Péripétie #10 ( 2 de 4 )

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Tout débuta par un traditionnel temps gris du printemps québécois celui qui voudrait d'être un hivers, j'étais dans une soirée trop bruyante pour l'heure qu'affichait l'horloge. Lors une froide soirée d'avril, pour réchauffer l'aire, les plus populaire de l'école, tu te souviens, on les surnommait les pops, eux-autres, ils avaient organiser une fête avec trop d'alcool qui est devenus un "open house". Un heure après mon arrivé, je voulais partir de cet enfer. J'ignorais que ce serait pire en partant. En sortant, j'ai croiser le chum de Amélie qui a proposer de me raccompagner. Ne lui dit pas, mais Max en avait plus de besoin que moi. Je suis certaine qu'il a vider la moitié de la crème de menthe tout seul. Sans un seul bruit, on s'est sauvé dans la nuit. Finalement, je l'ai reconduit chez lui à pied puisque je devais passé mon permis seulement le mois prochain. Le chemin pour se rendre chez lui est assez sombre et ténébreux comme les meilleures scènes de crime. Aussitôt que cette pensée à traversée ma tête, je l'ai regretter. Te connaissant, tu dois te dire que je ne changerais jamais, que je regretterais toujours chaque pas que je fait. Cette fois-ci, j'avais raison. Le cauchemars a ensuite commencé . Même morte, je n'oublierais jamais son regards, ses yeux verts rempli de douleur qui demandait l'impossible en me suppliant de pardonner le geste qu'il s'apprête à faire. Ses yeux m'ont littéralement révélé le miroir de ses pensés. Avant que je puisse réagir, je sentais déjà ses lèvres sur les miennes, sa main trop haute sur ma cuisse tandis que l'autre m'enlevais déjà mon chandail. J'ai lâcher un esti Max qu'es tu fais. Je lui ai supplier de me lâcher avant d'aller trop loin. Je ne pouvais pas faire ça à ma meilleure amie, nous ne pouvions pas. J'ai crié, hurlé et pleurer. Sa main pesant sur ma gorge pour me faire taire se fait encore ressentir. Je me suis jamais sentis aussi sale. Le mur de brique déchirant mon dos, ma respiration insuffisante pour voir les chose au claire, le décors idéale pour un viole ; une ruelle sombre sans personne pour m'entendre. Quand soudain ma tête s'est frappée violemment contre le mur, assez pour me faire perdre connaissance. C'est mieux comme ça. Je me suis réveiller le surlendemain toujours dans cette ruelle. Je n'ai jamais su ce qu'il m'a fait subir après, par contre je peux vous affirmer que j'étais couverte de bleu, mes cheveux blonds étaient imbibés de sang, de mon sang et son canif était toujours dans ma jambe. J'ai passer la semaine à l'hôpital pour découvrir qu'il m'avait drogué en plus. Comme si c'étais pas assez ! Le médecin m'a affirmer que j'aurais du en mourir. Moi aussi, j'ai la certitude que j'aurais dû mourir ce soir là.

Un mois plus tard, à la mi-mai, j'avais toujours rien, ni à toi, ni à Tomas, ni à Amélie, elle ne me croirait pas de toute façon. À force de me le répéter, je me suis mise à y croire. Maxym et moi agissions comme si rien n'était, mais je crois lire dans ses yeux du regret, en tout cas je l'espère.

Ce soir-là en rentrant chez moi, mes parents étaient en grande conversation dans le salon. Ça avait l'aire trop sérieux pour un mardi soir. J'ai entendue ma mère en simili-larme se demander ce qu'ils allaient faire d'elle. Tu me connais je suis une curieuse de nature, donc je suis allée les voir. Le silence régnait dans la pièce. Mon père m'a demander combien j'avais eu dans mon dernier examen de chimie. Malaise. J'avais eu seulement 82%. Je sais que c'est plutôt bon, mais pas pour moi. Mon père me criait que je ne voyais pas l'opportunité qu'ils m'offrent, lui et ma mère. J'avais peur du lui, certaine qu'il me gifflerais. Je n'appelle pas ça un cadeau de m'offrir une place réservé à Havard parce qu'ils ont des contacts là-bas, c'est plutôt le boulet enchainer à ma cheville que je dois traîner constamment. Mon simple 82% n'étais pas assez bon pour celle que mes parents avaient choisie que je deviendrais . Chirurgienne. Toi, tu me connais. Tu sais que je suis une bombe à retardement, j'ai exploser cette fois-ci. "Écoutez moi! Papa, maman, je déteste le sang ! J'ai jamais voulue de cette vie ! Je m'en tabarnaque royalement la médecine. Moi, je rêve de musique, de mélodie, de belles rimes et de danse ! Je ne suis pas un médecin, je suis une artiste si vous vous intéressez à moi, vous le sauviez !" Comme un coup de poing en plein ventre, mes parents étais bouche bée. La belle et douce petite Alice capable de s'affirmer et dire ce qu'elle pence. La gifle que ma mère m'a infligé m'as poussé à partir. Je me suis retourné, j'ai fait ma valise et j'ai fugué chez Amélie. Je me doute bien que le premier lieu ou est ce qu'il vont me chercher c'est bien chez ma meilleure amie, mais j'avais la certitude que mes parents ne le feraient pas. Ils ne m'aime las tout simplement. Je crois qu'ils ne savent pas qui sont mes amies de toute façon. Ce soir-là, je tout dit à Amélie sur mon viole sans lui dire l'identité de mon agresseur, mais elle m'as pas cru. Elle avait bien vu que je n'étais pas en bonne état. Nous avons jamais voulu en rediscuter.

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