Chapitre II.

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   J'ai une petite heure devant moi donc autant vous en faire profiter! =P

   Je voulais vous remercier d'être aussi présentes, je n'en reviens toujours pas! C'est peu par rapport à tout ce que vous m'apportez mais je vous ai fait une petite dédicace sur la première de mes photos sur Instagram: yo_anna59. N'hésitez pas à m'ajouter!

/!\ Chapitre non relu. J'attends vos avis avec impatience!

    Comme le message publié sur mon mur Wattpad, dès que possible, je répondrai à vos messages privés comme ceux sur ce mur.

    Bisou bisou!

                                                                                        * * * *

   L'humaine s'accrochait à tout ce qu'elle pouvait, au drap, à la tête de lit, tandis que je la martelais de coups de reins jusqu'à lui en décrocher le bassin. Elle hurlait de plaisir alors que je ne pensais qu'au mien. J'aimais la faire crier comme une cochonne. Je lui redressai les cuisses et me positionnai sur les genoux pour pouvoir la pénétrer plus profondément. L'humaine enfonça ses ongles dans mes bras et envoya valser sa tête en arrière. Je l'appelle humaine car je n'ai pas pris la peine de lui demander son prénom. De même que la trentaine d'autres filles que j'ai eu l'occasion de baiser dans chaque pays que nous avons sillonné lors de notre périple. La bande de potes appliquait qu'une seule règle: Pas dans les propriétés familiales. Je ne voulais pas y souiller les souvenirs présents. Même si mon père avait du en faire des beuveries dans ses demeures. Je jetai un coup d'œil à la femme dont le corps était parcellé de sueur. Ah une blonde! Je n'y avais même pas prêté attention. Plutôt banale. De toute façon qu'importe la femme, tant qu'elle avait un vagin, j'y fonçais. Au regard de ses cris et de sa façon de se contracter, elle était au bord de la jouissance. Je n'en étais pas loin non plus. Pour la troisième fois dans la journée et avec trois femmes. Ses parties de jambes en l'air étaient bien sans être oufs. Je devais toujours retenir ma force, impossible de me lâcher. Sinon, elles en ressortiraient démembrées. Valait mieux éviter ce genre de scandale. Sans mon statut, mon casier judiciaire serait déjà bien rempli. En fait, ça avait pas mal d'avantages d'être moi.

- Tape plus fort, je ne suis pas ta mère! M'interrompit la blonde.

    Je débandai directement. Quoi ?! Je l'attrapai au bassin et la jetai contre le mur. D'abord secouée, elle me regarda avec des yeux ronds.

- Mais t'es malade?

    S'il y avait une seule chose à dire pour me couper toute envie, c'était bien ça. Seules quatre personnes pouvaient aborder le sujet de ma mère, mon père, Livia et mes potes, les autres ne tentaient même pas car ils savaient que je leur arracherais la langue. Et cette petite salope osait le faire et en pleine baise? C'est elle qui était malade!

- Casse-toi d'ici! Hurlais-je en désignant la porte de la chambre.

    Ma voix imposante résonna dans la pièce. L'humaine en resta pétrifiée. En souriant maléfiquement, je fis prendre à mes yeux une lueur rouge. Elle hurla et se cacha le visage. Puis elle se jeta sur ses vêtements et les rassembla aussi vite que possible dans ses bras. Avant de claquer la porte, elle déclara d'une voix tremblotante:

- Mais tu es le diable!

     Je lui fis mon plus beau sourire et me laisse tomber sur le dos, les mains derrière la tête. J'attrapai une cigarette, la portai à ma bouche et l'allumai.

- Si tu savais. Murmurais-je en regardant le plafond blanc.

      Bon, pour aujourd'hui, je n'avais plus envie de baiser. Cette connasse avait tout gâché. Une pensée s'immisça dans mon esprit. Je me demandai si c'était différent de coucher avec une personne qu'on aimait. Faire l'amour quoi. Je fis disparaître cette pensée incongrue et je finis tranquillement ma cigarette. Dans le pire des cas, je me terminerai sous la douche. Je m'assis dans le lit et entendit les ébats venant des pièces d'à côté. Andréas devait être certainement en train de baiser dans la cuisine ouverte et Darwell dans le salon. Aucune pudeur ces deux là! Personnellement, je n'avais aucun tabou mais le sexe à plusieurs, ça n'était pas ma tasse de thé. Je me demandai ce que penserait ma mère de tout ça. Pour une fois, je ne regrettais pas sa mort. Je n'aurais pas supporté son regard empli de reproches. Mon téléphone sonna, je levai les yeux au ciel lorsque je vis le nom de mon interlocuteur. Papa. Il m'appelait via Messenger pour mettre la vidéo. Eh oui, Lucifer lui-même avait Facebook. Je poussai un soupir avant de répondre.

Lestan.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant