Une fois le rapport de la précédente mission effectué, je partais en direction des vestaires pour femmes. Les vestiaires de Krimson corp sont assez grands pour recevoir 50 femmes et 100 hommes. J'enlevais ma combinaison , mes bottes et mon sac dans le bac de mon casier et sortis ma serviette propre. J'avançais ensuite vers la première cabine de douche libre. À cette heure ci, tout le monde travaillait, voilà l'avantage de commencer tôt le matin. Je rentrais dans la cabine, spacieuse, et déposais le bac sur une étagère avant de me positionner sous la douche et d'ouvrir l'eau. Cette douche me fit un bien fou, c'est surement pour cette raison que je m'endormis tout de suite après m'être couchée dans mon lit , le dixième lit de la chambre numéro 21. J'etais seule dans ma chambre comme d'habitude à cette heure -ci. Il est onze heure vingts du matin et je dors comme un bébé.
Le lendemain, c'est mon jour de repos. Je compte bel et bien en profiter en faisant les boutiques avec Lucie. Lucie est comme une soeur pour moi, elle est légèrement plus petite que moi elle mesure 1m52, a les cheveux longs et châtains ainsi que les yeux verts. Elle est assez introvertie et a peur des garçons. Lucie fait partie de la section 1 elle ne parle à personne sauf moi et le chef de la première Section : Myungsoo. Myungsoo est comme un frère pour moi, il a toujours été là pour moi quand mon père ne l'était pas. C'est un peu lui qui m'as élevée. Ma mère? Elle vit en France maintenant, elle m'a laissée en Corée avec mon père pour vivre son rêve, elle est passionnée de la culture française et donc a choisit de refaire sa vie là bas. Je n'ai jamais reçu une seule réponse à mes lettres mais ca ne m'as jamais vraiment affectée. Je me mis en route pour la chambre de Lucie. Le chemin ne fut pas très long la chambre de Lucie est la onzième chambre du dortoir des filles. Alors que je m'apprêtais à toquer à la porte, cette dernière s'ouvrit d'un coup pour laisser place à mon amie habillée d'une salopette en jean sur un pull en laine blanc.
-Lucie! Tu es magnifique! lui fit-je remarquer avec un sourire.
-Lé-Léa! Tu m'as fait peur, n'éxagères pas, dit-elle d'une petite voix.
-Tu sais tu peux parler librement. Personne ne nous écoute.
-Je sais, je... Pardon.
-Cesses de t'excuser un moment, veux tu. Tu es prête?
-Euh, oui.
-Alors allons-y !Nous partons alors en direction du centre ville, un endroit pleins de boutiques. L'endroit rêvé pour des filles folles du shopping comme nous.
Celà faisait maintenant quatre heures que nous faisions les boutiques, il est quatorze heure et Lucie et moi sommes actuellement en train de nous disputer sur quelle couleur lui va le mieux.
-Lucie, si je te dis que cette robe blanche met en valeur tes cheveux et fais ressortir ton teint. Tu es magnifique, un vrai petit ange.
-Je ... Non... Le blanc est trop voyant, je ne veux pas me faire remarquer par les gens et encore moins par les garçons, me répondit-elle timidement.
-Lucie, les garçons ne sont pas des monstres non plus. Et puis ils ne feront que te regarder. Où est passée la Lucie voleuse qui n'a peur de rien?
-Je ne volais que des femmes et j'ai arrêté de voler grâce à toi. Et je t'en serai eternellement reconnaissante.
J'allai lui répondre que c'était normal et qu'elle n'avait pas besoin d'être aussi reconnaissante mais je fus interrompue par un cri dans la rue d'à côté. Sans laisser le temps aux autres personnes présentes dans la boutique, je me précipitai à l'exterieur pour voir de quoi il s'agissait. J'entendis des cris et des pleurs, des bribes de conversations je compris qu'il s'agissait d'un meurtre. Je m'avançais pour voir le corps de plus près, un homme d'une soixantaine d'années était à terre, inerte. Une femme du même âge à peu près agrippa ma manche, elle avait les mains pleines de sang et les joues recouvertes de larmes, sans doute la femme de la victime.
-Aidez moi, supplia t-elle. Sauvez mon mari.
-Votre mari est mort madame. Je ne sais pas recussiter les morts. Par où est parti le meurtrier?
-Je ... Non ce n'est pas possible, il ne peut pas être mort.
-Madame il ne respire plus, regardez et vu la quantité de sang qu'il a perdu c'est impossible qu'il ait survécu.
-Je ...
-Par où est parti le meurtrier? demandai-je agacée.
-Je- je ne sais pas, répondit la dame toujours choquée par la nouvelle.
C'est toujours comme ça, les civils sont toujours submergés par leurs sentiments et ne retiennent pas les informations importantes. Je fus extirpée de mes pensées par une voix d'homme mais toutefois assez douce :
-Le meurtrier est parti par là, il se dirige vers la banque, me dit l'homme nonchalement en me montrant une ruelle à proximomité.
-Merci.
Je partais en courant dans la direction indiquée par le jeune homme à la chevelure verte. Qui est il? Comment se fait il qu'il sache ou le tueur se dirige? Pourquoi était il aussi calme alors que tout le monde paniquait? Je me posais tellement de questions mais ne m'attarda pas vraiment sur ces dernières, j'etais tellement absorbée par ma course poursuite. Je pris un raccourci, et j'avais bien fait car, le tueur était arrivé par une ruelle sombre en courant quelques secondes plus tard.
Lorsque son regard rencontra le mien, une lueur de surprise apparut dans ses yeux mais disparut l'instant d'après remplacée par une autre lueur, une lueur meurtrière tout en sortant un revolver de sa veste. La peur me pétrifia sur place.Moi, Jang Léa, fille du directeur de Krimson corp, ait peur et suis sur le point de me faire tuer. Lorsqu'il fut complètement arrêté et eut le revolver tendu vers ma tête , un sourire machiavelique se déssina sur son visage. Il va tirer j'en suis certaine. Mais quand je fermais les yeux prête à mourir j'entendis l'arme tomber au sol et un cri strident retentir, ca me fit ouvrir les yeux pour voir ce qui venait de se passer, ce qui venait de me sauver la vie. Ce que je vis me figea d'autant plus.
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Bonsoir ! Voici mon chapitre 2! J'espère qu'il vous a plu! Des questions?
●Comment vous trouvez Léa?
●Lucie?
●L'inconnu aux cheveux verts?
●Que s'est il passé?Vos impressions?
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Comme un Papillon.
FanfictionJe m'appelle Léa Jang, j'ai 17 ans et je m'apprête à quitter ma maison, enfin, le lieu où je vis et où je travaille depuis ma naissance. Mais ce n'est pas le plus surprenant dans l'histoire, le plus surprenant c'est que je vais quitter mon chez moi...