Hasard

Chapitre 15- Souper presque désastreux partie 1-

Je me préparai pour se soir, car j'allais souper chez Lucas, pour rencontrer sa famille, il avait une petite soeur de six ans et un grand frère de vingt ans. Je devais être prête pour six heures, il allait venir me chercher et nous allions marcher ensemble jusqu'à chez lui.

Après ma douche, je commençai à me poser quelques questions.

Premièrement, qu'est-ce que je porte à ce genre d'événement ?

Deuxièmement, est-ce que sa famille va m'apprécier ?

Troisièmement, est-ce que je vais devoir parler ? Parce que je suis plus du genre silencieuse.

Quatrièmement, je crois bien ne plus vouloir y aller.

Après cette constatation, je décidais d'appeler Lucas, pour lui dire de canceler.

-Oui allo, répondit-il.

-Salut, c'est Sam et j'appelais pour m'excuser, car finalement je ne peux pas venir.

-Comment ça ?

-Eh bien j'ai des trucs à faire, mentis-je.

-Des trucs ? Demanda-t'il soupsonneux.

-Ouais des trucs.

-Ta gueule Sam, je sais que ta rien, t'as juste peur!

-Ok, je suis désolé, t'as raison, je suis terrifier !

-T'as pas à être morte de peur, t'inquiète tout va bien se passer. Me réconforta-t'il.

-Je suis vraiment nul avec les gens.

-Donc, je vais être là vers six heures, À plus.

-À tantôt, finis-je.

Bon, on dirait bien que je ne peu m'en sauver.

Finalement, j'optai pour une robe d'été simple mauve foncé avec des sandales et une veste en laine beige, c'est ma mère qui me l'avait conseillé.

Je ne savais pas quoi faire, il restait une heure avant l'arriver de Lucas et je ne faisais que stresser. Je lu pendant trente minutes, mais ça ne fit qu'augmenter mon stresse. Ma mère essayait de me donner des conseils, mais je ne l'écoutais pas, ma tête était ailleurs.

À six heure moins cinq on sonna à la porte, c'était Lucas. Il portait sa casquette noir avec un t-shirt et un jeans, il était super beau.

-SALUT LUCAS ! Cria ma mère de la cuisine.

-BONJOUR JULIE ! Répondit Lucas en riant.

-Bon, es-tu prête ? continua-t'il.

-Non, j'ai juste le goût d'aller me cacher en se moment !

-Tout va bien se passer, fini-t'il en me prenant dans ses bras.

Ahhhh, ses bras, je les aimes bien ses bras.

Je dis bye à ma mère et sortis. Pendant notre courte marche, Lucas me prit par la hanche, ça faisait apparaître, pour la première fois de ma vie des papillons. Il me chuchota à l'oreille des mots doux pour me rassurer, mais je voulais juste m'enfoncer dans le sol et jamais en sortir.

On arrêta notre marche devant une maison blanche de taille moyenne au toît rouge, il y avait un porche à l'entré et un escalier de trois marche pour y acceder. Il me serra la main et ouvrit la porte.

Sa maison était une aire ouverte, le salon à droite, la cuisine à gauche avec la salle à manger en arrière et à sa droite l'escalier qui mène à l'étage et un autre qui mène au sous-sol. Il y avait une femme dans la quarantaine qui était trop concentré dans sa cuisine pour nous remarquer et on entendait des bruits de chamallement qui venaient d'en bas.

-Salut on est arrivé, dit Lucas pour avoir l'attention de sa mère.

Sa mère se retourna avec un gros sourire en acourant vers nous. Elle avait de beau long cheveux brun bouclé, comme ceux de Lucas, elle avait une petite bouche, et des petites pommettes, qui était le contraire de celui-ci.

- Bonjour les enfants, dit-elle sans perdre son sourire.

-Bonjour madame, répondis-je.

-Appele moi Lyne, mon dieu ! Souria-t'elle, sans jamais me perde de vue elle se retourna vers Lucas, Lucas mon cher, les autres sont en bas et ça sera prêt dans quarante cinq minutes.

-C'est bon, termina Lucas.

Je n'eus pas besoin de parler ce qui m'allait très bien. Il m'amena en bas où je fis la rencontre de sa petite soeur Charlotte qui dessinait en face de la télévision et de Ben, son grand frère qui regardait le football Américain qui passait à la télé. Là non plus je ne parlais pas beaucoup.

- C'est qui qui gagne ? demanda Lucas en s'assoyant.

-Le rouge et or, répondit son frère.

-Sam, veux-tu dessiner avec moi ? me proposa Charlotte.

Je ne savais pas quoi répondre, mais Lucas me fit un regard doux qui m'invitait à m'asseoir et dessiner avec sa soeur alors j'accepta.