Chapitre 9

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Salut, voilà le chapitre 9 ! Désolé pour les fautes. J'espère qu'il va vous plaire. Laisser des commentaires et voter. Bonne lecture !

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                         Jason


Je me gare dans l'allée de la maison qui se dresse devant moi et sort de la voiture. Des gens en sortent, vomissent leurs tripes dans les buissons, fument ou dansent, et à chaque fois que la porte s'ouvre, la musique s'en échappe. Je glisse une main dans la poche de mon pantalon et attrape le paquet de cigarette et mon briquet. J'entrouvre mes lèvres, y glisse le cylindre de tabac et l'allume, tout en me dirigeant vers la maison. Après avoir recraché la fumer de mes poumons, j'ouvre la porte d'entrée et me glisse à l'intérieur. La musique assourdissante emplit la pièce, manquant d'exploser mes tympans. J'essaye tant bien que mal de me frayer un chemin dans la foule regroupée dans le salon, dont les meubles ont changé de place afin de laisser plus de place aux gens de danser. Du regard, je fouille la pièce rapidement, cherchant un visage familier. Soudain, un corps vient se coller au mien.

- Salut mon beau !, crie-t-elle par-dessus la musique pour se faire entendre, tout en entourant mon cou de ses bras, rapprochant encore plus nos corps et, par la même occasion, me laissant sentir son haleine alcoolisée.

- Dégage, dis-je d'une voix lasse.

Sans un regard de plus pour elle, je la pousse et continue mon chemin. Je l'entends m'insulter, mais je m'en fiche et fait comme ci, je n'ai rien entendu. Puis, au loin, je perçois Mike descendre les escaliers, une fille accrochée à son bras. Je vais dans sa direction, poussant les personnes de mon chemin. Me voyant arriver, il me fait un signe de la main.

- Yo mec ! J'ai cru que tu viendrais plus finalement.

On fait notre poignet de main et on se dirige vers un coin de la pièce, où un fauteuil à trois places se trouve.

- J'avais un truc à faire, je souffle en m'asseyant sur fauteuil, un bras sur l'accoudoir.

- Comme quoi ? Baiser Alison ?, ricane-t-il.

Je lui frappe l'épaule et je ne peux empêcher un petit sourire de naître sur mes lèvres.

- Non. Je devais régler un truc.

- Ok. Tient, quand on parle du loup, il me dit en pointant un endroit.

Des yeux, je suis la direction qu'il montre, puis je vois Alison, entrer dans la pièce, accompagner de deux autres filles. Je la vois qui fouille la pièce à la recherche de quelque chose, puis ses prunelles rencontres les miens et un sourire apparaît sur son fin visage. Je la vois se diriger dans ma direction, d'un pas décidé, se déhanchant les hanches de droite à gauche, attirant ainsi le regard des gens sur elle. La robe rouge courte qu'elle porte, moule son corps telle une deuxième peau et les talons, sur laquelle elle est perchée, sont d'une hauteur si vertigineuse, que c'est à se demander comment elle fait pour marcher avec.

- Chérie !, s'écrit-elle en me sautant dessus. Tu n'as pas répondu quand je t'ai téléphoné ?, dit-elle, une moue boudeuse sur le visage.

- Désolé bébé, j'avais un truc..., elle me laisse à peine le temps de finir ma phrase, qu'elle se jette sur mes lèvres.

J'entoure sa taille d'un bras pour la rapprocher de moi et dépose mon autre main sur sa nuque, accentuant le baissé. Nos lèvres bougent avec frénésies, comme si elles voulaient s'entre-dévorer. Je lèche et mords ses lèvres et de ma langue, force la passage entre ses lèvres, partant à la rencontre de la sienne.

Apparence trompeuseOù les histoires vivent. Découvrez maintenant