«dix-huit.

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Maya en multimédia.


*

Les jours passaient et finissaient par se ressembler.
J'étais heureuse et épanouie dans ma relation avec Hakim même si on mettait quelques distances entre nous devant les autres.

Après le coup de blues que j'ai eu suite au piège que m'avais tendue 2L pour violer Fayza, je n'ai toujours pas passé de journée avec Hakim.
Je m'en étais remise, bien que les regrets et la culpabilité étaient toujours présents en moi.




Je me prépare et descend dans la voiture de ce dernier qui était déjà prêt depuis une trentaine de minutes.

« C'est pas trop tôt » dit-il en levant les yeux au ciel.

Il m'avait préparé une surprise d'après lui qui devrait vraiment me plaire.

On arrive devant un petit portail, qui donnait sur un terrain abandonnée, l'herbe était très haute suite au manque d'entretien.
On saute le petit portail, Hakim me prend par la main et nous arrivons devant une espèce de cabane avec des murs en ferrailles.

Puis il ouvre la porte de la cabane, qui était une vulgaire planche en bois.

J'étais stupéfaite, la cabane était en réalité un lit d'amour, super confortable.
Je n'ai même pas les mots pour la décrire, j'ai sortie mon Polaroïd de ma poche et je l'ai photographié j'en étais tombé amoureuse.

 Je n'ai même pas les mots pour la décrire, j'ai sortie mon Polaroïd de ma poche et je l'ai photographié j'en étais tombé amoureuse

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J'ai attrapé sa nuque et j'ai embrassé ses lèvres de toutes mes forces, pour le remercier de m'avoir fait cette surprise.

Nos bisous deviennent de plus en plus intense.
Le silence a parfois ses vertus, et ni lui ni moi avions envie de parler, nos corps communiqués ensemble et ça nous suffisait amplement.

Il attrape mes hanches et me porte, puis m'installe sur le lit.

Il se trouve au dessus de moi, embrasse chaque parcelle de mon corps en me prenant soin d'enlever mes vêtements.
Nos souffles s'accélèrent, l'envie est présente. Hakim me regarde une dernière fois dans les yeux, il voulait que je lui confirme à mon tour mon envie.

« Je t'aime » lui chuchotais-je dans l'oreille


Il me regarde avec des yeux qui pétillent puis m'embrasse fougueusement.
Il enlève à son tour son survêtement de sport, nos corps sont bouillants et sont collés l'un à l'autre.
Je sens son attribut masculin pénétrer en moi.
Les draps s'en souviendront.


[1] « À L'ENCRE DE NOS MÉMOIRES »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant