Divergence

Chapitre 26❤ - Un « Traqueur »

J'étais assis à la fausse avec Maxime, Lisa, Tris et Tobias. Tout le monde étaient dans l'obligation de venir ici puisque je crois que les chefs devaient faire une annonce... Et oui, Peter fesait bel et bien parti des chefs désormais.

J'en étais casiment sur... Il allait ce passer quelque chose et je n'avais pas hâte de savoir ce que ça serait.

- Bon c'est long, dit Lisa impatiente.

- Oui, je sais ma belle mais il faut attendre, fit Maxime.

Je mis ma tête dans mes bras fatiguée puisque ça devait faire plus de 4 heure qu'on attendait quand soudainement, des audacieux en uniforme de guerre tenaient des injecteurs dans leurs mains encerclèrent tout les audacieux. Puis, Max apparu et Éric n'étais pas à ses côtés.

- Nous avons instoré une nouvelle règle, si on peut dire... Maintenant, chacuns des audacieux devront porter un traqueur. C'est pour votre sécurité. Ainsi, certains des problèmes de pertes que nous avons vécus ne ce reproduiront pas. Donc je vous invite à vous diriger en ligne en avant de chacuns des audacieux en uniforme afin qu'ils vous incèrent le traqueur.

Tout le monde ce dirigèrent vers eux mais moi et mes amis on ce regarda les sourcils froncé. Tout un coups, Éric apparu et me fis sursauter.

- Est ce que je t'ai fait peur, dit il en riant gentillement.

- Non, dis-je en souriant.

Il me pris par les épaules et me donna un bec sur le front. Je regardais Tobias qui me regardais les sourcils froncé, à la fois confus et fâché... Je savais que j'aurais dû lui dire...

- Bon... Commença Éric. Je vais vous éviter de faire la file et je vais vous l'injecter.

Je n'avais pas remarqué mais il avait un injecteurs en main. Il s'approcha de moi et tassa doucement mes cheveux puis me fit l'injection qui était ma fois plutôt douloureuse.

Il le fit a Tris, Tobias, Maxime et Lisa, puis ce pencha dans mon oreille et dit.

- On ce voit ce soir.

J'hocha la tête puis il partit.

- Toi et... Éric, s'écria Lisa surprise et heureuse.

- O... O... Oui, dis-je en begeillant.

Elle me pris dans ses bras.

- Je suis trop contente pour toi!

- Merci, dis-je en souriant.

Tobias s'approcha de moi et me pris le bras plutôt fortement. Il me dirigea vers une sortie et on s'en alla à l'extérieur.

- Je... 

- Je ne veux pas t'entendre. Je veux juste te prévenir. J'ai entendu quelque chose. Ce soir... Je veux que tu te réveille à minuit. Habille toi et mets tes souliers. Si tu es avec quelqu'un et qu'il te parle. Ne lui parle pas. Fait comme si tu ne l'entendait pas. Ne le regarde même pas, fixe un point et dirige toi dans les couloirs puis suis les gens et fait tout ce qu'ils font. Exactement la même chose.

- Mais...

- Ne pose pas de questions. Fait juste ce que je dis.

Une larme coulais de mon œil.

- Je m'excuse. J'aurais due te le dire.

Il me regarda quelques secondes puis son regard s'adoucit. Il me pris doucement dans ses bras, comme si il prenait quelque chose qu'il avait peur de cassé.

- Je ne t'en veux pas, dit il. Ne t'en fais pas.

Quand je m'étais calmée, il mis sa main dans mon dos et me guida vers où on était arrivé puis on retourna voir tout le monde.

On était allé s'entraîner, puis quelques heures plus tard on ce sépara. Je m'en alla chez moi et me pris une veste et du linge. Puis je m'en alla chez Éric.

Quand j'arriva il m'embrassa puis on s'en alla dans son salon.

J'avais ma tête sur ses genoux et il jouait avec mes cheveux.

- Rosalie?

- Oui? Dis-je.

- Ton frère ne le savais pas pour nous?

- N..non, dis je.

- je suis désolée. Il... Il ne m'a jamais vraiment aimé puisqu'on était pas mal tout le temps en compétition.

- Ce... Ce n'est pas grave, dis-je en souriant.

Il m'embrassa puis on passa le reste de la soirée à discuter. Quand je dis que je voulais aller dormir.

- D'accord, dit il.

J'alla me préparer avant d'aller dormir.

- Bonne nuit, dit il.

- Bonne nuit dis-je en l'embrassant.

Il mis son bras au tour de ma taille et moi, j'était couché face à l'horloge. Il était 11h30 et au moment où les deux Éguilles toucherons le 12 je devrais faire tout ce que mon frère m'a dit de faire.

Les minutes passèrent et c'était de plus en plus insoutenable. À chaque fois qu'Eric bougeait je devais fermer les yeux et faire à semblant de dormir. Une chance que je n'ai jamais eu de problèmes à rester une nuit entière réveillé parce-que je sens que la nuit vas être longue.

Il était minuit et je me défit de la main d'Éric et je m'assis sur le lit. Je me pencha et mis chacuns de mes souliers les uns après les autre, en mode robot. Je sentis que Éric c'était lui aussi réveillé et il me regardais. Je me leva et mis mon manteau. Quand je m'en alla pour sortir de la chambre, Éric me bloqua. Je m'arrêta mais fit a semblant que je ne le voyais pas et fixa un point devant moi, à ma hauteur donc son coup.

Il mis sa main sur ma joue.

- Tu n'es pas divergente. J'en étais sûr. Et même si tu l'étais, je t'aimerais.

Il attendit quelques secondes avant de continuer en me scrutant.

- Tu peux y aller, dit il en ce dégageant de mon chemin.

Je m'en alla dans les couloirs et ne vis personne. On vas aussi ce dire que j'étais dans l'allée des chefs. Je désendit un étage plus bas et vue toute les audacieux qui ce dirigeaient au même endroit. Je fit ce que Quatre m'avais dit de faire et les suivis.