Divergence

Chapitre 18❤- Amélioration

Le lendemain matin, on s'était fait réveiller par Eric et Quatre qui, avec une casserole et une cuillère, nous cassaient les timpents. Je m'assis et m'habilla rapidement d'une camisole de sport noir et de pantalons noirs.

- Dépêchez-vous, cria Eric. On s'en vas courir.

Je m'étais fait une queue de cheval en direction de la sortie du dortoir en même temps que tout les novices. Quand on courait, j'étais complètement en avant avec Max et Lisa. On riais et je crois qu'on tappais sur les nerfs de tout le monde.

- RoOoOosallliiiieee? commença Max.

- Quoi, dis-je en souriant.

- Max et moi on sort ensembles.

- Oh mon dieu c'est super, criais- je en sautant sur le dos de Max.

- Rosalie.... Dégage. De. Sur. Mon. Dos, dit-il en essayant d'avoir l'air sévère.

- Oui chef, dis-je en débarquant.

On continua de courir jusqu'à ce que Quatre et Eric s'arrêtent. Donc environ une bonne heure ou deux sans arrêt.

- Allez manger. Soyez prêts à 1:00 dans la salle d'attente.

Personne ne bougeait et on fixait tous les deux responsables. Probablement parce que l'idée de faire le test des peurs nous effrayait.

- BON ALLEZ-Y! cria Quatre.

On partit vers les tables à dîner mais Tobias me retenus.

- Tu te souviens de ce que tu dois faire, me chuchota-t-il.

- Oui, répondis-je avant d'aller manger.

Le temps passa lentement avant que ce soit l'heure d'aller faire notre paysage des peurs. Quand on y arriva, je m'assis à coté d'Andrew qui semblait de plus en plus inquiet. Je n'avais aucune idée de comment ça ce passait pour lui là dedans, mais j'espérais qu'il allait passer parce que je n'ai pas l'impression que devenir sans faction pouvait être une option pour lui.
Quatre appela Andrew qui passa donc avant moi. Il hésitait et pris ma main plus fort avant de finalement rejoindre Quatre.

Une heure et demie passa avant que son paysage finisse et un homme Audacieux devait l'aider à marcher puisqu'il était en pleurs. Ça me fit un pincement au cœur, mais je repris rapidement mes espris.

- Rosalie, dit Quatre.

Je me leva confiante et souria à mon frère.

- De bonne humeur à ce que je vois, dit il en rigolant.

- Ouaiiis, dis-je.

Je m'assieds dans la chaise et Tobias mis les fils sur mes tempes.

- Fais de ton mieux, ok? Ajouta-t-il. Tout vas bien aller.

J'hocha de la tête et me retrouva immédiatement dans ma première peur, la claustrophobie. Ayant fait celui ci avec mon frère, je n'avais pratiquement aucune crainte. Je me l'imaginais avec moi et je retrouvais confiance, je vis des visses et les utilisa pour bloquer les murs de métal. Je passa donc à ma deuxième peur, celle d'être comme mon père.
Je me voyais en plusieurs répliques et chacune d'elles avaient l'air d'avoir des envies de meurtre.

- Tu n'es qu'une SALOPE, une réplique exacte de ton père.

- Violente

- Minable

Je ne pensais pas ça de moi même et personne d'autre. Audacieuse, voilà ce que j'étais. Courageuse et intelligente, mais on s'avencera pas la dessus. Je finis par me retrouver dans mon ancienne maison . Les répliques de mon père descendirent rapidement en bas. Immédiatement je pris la ceinture que l'un d'entre eux avait et la jetta dans le fond de la piece. Je lui donna un coups de genoux dans la tete et reussi a le mettre K.O. lui et ses répliques.

Puis le pire arriva. Celle de perdre mon frère, encore. Mais ce n'était pas réel. Lui en ce moment même me regarde. Il passa en avant de moi et puis je répeta la meme phrase. 《 La faction avant les liens du sang. 》 Je n'ais jamais crue a cette phrase mais si ça pouvais faire croire qu'en tant qu'Audacieuse je respecte les règles soumises par la société.
Il parti sans regarder en arrière et je me retrouva dans la salle du départ.

- Rosalie, tu t'es vraiment bien débrouillé.

Je souris et me leva.

- Tu as à peine fait 2 minutes, ajuta-t-il. Mais tu es sur que ça vas? Ça m'a pris très longtemps à moi avant de pouvoir battre Marcus.

- Je... je sais pas. Quand je l'ai vue ça m'a donnée tellement d'adrénaline. Je n'ai pas vraiment pensé à autre chose.

- D'accord. On ce vois plus tard ok?

- Oui oui, à bien tôt, dis-je.

Dans les semaines suivantes, je m'améliora de plus en plus. Par contre, je m'étais de plus en plus éloigné de Andrew. Du moin c'était lui qui c'était éloigné de moi et s'était refermé de plus en plus sur lui même. On avait fait le test final et mon frère m'avais informé que j'avais été l'une de celles qui s'était le plus démarqué.