PDV Juliette-« Agathe c'est toi ? »J'ai espoir que ce soit Agathe et moi qui avait réussi à ne plus pleurer et bien c'est raté maintenant je pleure a flots.
-« Oui c'est moi Juliette. Ce n'est pas de ta faute voyons si nous en somme arrivés la maintenant. Ce n'est la faute à personne. Ne te rejettes pas la faute sur toi, tu n'y es pour rien. Arrête de pleurer sinon je vais pleurer moi aussi. »
Trop tard elle essaye tant bien que mal de me le cacher mais j'entends ses petits reniflements à cause de son nez qui coule. J'aimerais tellement être au prés d'elle en ce moment précis, mais c'est impossible. Elle calme ses pleurs et reprend ce qu'elle était entrain de dire.
-« Et comment ose tu dire que je ne veux plus être ton amie ? bien sur que je veux être ton amie pour toujours même ! Tu sais très bien que si un jour on est séparé on fera tout pour se revoir. Regarde en voilà la preuve. On a été séparées mais maintenant on est ensemble. Mais au lieu de s'apitoyer sur notre sort comment tu es arrivée ici au trou comme ils l'appellent ? »
Je lui raconte alors ce qu'il m'est arrivé durant cette journée pleine d'émotions. Je lui ai dit que j'avais répondu et que l'on m'avait donc envoyé au trou. Qu'arriver ici un des gars de la sécurité m'avait giflé lorsque je l'avais défendu et elle m'en remercia, et que j'ai « tisser des liens » avec un des gardes. Je lui dis aussi, que c'est vraiment bizarre que l'on soit la sans nos parents ou des adultes. Il n'y a que des enfants de tout âge. Je parle moins fort on sait jamais si on nous surveille. J'ajoute donc aussi que la femme, la vieille peau, quand elle nous expliquait pour on était la et allait dire quelque chose c'est rattrapée de suite. Agathe trouve sa aussi étrange et on pense toutes les deux que ce qu'ils nous disent et faux et qu'ils nous veulent autre chose mais quoi on n'en sait rien.
Je pensais toujours à quelque chose. Même si je le fais pas paraitre j'ai envie de demander à tout le monde, de crierai dans tout les sens pour savoir ou est mon frère. Je demande donc à Agathe.
-« Agathe... » Je lui parle avec une hésitation dans la voix « tu saurais par hasard ou est... » Je n'eus pas le temps définir qu'elle me devança et répond à ma question.
-« ou est Benjamin ? Il était dans la même salle que moi, je voulais aller m'asseoir à côté de lui mais on me la interdit, je ne comprends pas pourquoi. Je lui ai donc dit rapidement, et sans que personne ne l'entende qui tout irait bien que tu allais venir le retrouver même si il fallait du temps. Et après on ma envoyer au trou, et je ne lai toujours pas revu. »
-« Merci Agathe d'avoir fait ça. » elle me répond que je n'ai pas à la remercier « Mais aussi pourquoi tu as atterri au trou, tu ne me la pas dit ? »
-« Hé bien quand j'ai voulu aller m'asseoir a côté de ton frère et que l'on me la interdit il a fait une crise. Je n'ai pas compris de suite, mais je me suis souvenu que tu m'avais dit qu'il faisait des crises de panique de temps en temps quand il avait peur. C'est alors que j'ai compris qu'il en faisait une. Je me suis alors précipité vers lui pour le rassurer. Mais un homme ma tirer les bras pour ne pas que je l'approche j'ai donc hurlé « IL FAIT UNE CRISE DE PANIQUE ! JE SAIS COMMENT LA STOPPER LAISSEZ MOI ! » Et c'est donc comme sa que je me suis retrouvé au trou » à la fin de sa phrase elle lâche un petit rire tout mignon qui me fait sourire par la suite.
-« J'espère qu'il va mieux main... » je n'eus pas le temps de finir qu'on m'interromps.
-« à table ! On va vous distribuer vos plateaux. On ne vous laissera pas sortir. Il est dix-huit heure quarante cinq on ramasse les plateaux a sept heure. Jeunes gens bon appétit »
J'entends les bruits des trappes pour laisser le plateau passer s'ouvrir et se refermer. On était déjà beaucoup au trou. Voilà qui arrive mon tour. La trappe s'ouvre, je me lève et vais au pas de la porte récupérer mon plateau pour ne pas qui tombe par terre et que je meure de faim. Je regarde donc mon plateau, il y a plusieurs compartiments, il y en a cinq en tout seule deux sont remplis même pas à ras bord. Il n'y a pas de couverts. Et ce soir au menu c'est une espèce de purée aux pommes de terre qui a virer a une couleur vert clair avec des petites tâches de moisie, et dans l'autre petite case il y a une tranche de viande. Je ne sais pas de quel animal viens cette viande mais en tout cas entre la purée et la viande je choisis de manger la viande.
Je la prends avec les doigts, je n'ai pas d'autres choix que de faire ainsi. Avant que la viande n'atteigne ma bouche je remarque quelque chose de suspect. J'observe la tranche et remarque qu'il y a des coups de couteaux. J'arrive a déchiffrer les entailles. Il y a marqué neuf et deux. Je ne compris pas de suite. J'avais une idée en tête mais pour la vérifier je demande à Agathe.
-« Agathe ? Tu es toujours la ? »
-« Évidemment que je suis toujours la, je ne pense pas que l'on va me sortir d'ici de si tôt ! » et elle rit encore, je n'arrive pas à savoir comment elle peut rire dans des moments pareils.
-« C'est quoi le numéro de ta cellule s'il te plait. » j'étais persuadé d'avoir raison. J'ai une chance sur deux.
-« quatre vingt douze je crois. Pourquoi me demandes-tu ça ? » Elle me parle la bouche pleine, j'aimerais dire pleine de quoi ? Cela n'a pas l'air appétissant mais elle le mange quand même.
Mon hypothèse était juste. J'avais bien compris le message que m'a fait passer Luc. C'est le numéro de cellule d'Agathe. Il ne ma pas menti. Il a vraiment envie de m'aider ! Du moins j'espère que cela va durer je pense que j'aurais encore besoin de ses services.
Ça fait maintenant le troisième repas que je passe au trou. J'en déduis donc qu'il est midi mais de quel jour je ne sais pas. Je n'ai presque rien avalé, ce n'est pas très comestibles pour ma part. Je parie que même en prison ils sont mieux nourris. Agathe est parti du trou ce matin juste après le petit déjeuner, elle à bien de la chance de quitter c'est endroit délabré et sale.
La porte de ma cellule se déverrouille. J'aperçois Luc. Au fond de moi je suis contente que ce soit lui et pas l'autre pervers que ne pense qu'au sexe.
-« Winster tu sors » sur ces mots, je sortis.
Cette fois ci il ne me tient pas et me laisse marcher seule. Mais dés qu'il entend un de ses collègues ou supérieur, il saisit mon bras afin de faire croire qu'il me tient. On sort du trou, et on se dirige vers un troisième bâtiment. Je ne retournais donc pas directement a ma « chambre ». Je demande alors discrètement à Luc ou il m'emmène. il ne me répond pas. Il me glisse quelque chose dans la main que je cache ensuite dans la poche arrière de mon jean. On arrive et il prend enfin la parole.
-« Quelqu'un veux te voir. »
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Le Refuge.
RomanceTout commence par une simple visite familiale. Un problème est survenu on a était séparer. Je pensais que tout irais bien mais se fut l'inverse. Après cet épisode de ma vie qui dura plus longtemps que je ne le pensais. Quand tout allait se finir e...