Chapitre 12:

1.9K 137 8
                                    

Les hommes furent surpris de notre arrivée.

Éviter les morts était un des mots d'ordres du patron. On en assomma donc environ les trois quart.

Soudain l'un d'eux pris un revolver et nous le pointa dessus mais le pauvre coco n'avait pas l'air de bien savoir compter. Axel qui était parti pour ouvrir la porte d'où avait disparu le jeune femme et était donc passer derrière lui. D'un coup de crosse de son quarante deux millimètre il le fit tomber à terre.

Aucun coup de feu n'avait encore été tirer. On ouvrit la porte et découvrîmes la jeune femme et bien d'autres ligotées et bâillonnées.

Un homme au fond de la pièce nous regardait avec une de ses otages sous le bras. On n'avait plus le temps. Le soleil commençait à ce lever et on avait cours.

Il pointa de son revolver et nous tira dessus. Par réflexe, et aussi par flemme, je sorti mon magnum et en un éclair y perçai le genou.

Il tomba à terre.

Quentin pousse le flingue a l'autre bout de la pièce et le mennota. Les flics venaient de pénétrer dans le bâtiment et leurs mettaient à tous des bracelet. Nous les saluons et repartîmes de là où on était venu.

Une fois à la maison on prit une douche bien méritée et partîmes nous coucher pour les trois heures qui nous rester a dormir.

Le lendemain (ou plutôt plus tard), nous allâmes au lycée comme à notre nouvelle habitude, on était vendredi soir. Et quelqu'un nous proposa de venir à la soirée organisée chez lui. On accepta avec joie et on passa le reste des cours a somnoler voire même dormir.

À cinq heures et demi, retour à la maison pour se préparer. J'enfila un mini short ainsi qu'un débardeur blanc avec écrit dans un rond "Minnesota".

On ne prit qu'une seule voiture pour tous et nous nous rendîmes à l'adresse qui nous avait été indiquée dans la matinée.

Sur place on gare la voiture à deux pâtés de maison, histoire d'éviter les ennuis.

On arriva devant une gigantesque maison qui devait vraisemblablement être une fraternité. Quelques marchent montaient a la porte d'entrée.

Devant la maison se trouver de l'herbe ou des personnes qui ne tenaient pas l'alcool commençaient à gerber.

Une fois dans la maison l'hôte, l'homme qui nous y avait convié nous salua chaleureusement et me tapa même la bise.

Les gars partirent et je me retrouva seule. Soudain Jace apparu. Oh non! Il m'a vu et s'avance vers moi.

Jace: Salut princesse. Alors, que fais tu ici?

Moi: Sûrement pas te voir j'te rassure.

Il me pris le poignet et commença à me tirer vers les escaliers. C'est vraiment pas un intelligent celui là, il aurait au moins pu attendre que je sois bourée!

Moi: Arrête Jace! Où tu vas?

Jace: Dans un endroit bien confortable et tranquille ma belle.

Moi: Mais lâche moi!

Il me placa contre le mur dans un angle et m'embrassa.

Je n'ouvrit pas ma bouche afin que ça langue ne passe pas même si l'envie de la lui mordre ne manquait pas. Il se retira.

Moi: Jace, tu me fais mal. Lâche moi!
Il m'avait a nouveau bloque le bassin comme la dernière fois contre les casiers. Impossible de lui filer un coup dans les testicules.

Moi: Jace! Ça suffit! Lâche moi!

Des larmes commençaient à monter à mes yeux.

Moi: Jace.. S'il te plais laisse moi partir....

Jace: Oh non ça m'etonnerai!

Soudain une main vient se poser sur son épaule gauche.

Un inconnu: Si Jace... Je pense que tu devrais la lâchée. Dit-il d'un ton ferme.

Jace se retourna et me lâcha enfin.

Jace: Je te baiserai quand même. T'inquiète pas, je tiens toujours mes promesses!

Fin du chapitre! Avis et com's bienvenus! Positifs pu négatifs! ❤

Lara FoxwellOù les histoires vivent. Découvrez maintenant