Chapitre 6

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Salut à tous ! Je pensais pas que j'aurais le courage d'écrire alors que je suis en vacances mais je le fait quand même ^^
Le blabla habituel : mes personnages ne m'appartiennent pas et soyez indulgent sur les fautes !
Enjoy!
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La porte fermé s'ouvrit avec une lenteur calculée. Peu à peu, le décor d'un appartement se fit voir. Doucement, des formes humanoïdes entièrement vêtues de noirs entrèrent dans le miteux trois pièces. Armes braqués en avant, ils cherchèrent des yeux leur cible. Un à un, ils passèrent la porte à moitié ouverte sur leurs gardes, observant chaque recoins. Ils ouvrirent chaque placard, chaque chose susceptible de leur cacher leur cible. Finalement, après plusieurs minutes de recherche brève mais intense, ils revinrent au milieu de la pièce principale bredouille.

Un grand gorille s'apparentant à leurs chef sortit finalement un talkie-walkie.

« Ici Faucon 1, l'oisillon n'est plus dans le nid. Je répète, l'oisillon n'est plus dans le nid. A toi Faucon 2.

- Ici Faucon 2, l'oisillon n'est pas dans mon viseur. A toi Faucon 1. »

Sur le toit d'un immeuble se trouve l'ombre d'un sniper couché à même le sol. Son fusil sur un trépied posé en face, l'assassin connu sous le nom de Red-Eyes attendait la réponse de son collègue. Ses yeux cachés et protégés par des verres rouges -d'où son surnom- étaient rivés sur la façade grise et plus précisément sur une fenêtre éclairée par une lumière blafarde faisant deviner quelques ombres. Ces ombres mouvantes étaient ses collègues, des mercenaires, qui avaient été recrutés par une organisation louche pour cette mission plutôt étrange.

Quelque chose d'inquiétant sortit l'assassin professionnel de sa rêverie. Une à une, les ombres s'effondrèrent, leurs nombres se réduisant et pour accompagner ce spectacle macabre, de nombreux cris venant des appareils de communication. De plus, il pouvait apercevoir une autre ombre bouger à grande vitesse, donnant pas mal de coups précis et puissant avant que ses adversaires ne tombent. Impuissant, le blond observa la scène de son perchoir. Un grésillement l'arracha de la danse macabre et, d'un sursaut de conscience, il appela ses collègues pour connaître la situation avec plus de précision. Il ne put entendre que des gargouillis incompréhensible.

Il se remit à observer la fenêtre : il devait rester environ cinq hommes debout contre une forme plus petite. Armée d'une dague, il attaquait rapidement et revenait à sa position initiale. Les adultes ne pouvait qu'encaisser les chocs à la fois puissant et précis. Tout était préparé, calculé, comme si toute l'action avait été défini à l'avance. Elle suivait un schéma précis et ce combat était à sens unique, car les mercenaires, bien que professionnels, sont plutôt balourd et ne pouvaient rien faire contre les attaques rapides. Tout les mouvements de l'attaquant étaient empreint d'une grâce et d'une élégance étrange et morbide. Un feu follet virevoltant au milieu des opposants.

Puis, soudain, tout s'arrêta. Les mercenaires s'effondrèrent au sol en même temps, tel des marionnettes privées de leurs fils et, au centre, leur adversaire. Un autre grésillement provint de l'appareil avant qu'une voix inconnue et chantante prenne sa place :

« Allo ? Ici l'oisillon, Faucon 1 et sa bande n'est plus en état de combattre ni même de parler. Que décidez-vous de faire Faucon 2~ ? »

Malgré son trouble et sa nervosité grandissante, Red-Eyes prit le talkie-walkie dans une main et affirma sa prise. C'est d'une voix qu'il voulu calme qu'il répondit :

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