❝ Lie est une jeune fille de 18 ans, étudiante en médecine.
Sa vie était bercée par ses études, ses amis, son petit ami. Et lui.
Son foutu colocataire, au nom aussi particulier que le sien, Suga.
Elle ne savait pas dans quoi elle s'embarquait en c...
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La porte s'ouvrit fortement, elle étouffa un petit crie de surprise, pourtant elle ne bougea pas, comme si elle était paralysée. Elle entendu une respiration assez fort, le problème était qu'elle ne savait pas desquels des deux étaient finalement rentrés. La porte de sa chambre s'ouvrit, elle ne bougea toujours pas, fixant son ami le plafond. Un frisson la parcourut.
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– Debout.
Elle fut soulagée en entendant la voix familière de Suga, elle tourna la tête vers lui. Il se tenait sur l'encadré de la porte, les bras croisés sur son torse.
– Aller, Lie.
Elle étouffa un soupire, avant de retirer la couverture qui était sur elle, elle posa ses deux pieds sur le sol froid avant de se lever. Sa main rejoignit son front lorsque sa vision devient trouble. Elle soupira bruyamment, ses jambes semblaient faibles, elle tenta de faire un pas en avant. Mauvaise idée. Ses pauvres jambes ne tenaient pas le poids de son corps, voilà sa t'apprendra à de pas manger. Elle tomba lourdement mais Suga la retenue à temps, il soupira avant de la portait telle une princesse sur le canapé du salon. Il alla chercher une assiette avant de s'asseoir à côté d'elle et de lui tendre.
– Mange, ordonna-t-il.
– Ça va Suga, je me suis seulement lever trop vite.
– Mange, insista-t-il en attrapant les baguettes et en approchant la nourriture de sa bouche.
Elle n'ouvrit pas la bouffe pour autant, il passa sa main libre derrière le dos de la jeune fille et d'un mouvement brusque la rapprocha de lui. Elle ouvrit légèrement les yeux, et par effet de surprise, ouvrit la bouche en même temps et mangea ce que Suga lui tendait. Finalement, elle mangea tout ce qui était dans l'assiette redoutant une nouvelle attaque de maître Suga.
Il la fixa, la stressant davantage. Pourquoi il la fixait comme ça ? Si elle avait eu le courage elle se serait lever pour le remettre à sa place mais la flemme avait pris possession de tous ses moyens. Il enleva sa veste en cuir et la posa, ou la balança au choix sur la chaise, toujours son regard sur la jeune fille. Elle soupira lourdement pour montrait son mécontentement.
Elle prit finalement la parole.
– Quoi ?
Elle sentit qu'il allait poser une question, mais à la place il se tue. Il s'approcha d'elle doucement, elle avala sa salive, sa démarche ressemblait à un tueur en série devant sa nouvelle proie. Il s'arrêta devant elle, elle était toujours assis sur le canapé. Il la regarda sans grande émotion.
