yo. (chapitre7)

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Yo. (chapitre7)

rendue la bas, nous nous sommes séparer en deux groupes, ceux qui voulait faire les gros manèges et ceux qui ne les fesais pas. devinez dans le quel je suis? les gros manège? ouais, exactement! avec Harry et Liam. nous sommes aller faire des manège et en descendant dans les pentes, je me trouvais drole, les deux garçons criait parfois comme des petite filles, ou sinon, ne bougeait pas du tout. et moi, je racontais des blagues. je.suis. trop. cool.

Moi: C'EST L'HISTOIRE DE DEUX PATATES, ELLES SONT DANS UN MANÈGES, UNE SE METS A CRIER, L'AUTRE CRIE: AHHHH UNE PATATE QUI CRIIIIII!!!

je me suis mise a rire de ma blague, vous savez une bague tellement poche qu'elle devien drole? non, je suis la seule? bon sa va... Je sais, je suis bizarre, mais je suis moi! et vous m'aimez non? vraiment? Vous êtes méchant, je vais aller pleurer dans mon coin... nah, en fais, je vais seulement sortir de ce manège et courir vers un autre pendant que vous vous lisez ceci.

rendue dans les sièges, je dansais presque, je balençais mes jambes dans le vide puisque je ne touchais pas le sol.

Harry: tu ne touche pas par terre?

Moi: Bravo Sherlock!

Liam: ahahah, elle a quand même raison.

Moi: j'ai toujours raison. ALLLL THHHEEEE TIMMMEEEE!

Harry: c'est déclarer, elle est folle.

Liam: tu vien seulement de t'en rendre compte?

Harry: hum... non.

Moi: heu, allo?! je suis la quand même.

Liam: comment on ne peut ne pas remarquer?

Moi: allooooo?

Harry: j'avais remarquer, ça va...

Moi: Vous avez vue cette licorne passer dans le ciel de barbe a papa?

Harry: elle est définitivement folle.

nous étions en train de monter dans la pente. et puis, je me demandais quel blague dire. je n'en trouvais plus. et j'ai eu une idée. j'ai chanter la seule partie de leur chanson que je connais par coeur. quand la pente commença, j'ai lever les bras et je me suis mise a chanter (ou plutot crier)

Moi: BABY YOU LIGHT UP MY WORL LIKE NOBODY ELSE...

les garçons embarquèrent avec moi.

Nous: THE WAY THAT YOU FLIP YOUR HAIR GETS ME OVERWHELMED...

et nous n'avons pas put terminer parce que nous avons rit. je suis sur qu'en sortant, les gens allait nous regarder comme si nous étions Poséidon habiller en feu. (c'est cool le feu) je suis sortit en gambadant, les garçons me suivait derrière, je pourrais presque vous assurer qu'il devait être decourager par mon conportement, mais vous savez quoi? J'en ai rien a foutre de ça, moi j'ai du "fun" et c'est ce qui compte pour moi. Nous Sommes passer devant les toilette et nous sommes separer (non, je suis rentrer dans les toilette des garçon. Nah, je suis une fille.) j'y ai fais ce que j'avais a faire (vous voulez des détaillés? Non, c'est ce que je me disais.) et je suis ressortis pour attendre les garçons. J'ai enlever mon sac de mon dos et je l'ai tenu dans ma main, j'avais chaud dans le dos.

Et je n'en ai aucune idée pourquoi, mais une main se plaqua sur ma bouche et une main retenu mes deux bras dans mon dos, jusqu'à la, je pensais que c'était un des gars, mais quand on me tira par derrière, la peur monta en moi. La personne que je soupçonnais être un homme a cause de sa force et de la grandeur de ces mains me poussa vers un meur et me retourna pour que je soit dos au mur, donc face a lui. Il fessais sombre alors, je ne voyais que ces yeux brun/noir briller dans le noir. Je ne bougeais pas, je n'essayais pas que parler, j'essayais de paraître impassible; peut être que cela le ferais arrêter ou l'empecher de faire ce qu'il voulais faire, que je soupçonnais être: me violer. [désoler aux âmes sensible qui n'aime pas voir le mot: Violer. violer, violer, violer...] j'entendue son rire. Il lacha lentement mon poignet droit, et dirigea sa main vers mon ventre, ou peut etre c'était pour aller plus bas? Ou plus haut. Sans trop bouger, j'ai entrer ma main dans mon sac que je tenais encore, je sentais sa main sur moi et je voulais vraiment que tout cela s'arrête.dans mon sac, la premiere chose que j'ai toucher fut... Un baume a lèvre. Non, je ne suis pas une espionne, alors, pas de laser qui sort de celui-ci, note a moi meme: devenir espionne, ça pourrais servir. Je sentis une main (celle du pape. Non! Celle de homme! Dah!) rentrer dans mon kangourou (intelligente que je suis j'avais mis un chandail et en dessous de celui la, j'avais une camisole.) j'ai continuer a tâter ce qu'il y avais dans mon sac et je toucha un de mes inhalateurs. Heu... Oh mon dieu de sainte marie! Merci Simon, je t'adore!

C'est Ma Vie [✔]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant