La bataille des Anges Tome 1

Chapitre 13

   Je voulus monter le voire mais les deux sœurs me retentirent.

-Non Mélisse attend, il a besoin de repos. Son père ne l'a pas raté.
-Lisa...
-Non, moi c'est Mélina.
-Oui bon, Mélina je dois le voir, s'il te plaît. Laisse-le-moi voire...
-Non, non et non. Tom a besoin de repos.
-Mais...
-J'ai dit non !

  Je fis demi-tours et m'assis dans le jardin. Si Tom savait où étaient mes parents, je ferais tout pour le protéger. je ne veux pas perdre cette chance de les revoir, même s'ils m'ont menti. Ce sont eux qui m'ont élevé et personne d'autre. Je ne pus retenir plus longtemps les larmes qui étaient enfouies en moi depuis trop longtemps. Mon ventre se mit à gargouiller, et quand j'allais me lever quelqu'un approcha :

-Mélisse, tu viens manger, Mélina et Lisa ont faits le repas.
-J'arrive Annabelle.

  Elle me regarda et vit mes joues rougie par les larmes quelques minutes plus tôt. Elle ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais se ravisa et ne dit rien. Le couvert était mis quand j'entrai dans la cuisine. Tout le monde ou presque était attablé. Je m'assis à cote de mon meilleur ami.
Une fois le repas terminé, les filles débarrassèrent tandis que les garçons partirent dans le jardin. Quand tout fut fini, ont les rejoignirent dans le jardin. Un combat avait lieu.

-Arrêter ! Mais sa ne vas pas, criais-je.
-Qu'est ce qui vous prend, demanda Annabelle.

  Ils nous regardèrent, et les deux qui se battaient nous firent en même temps :

-c'était pour rire...
-On ne se battait pas pour de vrai !
-Ah oui ? Alors, on peut jouer, dit Annabelle, comme sa Mélisse pour s'entraîner...
-Quoi ?! Non, je n'ai pas...
-Tu n'as pas le choix de toute manière, fit Mickaël derrière moi.

  Annabelle le regarda et s'approcha de lui pour le soutenir en voyant qu'il tenait à peine debout. Il était pâle, et il avait l'une de ses mains sur sa blessure.

-Tu devrais rester coucher, fit Lisa, tu es encore faible. Ton corps n'a pas tout éliminé le poison de la femme-vampire.

  Il ne parut pas comprendre sur le coup, quand il comprit enfin il blêmit encore plus qu'il ne l'était déjà. Il s'accrocha à son amie pour ne pas tomber. Annabelle l'aida à s'asseoir sur l'une des chaises longues.

-Mickaël a raison, si tu veux retrouver tes parents en vis, il va falloir que tu apprenne a te défendre, fit Annabelle.
-Je sais, mais je ne sais pas me battre. Je n'ai même pas d'armes.
-Si, tu ne te souviens pas, les jours où il y a eu la femme, tu as transformé une baguette chinoise en une épée...
-Et puis, tu es très forte au tir à l'arc, fit Maxence

  Je soufflai de désespoir et partie chercher la fameuse épée. Je la fis tournoyer et une vague de puissance s'en dégagea.