Chapitre 39- lemon

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PDV DE CALLIOPE

On a visité cette ville qui est juste trop belle. Il y a une dizaine de minutes qu'on est rentré et il y avait personne. Je me suis lavée après avoir marcher pendant deux heures une bonne douche ça fait du bien puis après la douche je me suis habillée en chemise short parce qu'il fait chaud. Pendant ce temps Jérémy était assis sur le lit quand il m'a vus c'est parti en cacahuètes

➰ATTENTION LEMON ➰

 Je n'arrête pas de me demander ce que cela ferait de te prendre sauvagement sur ce lit, débita-t-il comme s'il n'y avait rien de choquant dans ses paroles.

Une marre de mouille inonda ma culotte.

Il ne m'avait même pas touchée encore !

Arrivé à sa hauteur, je pus clairement distinguer la bosse au niveau de son entre-jambe. Je me léchais les lèvres d'anticipation et n'avais qu'une envie : le sucer et faire l'amour. Fort. Sauvagement.

Je levais ma main pour la poser sur son membre tendu à travers le tissu de son pantalon mais il m'attrapa le poignet avant que je n'atteigne ma destination. Il bloqua mon bras derrière mon dos.

- Je vais devoir te punir Mademoiselle Salvatore. Personne ne me touche sans mon autorisation.

Il s'approcha lentement de mon oreille, glissant sa langue de la base de mon cou jusqu'à mon lobe qu'il emprisonna entre ses dents. J'haletais quand il s'écarta de moi. Ses yeux étaient noirs de désir et son sourire victorieux.

- Je veux que tu ouvres mon pantalon et que tu me suces.

Merci mon dieu d'exaucer mes prières… je sortis consciencieusement l'objet de mes désirs de sa prison et écarquillais les yeux face à ce beau spécimen. Ma culotte était bonne pour la poubelle.

Je mis sa queue dans ma bouche et il imprima un mouvement rapide dès le début.

- Prends tout dans ta bouche, utilise ta langue…

Je me forçais à détendre la gorge et roulais ma langue autour de son gland. De ma main libre j'attrapais ce qui n'entrait pas dans ma bouche. Je gémissais, me rendant compte qu'il me baisait la bouche d'une manière bestiale.

J'adorais ça.

- Oui… tu suces comme une reine…

Il lâcha mes cheveux pour passer ses mains sous mes aisselles, m'arrachant à sa merveilleuse queue pour me mettre coucher sur le lit, face à lui.

Sans un mot de plus, il tira sur ma chemise d'un coup sec, arrachant les boutons qui s'éparpillèrent sur la moquette de la chambre. Il sortit mes seins et se jeta dessus comme un affamé, tirant et léchant mes pointes durcies. Des décharges parcouraient mon corps, descendant dans mon ventre pour se loger sur mon vagin déjà inondée.

Il entreprit d'ouvrir mon short et de le baisser jusqu'à mes genoux, entraînant ma culotte au passage.

- Je ne veux pas t'entendre. Je vais te donner ta punition et tu vas adorer ça.

Il débarrassa d'un geste brusque ses habits, me retourna et me plaqua dessus. Il fit descendre sa main de ma colonne vertébrale à mes fesses qu'il claqua fortement. Je criais et me tendais vers lui.

- Je sais que tu aimes ça et j'espère que tu es prête pour moi.

Il écarta mes plis et inséra directement deux doigts dans mon antre. Ses va-et-vient étaient langoureux, il pompait en moi avec une extrême douceur.

- Tu es tellement mouillée… je ne peux plus attendre.

Il tapa sa queue dure et gonflée sur mon clitoris, par en-dessous et fit quelques mouvements pour s'humidifier.

Jérémy posa ses mains sur mes hanches et entra en moi d'un coup de rein puissant.

Sa grosseur m'étira, je me sentis remplie. Il débuta lentement, j'appréciais sa chaleur, sa dureté, le sentant coulisser jusqu'à la garde.

- Oh… tu es si serrée !

Ses paroles me grisaient, créant une boule dans mon ventre qui amplifiait à chaque poussée. Il accéléra la cadence, butant toujours plus loin, toujours plus fort, tapant contre mon point G. A ce stade, je laissais passer mes gémissements qui résonnaient dans la pièce. Sa main s'abattit sur mon postérieur. Je n'allais pas tenir longtemps s'il continuait.

- Ecoute-moi ce bruit… ta mouille qui fait coulisser ma queue dans ta petite chatte…

- Oui… oh !

Il ralentit le rythme pour donner de lents et langoureux coups de reins aussi bienfaiteurs que frustrants. Je tortillais des fesses, le priant pour qu'il accélère.

- Oh non  ! s'exclama-t-il en s'enfonçant d'un grand coup de butoir en moi.

- OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII ! criai-je sous l'impact.

Mes parois vibrèrent autour de son pénis tandis qu'il ralentit à nouveau.

- Tu entends ça ? demanda-t-il en s'enfonçant avec force en moi faisant claquer sa peau contre mon vagin.

Ses bourses vinrent taper contre mon clitoris déclenchant des sensations inexpérimentées jusqu'alors. J'étais toute proche de venir. Il dut le sentir car il s'empara de mes cuisses pour les mettre autour de sa taille.

- Accroche-toi ! souffla-t-il.

Je m'agrippai aux draps autant que je pouvais. Il commença à me marteler, toujours plus vite, toujours plus fort. A ce stade, je ne gémissais plus, j'hurlais de plaisir comme jamais. Il sortait complètement de moi pour mieux entrer par la suite. Il me prenait dur, il me prenait fort et j'aimais vraiment ça. J'étais essoufflée, mes ongles se plantèrent dans son dos tandis qu'il accélérait encore. Les bruits de nos peaux claquant l'une contre l'autre étaient assourdissants autant que nos grognements et nos cris de plaisir. Ses mains s'enfoncèrent dans la chair de mes cuisses et il augmenta encore la cadence. Bordel c'était pas humain cette vitesse ! Il entrait et sortait, j'avais la chatte en feu sous ses assauts répétés qui percutaient à coup sûr mon point sensible. La violence de ses coups de rein entrainant toujours une petite claque de ses couilles sur mon clitoris.

Mes jambes se mirent à trembler.

Ma tête se mit à tourner.

La boule de feu apparue plus tôt au creux de mon ventre explosa en milliards de morceau, mon vagin palpita autour de sa queue et un coup de butoir plus tard il hurla sa délivrance tandis que la mienne ne faisait que commencer.

Il s'affala sur moi, essoufflé.

La position devint très vite insupportable pour nous deux, il lâcha mes jambes et m'aida à me remettre debout. 

➰ FIN DU LEMON ➰

On se rhabilla puisque les autres allèrent bientôt rentrer donc je suis parti faire le repas pendant que lui alla se doucher après ce qu'on vient de faire.

'' L'amour c'est comme la grippe, ça s'attrape dans la rue et ça se termine au lit.''

Calliope Salvatore Où les histoires vivent. Découvrez maintenant