantôme du professeur Binns nous annonça que nous pouvons poser nos plumes et rouler nos parchemins, je sursaute à cause de la majorité des élèves poussèrent des acclamations de joie.

    Je sorti de la classe et énumère avec Hermione les réponses aux questions de l'exercice, pendant que Ron lève les yeux au ciel une demi douzaine de fois. Dans l'ensemble je pense avoir fait une ou deux erreurs. Harry Ron et Hermione allèrent au parc, quand à moi je me mit à la recherche de Cedric. Je me dirige vers la serre de botanique, il me semble que les quatrième années on leurs dernier cour là bas. Arrivé aux quelques marches d'escalier qui mène au couloir de la cour de métamorphose, j'ai le plaisir de croiser Warrington avec deux autres Serpentard de quatrième année. Je passe comme ci je n'ai rien vue, mais lui ne me rate pas. Il me stoppa net en donnant un coup sur ma poitrine, puis il attrape le col de ma chemise et me plaque contre le mur, ses yeux était empreint de colère. Juste au dessus de ma tête il y a un tableau, la berger il me semble, elle essayait de le résonner.

-Ooh mais quelle brusquerie, que dis-je !? Quelle violence, cessez  immédiatement jeune homme, dit le tableau de sa voix douce et presque inaudible.

    Un des garçons fit apparaître un drap de soie vert qui recouvre intégralement le cadre. À présent on entendaient juste des plaintes sourde. J'agrippe le bras de Warrington et essaye de le dégager, mais il tend sont bras un peu plus et me pousse encore plus contre le mur.

-Tu veux que je t'en castre dans le mur !? Fulmine t-il.

    Je distingue une lueur rouge dans ses yeux à cette instant. Il est devenu fous... ? Bon il l'était déjà, mais là c'était vraiment flippant.

-Tu t'es trouvé un gentil toutou de garde, hein. Tu peux lui dire qu'il ne m'impressionne pas et que je l'attends aux cachots près du passage de la grotte, comme prévu !

-Tu délire, remballe ton baratin !

-Tu vas me dire que tu ne sais pas qu'il est passé me rendre visite pendant mon heure de colle, par ta faute, dit-il en soulevant mon corp un peu plus contre le mur.

    Son étau commence à me faire vraiment mal, je sentais des larmes me monter au yeux. Et je m'en voulu derechef, c'est pour moi une marque de faiblesse.

-Oh regardez les mecs... il chiale ! S'exclame Warrington en faisant une tête faussement triste.

    Il me lâche et je tombe comme une pierre sur le sol. Je me relève, mais je n'eus pas le temps, car le poing de Warrington vient s'écraser contre le coin de ma bouche. Il se frotta le revers de la main et fit un pas en avant, comme si il avait vu quelque chose d'étrange sur mon visage. Puis il parti, me laissant là, à l'abandon. Je sent le sang dans ma bouche et je pleure vraiment cette fois, plus de rage que de douleur. J'entends des pas et des railleries arriver au bas des marches. Je me relève rapidement, l'air de rien. Mais ma tête me fit virevolter. J'étais pas loin de la serre, mais je n'irais pas, j'ai peur que Cedric me vois dans cette état et s'attire des ennuis par ma faute.