Malgré le fait que je n'ai même pas eu à combattre, à la fin des entraînements j'étais épuisé. Avec toutes les émotions de la journée, d'être partie de chez mon père a avoir retrouvé mon grand frère, mon corps ne voulais qu'une seule chose, tomber dans les bras de Morphée.
Je me préparais à me coucher dans mon lit crasseux et Andrew vient s'assoir sur le siens.- Mais Rosie... T'es sérieuse??? Il reste trois heures avant le couvre feux! Viens donc avec moi et mes amis!
- Je suis vraiment épuisée. C'était une journée avec beaucoup trop d'émotions fortes aujourd'hui.
Il vient à coté de moi et me mis un bras autour de l'épaule.
-Je... Je suis désolée d'avoir parlé de Marcus tout à l'heure.
Je me dégageas de son bras puis me mise sur mon lit.
-Ça vas allé, ne t'en fais pas. Laisse moi la nuit et demain tout vas bien aller, dis-je dans un sanglot.
- Je suis désolé, bonne nuit. Il chuchotait et mis sa main sur mon épaule avant de quitter.Je ressent toujours un malaise lorsqu'il ne touche. Les altruistes n'ont pas de contactes les uns avec les autres. En famille oui, mais sinon c'était quelque chose de très inconnu et inconfortable pour moi. J'étais sur le point de m'endormir quand une main se posa sur moi ce qui me fit fait le saut en criant. La panique me faisait avoir les larmes aux yeux.
- Rosalie, Rosalie, c'est moi... C'est moi c'est Tobias.
Je le serait fort dans mes bras. Dans ma famille, avec le décès de ma mère et le... tempérament de mon père, la seule personne à qui je pouvais faire un câlin s'était mon frère. On à toujours été la l'un pour l'autre.
-Ça vas Rosie.
Il me lâcha et mis ses yeux droit dans les miens.
- Viens avec moi, on vas aller discuter chez moi.
- Ok.
Il me pris par la main et fit bien attention à se que personne ne nous aperçoivent.
...
On arrivas dans un gros Loft magnifique plutôt sombre, mais nous sommes des audacieux, le sombre c'est notre marque de fabrique.
-Woooaaaawww Tobias, c'est magnifique!
-Merci, dit il en souriant.
Il se dirigea vers la salle à manger et pris deux bouteilles d'eau.
- Boit ça.
-Tobias? Pourquoi m'as-tu emmener ici?
-J'aimerais qu'on parle.
J'hocha la tête. Il s'assit sur un gros lit double et tapotas à côté de lui pour me dire de m'asseoir, ce que je fit.
- Quand est ce qu'il ta fait ça? Dit-il en aussant le ton et touchant doucement mon oeil.
-Mon œil c'était après le test car j'étais rentrée un peu plus tôt et...
J'hésitais, je voulais tellement en parler à quelqu'un mais je ne pouvais pas... Jamais.
-Et il m'a fouettée le dos ... C'est encore très sensible. Et après que j'ai fait mon choix il a péter un câble et c'est mis à me battre à la vue de tout les audacieux. Sauf que personne ne la remarqué à part d'Andrew qui la poussé par terre et ma "sauver"...
Il avait les yeux sombres.
- Quand je suis partie, est ce qu'il s'en est directement pris à toi?
Je commençais à trembler et à me remémorer plusieurs choses qu'il me faisait, mais je ne pouvais pas dire ça à Tobias. Il me pris doucement les poignets pour que j'arrête de trembler puis il dit:
-Chut Rosalie... Ça vas aller tu es avec moi.
Et il me pris dans ces bras.
-Je... Tu... Il... Il m'a enfermé plusieurs fois dans des petits endroits clos sans nourriture nis eau pendant des jours... Et il a déjà essayé de me tué...
Je pleurais tellement fort que je ne pouvais même plus parler... Je me décolas de lui et le regardas. Et la dans ces yeux je ne vît que du noir.... Il se leva, et cognas dans le mur très fort... Assez pour laisser une grosse marque. Ensuite il glissa le long du mur et s'assit, le regard vide.
- Jamais j'aurais du t'abandonner... Jamais...
Il répétait ces paroles sans arrêt. Je m'acroupis vers lui et je pleurais encore. Il déviât mon regard mais je pris son visage entre mes mains puis affirma:
- Tobias, en aucun lieux ce n'était de ta faute. J'aurais fait pareille à ta place.
Il commença à pleurer. Je lui donna un câlin.
-Toto pleure pas, dis-je en prenant une voix de bébé ce qui le fit rire.
Quand j'étais plus jeune, je n'était pas capable de dire son nom donc, je disais Toto. Il regardait ses mains en me lâchant et il y avait un peu de sang.
-Rosalie?
-Oui?
-Tourne toi.
Je me tourna et il leva légèrement mon chandail pour voir mon dos.
-Tu sens rien?
-hemm, j'ai pris des anti-douleur et... C'est sensible mais j'endure...
-Rosalie c'est infectée!
Il partit et j'enlèva mon chandail ( je portais une brassière de sport).
La chose que j'avais oublié c'est que j'étais couvertes d'hématomes. J'avais aussi une cicatrice sur l'épaule droite. C'était la cicatrice d'un coups de poignard, qu'après coup, Marcus avait réalisé l'empleur de son geste et qu'il m'avait lui même soigné. Tobias arrivas et puis il resta complètement immobile.
Il me scruta du regard et puis s'avenca et me toucha l'épaule.
- Au.... Au fur et à mesure les bleus vont partir seul et... Je suis tellement désolé de... De t'avoir abandonner... Je... Je croyais qu'il ne te ferait rien à toi... Dit-il bégayant.
Je ne dit rien et Tobias s'assit en arrière de moi, puis il commença à me soigner.
Quand il eu fini, je me levas, mis mon chandail puis Tobias proposa:
-Et si on ce fessait un film avec du bon maïs souffler?
-Hemm Tobias... Est ce que tu peux me dire ce qu'est un "film" et du "maïs souffler"?
Il se mit à rire puis avec un grand sourire il dit:
-Tu te souviens les dimanches quand on mangais du maïs?
-ouaaaiiiiissss....?
-Donc le maïs souffler c'est des grains de mais cuis. Et tu te souviens de la télévision?
-ouais?
-un film c'est comme une émission mais qui dure plus longtemps! Alors ça te dis?
-Ouiiiiii!!!! Dis je enjouée.
On s'assied sur sont divan puis il prépara tout ce dont on avais besoin.
On écouta le film d'action et on mangas du maïs souffler ( ce qui je dois avouer était la meilleure chose que j'ai mangé à vie) je retournas ensuite dans le dortoir.
Personne n'y était donc je me coucha et m'endormis avant le retours des autres.
Prochain chapitre=flash back de -Tobias!!!
À la proooocccccchhhhhaiiiiiinnnnneee 😁
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Divergence
FanfictionJe m'appelle Rosalie Eaton et je suis la sœur de Tobias Eaton. Il y a 5 ans qu'il a changé de faction, donc sa fait cinque ans que notre père se défoule sur moi à coups de poing, de ceinture, tout les trucs les plus affreux les uns que les autes. M...