Blue light

Chapitre 12 : Pour le mieux

Écris sur One last time de Ariana Grande

Pdv de Damien

Non, mais quel idiot j'étais. Rien de tout sa ne serais entrain d'arriver si j'avais fait mon devoir et que j'avais suivis les règles. Garder mes PUTAIN de distance avec cette fille adorable et surtout magnifique. J'avais démontre ma transgression du code de conduite devant d'innombrables témoin, mais surtout devant celui qui pouvait causer ma perte. Tout sa, car j'avais été honnête, authentique, que j'avais laissé mon coté humain prendre le dessus. Je m'étais sentis s'y faible lorsque ses lèvres c'était séparer des miennes que je n'avais pu supporter ça. Je la voulais. J'étais fou, mon self-control était de zéro lorsqu'il s'agissait de elle. Mais lorsque je pensais à elle je n'arrive pas à me sortir cette image d'elle, terrifié. Je lui es fait peur. La partie bestiale de moi était apparente. Je ne voulais pas l'effrayer, mais j'étais en colère et l'es toujours. J'arrivais rapidement devant le manoir de Charles, je me garai et entra en trombe dans sa demeure en claquant la porte. Traversant le long couloir noir de l'entrée, éclairé seulement par les rayons dorés du coucher de soleil de la baie vitrée, située plus haut dans les escaliers face à la porte.

-Vien t'asseoir ici!, entendis-je passant devant le salon principal.

Je pénétrai dans l'immense piece, le foyer de marbre noir, un petit feu en son centre, crépitait envoyant ses ombrages orangés sur les divans blancs et sur le tapis bourgogne qui recouvrait le sol, sous la petite table de salon en vitre et en fer massif.  J'allais m'asseoir  en face de Charles sur le divan. Il semblait pensif, la jambe croiser, la tasse de café à la main, observant le plafond. Je toussotai voulant capter son attention.

-Il ta vu, commença-t-il calmement fixant toujours vers le haut.

-Je ne m'attendais pas à ce qu'elle m'embrasse, Charles!, me justifiais-je.

-Ne met pas la faute sur la petite Damien, si tu avais gardé tes distances, me réprimanda-t-il.

Je serais les poings, cela m'énervait, mais il avait toujours raison.

-Maintenant, les généraux vont surement te rappeler au palais et je ne veux même pas penser à ce que va être ton châtiment pour cette trahison du code.

-Jamais je ne retournerais là-bas!, m'obstinais-je.

Il déposa son regard vers moi et sourit tristement lâchant le plafond.

-Ce n'est pas de ton ressort, ça n'a jamais été de notre ressort, débita-t-il.

Je fronçai les sourcils, s'ils avaient le pouvoir de nous ramener contre notre gré, que faisait-il encore hors de l'eau vivant paisiblement sa vie de professeur d'art.

-Comment se fait-il alors, que vous êtes ici sur terre?, demandais-je suspicieux.

Il commença à rouler la manche de sa chemise carottée vert forêt ne détournant jamais son regard, me fixant. Je remarquai un numéro de série sur son avant-bras marqué au fer rouge ressemblant beaucoup au mien.

-J'ai commis l'erreur pour laquelle, je te réprimande en ce moment, répondit-il sérieusement.

C'était pourquoi nous nous étendions s'y bien, nous avions tellement de point commun et le désir de rébellion en faisait partie. Je lui souris.

-Aya, dis-je plus ou moins sûr.

Il baissa les yeux vers le sol.

-Alors que j'avais à peu près ton âge, commença-t-il.

-J'ai été choisi pour assurer la protection de la futur reine, Aya. Nous nous sommes très vite épris l'un de l'autre. J'en étais tombé amoureux. Elle, son sourire, ses cheveux couleurs charbon sentant la vanille. J'aurais tout fais pour la garder près de moi. Quelque mois avant la date prévu de son retour à Aquacay, nous avons été surpris par l'un des sergents qui se promenait dans la ville à la recherche de Mark-y mon mentor. J'ai été enlevé la nuit précédente et ramener au palais. Je n'es plus jamais revu cette femme, je n'es jamais plus revu Aya.