La bataille des Anges Tome 1

Chapitre 18

-En attendant, sa me ne dit qu'est ce que vous êtes?
-C'est l'un des anges soldats, elle contrôle le feu, fit Annabelle elle se retourna vers la jeune femme, chef, vous ne devriez pas rester là, cela peut être dangereux pour vous.
-Je sais Annabelle, mais je dois parler à Mélisse et c'est urgent.

  La femme se retourna vers moi et me prit le bras. Elle me fit sortir dans le jardin et dit.

-Écoute Mélisse je n'ai pas beaucoup de temps. La ville des Anges, à était ravagée par Nawel. Beaucoup d'anges on était tué. Et ceux qui restent veulent quelqu'un sur qui compter pour les sauver. Alors, s'il te plaît, fais le bon choix et ne part pas de son coter.
-Non, mais madame, je ne suis pas sur d'être à la hauteur de ce que vous me demandez.
-Mélisse, s'il te plaît, on a besoin de toi...
-Madame, vous êtes une femme soldat, vous ne devriez pas avoir à demander de l'aide à une fille comme moi. En plus, je n'ai pas la force de me battre encore pour un peuple qui n'est pas le mien.
-Tu te trompes Mélisse, c'est aussi ton peuple. Tu es un ange soldat, d'une puissance remarquable. Nawel a peur de toi, c'est pour cela qu'il te veut dans son camp, tu as la puissance pour le détruire.
-Je dois retrouver mes parents avant que Nawel ne les tue. S'il vous plaît, laissé moi les retrouver.
-Oui je comprends. Alors retrouve-moi au Palais-royal dans trois jours. On parlera au roi de ton problème et après on verra.

  Elle déplia ses ailes, et avant que je ne lui pose la question d'où se trouver la ville des anges, elle s'envola ne laissant derrière elle une fumée de poussière. Le soleil commençait à se montrer quand je rentrai dans le salon. Tous les regards se tournèrent vers moi.

-On part à la ville des anges, dis-je sur un ton sans émotion.
-Pourquoi, répondit Félix.
-Je dois voir l'état de la ville. D'après Ariana, Nawel l'a ravagée. Et elle veut que je voie le roi.
-Et quand nous sommes arrivés, tu ne voulais pas, râla Annabelle, alors pourquoi tu veux y allait maintenant ?
-Je te l'ai dit Annabelle, je dois voir l'état de la ville. Je dois voir le roi.
-Et si tu nous avais suivis quand on est venue, Mickaël n'aurait pas été blesser, cria la jeune fille, tu n'es qu'une gamine capricieuse. Qui fait ce qu'il luit plaie quand il luit plaie. Tu sais quoi, Mélisse, débouille toi pour retrouver tes parents, moi je ne partirais pas. Et j'espère qu'une seule chose, c'est qu'ils ne soient déjà plus de ce monde.
-Annabelle calme toi, fit son ami, tu vas trop loin.
-Parce que tu l'as défends après tous ce qui t'est arrivé a cause d'elle ?
-Oui, parce que ce n'est pas à cause d'elle...
-Si elle ne t'avait attaché avec ses fichus plantes, tu aurais pu te défendre.
-Peut-être que non.
-Quoi ?
-J'ai dit peut-être que non.