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Hello mes Danettes Liégeoises au Caramel ❤️, 

Je reviens vers vous avec ce chapitre très très sympa à mon humble avis haha🤔. Vous m'en direz des nouvelles. 

Sinon, je vous aime un peu plus chaque jour pour vos messages, vos commentaires, vos votes et les nombres de lectures qui ne cessent d'augmenter à ma grande surprise sur les trois histoires. Quand je suis archi triste, suffit que je lise des commentaires ou des messages et mon coeur se réchauffe. Ah là là, je prie Dieu pour vous rencontrer un jour. Vraiment 🙏🏾. 

Des bisoooouus mes amours ! 

PEACE AND LOVE-

-JFL

PSS: Je vous propose aussi de lire tout le chapitre avec la chanson " Cold Water" de Major Lazer que je kiffe depuis des années. Elle vient tout juste de sortir et je trouve qu'elle colle assez bien avec le chapitre, surtout vers la fin. Elle est en média et vous n'êtes pas obligés de le faire. 😌

***

Billie Fernandez

Une fois qu'Edna est partie, sa belle-soeur m'avait harcelé de questions sur notre road trip et le pourquoi du comment.

Je n'avais répondu que vaguement et avec énormément de nonchalance ce qui la fit capituler bien rapidement.

Fatima avait bien veillé à ce que je me trouve dans la salle des professeurs, pour que je puisse potasser sur mes cours, sur lesquels je n'avais carrément rien fait.

De toute manière, tout se déroulait au feeling avec moi. Je savais que j'allai assurer. C'était plus ma tasse de thé que les trucs où je devais user de ma force corporelle, ce que je n'avais pas. En tout cas, j'allai déchirer. J'en étais certaine.

Apparement, j'étais attendue avec impatience par les élèves et l'enseignant en question.

Beaucoup de personnes étaient passées avant moi mais, elles n'étaient pas restées plus de deux mois.

J'avais demandé pourquoi à Fatima mais, elle m'avait sourit avant d'aller rejoindre sa classe.

Je me suis donc concentrée à être parfaite tout en sirotant un café de mauvais goût, parce qu'ils n'avaient plus de thé et encore moins un Latte au caramel. Je devrais peut-être l'imposer.

C'est enfin l'heure.

Étrangement, je ne suis même pas angoissée, même lorsque la directrice de l'école vient me chercher pour m'emmener dans la salle de classe.

— Ça va aller ? Vous le sentez bien ? me questionne-t-elle avec un léger sourire.

— Ouiii ! dis-je avec assurance. J'aime bien les gosses alors aucun souci.

Elle rit doucement et rétorque :

— Je tiens à vous avertir, ce n'est pas une classe facile.

— Comment ça ? Vous attisez ma curiosité là, Madame.

— Vous allez le découvrir par vous même, Billie.

Elle frappe à la porte sans me laisser le temps de réaliser ses propos et des cris me proviennent aux oreilles.

Lorsque je disais que j'aimais bien les enfants, je parlais des enfants calmes. Pas de ce type d'enfants agités !

Ils sont juste ... j'ai déjà envie de me barrer là ! Ce sont des petits monstres et ...

J'écarquille les yeux face aux cris de la directrice pour leur demander de se calmer, sauf qu'ils n'écoutent pas vraiment et leur enseignant est obligé d'intervenir avec sa grosse voix à faire pâlir les morts pour obtenir le silence complet.

POP-UPOù les histoires vivent. Découvrez maintenant