Chapitre 17❤ - La Pratique

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Le soir même Tobias était venu me chercher dans les dortoirs quand tout le monde dormais.

- Rosalie, viens s'il te plaît, dit-il tout doucement à la porte.

Je le suivi et je dois avouer que ça me stressais. Rentrer dans la tête de quelqu'un que j'aime devait être quelque chose de bien étrange. Il entra dans la pièce et me fit un signe pour que je m'assieds.

Deux chaises étaient côtes à côtes. Tobias ce pencha en avant de moi et me mis les fils sur le côté de la tête et il me passa le liquide.

- Attend que je te le dise avant de boire le liquide.

J'hocha la tête. Tobias s'assis sur l'autre chaise et mis les fils qui les reliaient à ma tête.

- Bois le maintenant.

On le but et on se retrouva sur une corde en haut de deux immeubles.

- La peur des hauteurs, dis-je en souriant.

Il se leva et me regarda droit dans les yeux.

- Qu'est ce que tu ferais, dit-il.

Je regarda tout autour de nous. Je sentais que plus je prenais de temps a choisir quoi faire, Tobias devenait de plus en plus stressé.

- On peut sauter. Après tout, ce n'est pas réelle.

- ROSALIE! Pense en Audacieux, grogne-t-il.

Je regarda encore une fois autour de moi.

- Il y a une porte la bas! On traverse, dis-je en commençant à marcher.

Quand on traversa la pièce changea et on se trouva dans une boîte en métal ou Tobias et moi étions dos à dos. Les murs se refermaient de plus en plus. La boîte me faisait penser à celle où Marcus m'enfermait quand il était fâché contre moi. Il offrait la même punition à mon frère lorsqu'il était avec nous, visiblement.

- Putain Tobias!

- Rosalie, ce n'est pas moi qui choisit mes peurs.

Après quelques secondes à réfléchir sur quoi faire, Tobias lença sarcastiquement.

- Prend tout ton temps, j'adore être confiné dans une boîte de métal qui menace de nous écraser.

Je regarda bien autour de nous, par terre je vis des visses. Je les mis dans une petite craque et réussi à bloquer le rétrécissement de la boîte et on fini par être dans une grande salle spacieuse.

Sur une chaise de bois. Deux filles étaient assis dos à nous.

- En étant un audacieux, tu es oubligé de respecter les ordres des dirigeants. Même quand c'est des innocents ou des gens que tu connais. Lorsque tu as comme peur de tuer quelqu'un, malheureusement tu n'as pas d'autre choix que de le faire pour vrai.

On s'en alla devant les deux filles et je vis Tris et moi.

- Avant, je te voyais enfant. Et je ne te voyais que toi mais ça à changé lorsque j'ai rencontré Tris .

Il leva son arme et tourna la tête avant d'abattre Tris et par après moi.

- Je vais toujours te protéger ok?

Il me pris dans ses bras et on changa de paysage. On étaient de retour dans la maison de Marcus.

- Non... non...

- Rosalie, ce n'est pas réellement lui. Ma peur est exactement la même que la tienne ok? Mais il vas falloir qu'on le batte ok? Les deux ensemble.

- TOBIAS, cria férocement Marcus.

Tobias s'en alla et dessendis les escaliers et moi je le suivis.

On s'en alla en avant de marcus et il auta sa ceinture.

- C'est pour ton bien, dit il avant que 4 autres Marcus nous encerclent.

Le premier s'attaqua à moi. Tobias s'elenca sur lui et le frappa assez fort pour le mettre K.O. Je me leva et commenca à en frapper un. Soudainement, on ce retrouva dans la salle de départ.

Tobias aracha ses fils de sa tête et ce leva pour ce mettre face à moi.

- Ça vas, Rosalie? Tu pleures, dit-il.

Je ne l'avais pas remarqué. J'essuya mes larmes rapidement et sourit.

- Je vais bien, dis-je.

Tobias auta mes fils et suprima l'historique de notre visite dans son paysage des peurs.

- La seul de tes peurs tu ne dois rien faire... c'est celle ou je suis dedans, dit il. Essaie de contrôler ta respiration. Rappelle toi que ce n'est qu'une simulation. Je reste avec toi, je ne partirai plus. Jamais.

Je me leva et le pris dans mes bras. Il m'accompagna jusqu'aux dortoirs et on se dit au revoir.

Tous le monde dormais et j'essayais de faire le moin de bruit possible quand je vis qu'Andrew était assis sur son lit et fixait le vide.

- Andi? chuchotais-je.

Il restait dans la même position et ne fit aucun bruit. Je m'assis sur le bord de son lit et pris sa main.

- Ça semblait si réelle, laissa-t-il échapper dans un soupir qu'il n'adressait même pas à moi.

- Mais ça ne l'était pas, dis-je.

Andrew n'avait pas l'air de m'écouter. Je me mis à califourchon sur lui, mis mes mains sur les deux cotées de sa tête et le fit me regarder.

- Andrew, ce n'étais pas réelle. Ressaisis-toi toi, dis- je un peux plus fort mais pas assez pour ne pas réveiller les autres.

Après quelques secondes, je me laissa tomber à côté de lui et mis ma main sur ma tête en soupirant. Je sentais que Andrew bougeait. Il me donna un câlin. Il accota sa tête sur la mienne et chuchota.

- Je sais Rosie, je sais.

Et on s'endormit ainsi.

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