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Souvenirs d'enfance (Chapitre 27)

Souvenirs d'enfance (Chapitre 27)

Deux jours plus tard, ou je pourais dire, un peut plus de 48 heurs de déprime, j'ai pris ma voiture, et j'ai conduit vers la maison de mes parents. Ils étaient encore en vancances ou voyage d'affaire, ou je ne sais trop quoi, alors, personne ne se trouvait à être dans la maison. J'ai débarer la porte, et je suis entrer, laissant mes soulier et mon manteau dans l'entrer, j'ai été à la cuisine prendre un vers d'eau que j'ai du re-remplire plusieurs pour arriver à donner de l'eau à chaque plante de la maison. Ensuite, je me suis rendu au salon. Est-ce que vous aussi dans vos image de "salon de Famille" il y a une cheminer, des canaper et des millions de photos de la famille en question? Et bien, j'ai cette image, mais moi, mon salon n'avais rien de cela, pas de Foyer, pas de millions de photos de famille, seulement une, qui date d'avant ma naissance, alors, je n'étais (logiquement) pas là. Je me suis assise dans le divant en cuire qui couina sous mon poid, et je me suis enveloper dans une couverture comme j'avais l'habitude de le faire avant.

Une heure plus tard, je me trouvais dans ma chambre, en fais, ma chambre d'enfance. Celle ou je me cachais quand mes parents se chicanaient. Celle dans la quel j'ai étudier comme une folle pour avoir mon diplome un an avant la normale, et, celle ou j'ai pleurer jusqu'à m'endormir.  Je me suis assise sur mon lit simple, et j'ai regarder les murs autour de moi. ils étaient touours en bleu pale, de la couleur qu'ils on toujours été, je n'avais pas choisie, mais je l'aimais bien, elle allait bien avec la personalité que j'avais quand j'habitais ici, ce qui veut dire: calme et qui passe innaperçu parce qu'elle ressemble à tout le monde. J'ai changer depuis, pour le bien je croix. 

Je me suis coucher sur mon lit, et j'ai vue la petite feuille de papier. je l'avais coller au plafond quand j'avais 12 ans au moment ou je l'avais mise la, et elle était toujours là, 6 ans plus tard. j'ai regarder, et j'y ai vue une faute. Me rapellant le temps ou j'avais de la misère a écrire une série de mots sans faire des fautes. Il était écris: "Est-tu corecte?" deux fautes en  3 simples mots. Et en desous, il était écris: "Pourquoi?" Vous êtes vous déja demander si vous alliez bien? Moi oui, souvent, c'est ce que ce papier fesait, c'étais comme la personne qui se préocupait de moi, celle que je n'ai jamais vraiment eu. Quand je la regardais, je répondais non a la première question, et ensuite, je bloquais. Je ne savais pas pourquoi je n'étais pas heureuse, et parfois, je trouvais les point, Ma mere, mes "amis". Mais, si on enlevais ces point là, je ne savais pas pourquoi je n'étais pas heureuse, il me semble que tout le monde peut être heureux, tout le monde à le droit, pourtant, je n'y arrivais pas moi.

Et aujourd'hui, quand je me demande si je vais bien, je suis tenter à me mentir, comme je l'ai fais avec Molly et Simon dans les derniers jours, mais bon, à quoi ça me sert de me mentir? Alors, je ne vais pas super bien, mais, ça pourait être pire. C'est ce que j'ai compris en écoutant pretty little liars, je veut dire, je n'ai plus d'amis, ni vraiment de parents, mais, bon, je n'ai pas une personne qui épluche ma vie, et me rend la vie difficile. Au moin.

mantenant, pourquoi? pourquoi je ne vais pas bien? Mes parent, mes "amis". quand j'y repense, c'est toujours les mêmes raison, non? pourquoi est-ce que je ne pourais pas avoir comme.... un problème avec la nourriture? bon, j'avoue que j'en ai un petit, mais, pas vraiment. en même temps, je n'échangerais pas mes problèmes avec ceux des autres. J'ai apris un peut avec le temps à me démèler avec mes propres problèmes. en même temps en plus, je me suis attacher à eux, si je ne les avait pas, je passerais mon temps comment? 

Je deviens litéarlement folle, je trouve des points possitif à mes problèmes. 

Je me suis lever debout sur mon lit (*ok, c'est vraiment random, mais, pour ceux qui lisent "Notre Hsitoire" non, Alizé ne vas pas essayer de toucher le plafond. oki? oki.*)  et j'ai enlever lentement la feuille du plafond, pour la mettre sur mon lit, et la regarder un instant, me dire à moi même à quel point j'écrivais mal, puis, me lever, et me diriger vers ma bibliothèque. j'ai parcourut les livres qu'ils y avait, et j'ai pris mes préférées. Twilight, Hunger Games, Divergence, Percy Jackson, The Perks Of Being A Wallflower... En fais, c'étais mes préférées, quand j'avais 15 ans, Mainetant que je suis plus vieille, je ne sais plus, j'ai arrêter de lire, les gens me prenait pour une "nerd" alors, j'ai seulement arrêter de lire des livres, pour essayer de changer l'image que les gens avaient de moi, ce qui n'a pas marcher. j'ai sortie une boite en carton de mon encien garde-Robe, et j'ai mis les livres dedans, j'ai aussi pris quelques cadres et albums photos. sur le dessus des choses dans la boite, j'ai déposer la feuille que j'ai enlever du plafond. Avant de sortir de mon encienne chambre, j'ai fermer le rideau de la fenêtre, et j'ai  pris la boite, fermer la lumière et la porte. Laissant ma chambre d'adolescente plonger dans le noir, tout comme mon esprit parfois.

Rendue "chez moi" ou plutot chez Simon... et Molly, j'ai été porter ma boite dans ma chambre, la déposant sur mon lit, et je me suis assise et j'ai ouvert la boite, recollant la feuille au plafond, mais de ma chambre actuelle. Plçant certains cadrea, et rangeant les livres. En plaçant mes livres, une feuille tomba par terre, elle avait du glisser des pages du livre que je replaçait. qui se trouvais à être The Perks Of Being A Wallflower. Je l'ai ramasser, et je me suis souvenue de moi adolecente de 15 ans, plaçant cette feuille dans ce livre, me disant que je re-ouvrirais surement un jour et verrais le texte, surement que j'avais fais pour l'école

Charlie est un personnage mystérieux. il semble normal, mais à la fois spécial, à sa maniere. Le livre commence par une lettre, on ne sais pas à qui exactement il écris, mais on sais qu'il écris pour que finalement, quelqu'un l'écoute, pour que finalement, quelqu'un le comprenne. Il écris ces pensées, ces actions, sa vie. Racontant peut à peut son histoire, jamais trop d'information, mais juste assez pour garder un lecteur acrocher à son livre jusqu'à 10 heur du soir.

"..."

et de l'autre coté de la feuille, il y avait un petit texte de bribouiller, écris de mon écriture mal-soignée, mais qui reste lisible.

La douleur est quelque chose qui demande d'être ressentie, et cette douleur fait mal. Les gens entre dans notre vie, puis partent. Après qu'ils soient partis, on essais de les oublier, mais, ces souvenirs sont toujours dans votre tête, vous rapellant à quel point vous avez été stupide, à quel point vous avez été blesser dans le passée. Les gens rentrent dans votre vie, et partent comme bon leurs semble, vous laissant affronter  les monstres dans votre tête. Vous laissant aussi faible qu'une simple petite chose peut vous briser. Renverser votre univers entier.

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tadam!

je sais que j'ai pris du temps à écrire ce chapitre, mais c'est parce qu'il se trouve beaucoup de parties de moi dans ce chapitre, et que j'ai trouver dur de l'écrire... en tout cas :)

merci de lire :)

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Élodie :)