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Hello mes Skittles ❤️, 

Qu'est-ce que vous m'avez manqués ! (Et désolée de ce post à une heure indécente, comme d'hab' quoi 😪). 

Sinon merci merci merciiiiiiiiiiiii pour les 110 K sur Pop-Up. ❤️❤️. C'est juste démentiel. Vraiment. Je vous aime trop trop. Vous êtes sensas ++++. Il me tarde de vous voir tous un jour et je suis certaine que ça arrivera dans un jour prochain. 😉

Bref, je vous laisse avec le chapitre qui est un chapitre "Vous m'en direz des nouvelles !"😬. En tout cas, j'ai kiffé l'écrire hein. J'espère que vous allez kiffer le lire. 

Allez, je vous fais des bisous. 😘

PEACE AND LOVE-

-JFL 

***

Billie Fernandez

La soirée d'hier fut excellente en compagnie de Pattie, son fils et monsieur Levy qui a fini par nous rejoindre.

Nous sommes restées un peu plus tard que prévu, mais nous étions tellement concentrés sur ce mariage qui arrive dans quelques semaines que nous avions répartis quelques tâches.

Ça a beau être un mariage factice, je vous assure que tout le monde s'est pris au jeu.

Même Eva qu'Edna a appelé assez tardivement par facetime. Pattie et elle, avaient convenues à se rencontrer ce dimanche pour revoir les détails du mariage. Et la rencontre entre les deux familles se feraient le mercredi soir.

En retrouvant toutes les deux notre appartement, elle m'avait confié, qu'après le mariage, Elliott serait l'un de nos colocataires avant de découvrir une enveloppe sur le paillasson. Elle ressemblait étrangement à celle que nous avions reçu avec la robe.

D'ailleurs, Edna avait soupiré et m'avait proposé qu'on la lise le lendemain, car elle était épuisée par sa journée.

Je compris donc qu'il manquait une partie de sa journée dont je n'avais pas connaissance, mais j'étais tout aussi fatiguée qu'elle, alors nous avons regagnés nos chambres respectives en mettant nos tracas de côté.

Une organisation de mariage, ça met toujours du baume au coeur alors la lecture du dossier de mon père ou de cette lettre ou même de la journée d'Edna pourrait mettre fin à ce sentiment d'apaisement.

*

Le réveil est difficile. 

Pour une fois, Edna ne me crie pas dessus. 

Je grogne sous ma couette en regrettant le fait d'avoir ce bref entretien.

Je ne veux pas travailler.

— Allez, lève-toi Billie, dit Edna d'une voix endormie.

— Mais, il est que 7 h 45. C'est trop tôt ! Mon rendez-vous est à 9 heures, râlé-je.

Je l'entends soupirer et sors ma tête de sous la couette pour la regarder. C'est évident, à travers son regard, qu'elle est dépassée par ma maladie du travail.

— Tu n'es pas croyable. Allez, bouge tes fesses avant que je n'aille chercher ma ceinture ! dit-elle en se levant de mon lit.

Je grommelle et cogite dans mon lit pendant un quart d'heure avant de balancer ma couette au sol, en colère.

Je m'en vais donc prendre une douche, puis me pomponne de mauvaise humeur.

Le fait de penser à ma possible récupération de sommeil à mon retour me détend un peu.

POP-UPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant