Le vent s'acharne,
Se brise et s'enlace.
Erre, sans jamais se poser. Sans âme, sans immensité.
À toi, ami de toujours,
À nous, amours sans parcours,
Je vogue de par tes reflets que les autres ne voient pas. Je m'en vais, au delà des saisons, des miels et des orages. Je ricane sans que mes congénères ne comprennent.
Suis-je si étrange ? Pourquoi suis-je si seule, Cher Vent ?
Oh, si seulement tu avais les réponses. Les questions, l'affirmation. L'énergie, la mélancolie.
Si seulement tu étais l'âme d'un monde.
L'âme de nos vies.
Je te laisse, Cher Vent. Madame Klans retient mon esprit avec les participes passés.
Niel.
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L'intraveineuse de sens
General FictionAu final, que sommes-nous ? Niel le sait. Elle le sait, parce que les mots le lui ont dit. Tout simplement. #210 dans Fiction Générale (28.08.2016) © Je suis un paradoxe. | 2016 #JeSuisResponsableDeCeQueVousLisez