Ash

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Pour ce chapitre je parlerais au ''Je'', mais ce n'est pas moi. J'ai juste envie d'essayer un peu du différent!
Bonne lecture!

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Pourquoi est ce que vous croyez qu'il n'est pas tout blanc autour de nous? Se serait bien jolie de de vivre sans relâche dans la lumière, mais tout le monde deviendrait complètement fou. Il ne comprendrait plus rien. Ne ressentir que joie vous affecterais beaucoup. Voilà pourquoi il est important de se laisser allé, de pleuré, de crier et de souffrir. Parce que si nous n'avions pas cela, nous ne serions que des petites machines à bonheur. Et ce bonheur reviendrait à être faux. Parce que nous ne nous rendrions pas compte en se qui nous rend vraiment heureux ou non, nous ne serions pas capable de faire la différence. Le malheur équilibre les choses d'une certaine façon. Allé mal est normal. Pas besoin dans parlé à toute la planète, mais seulement au gens en qui vous croyez que cela est nécessaire. Et si il ne vous laisse pas le temps de mal allé c'est parce qu'ils n'ont rien compris. Laisser nous du temps, mais pas trop aussi, sinon il pourrait être trop tard si ces effets s'aggrave. Tout est question de sentiment et de tempo.

J'aurais bien voulu dire qu'ils m'en on laisser le temps, mais non. Il me bombarde de joie étouffante. Je ne dis pas que je n'aime pas ça, mais c'est trop. Je veux juste du temps. Pour moi. Seulement moi. Mais ils veulent toujours que je me dépasse et que je fasse mieux que je ne le pourrait. Comment pourrais-je déjà allé mieux alors que celle que j'aimais était morte, tuer de sang froid! J'aimerais être une lumière pour eux, un exemple de maturité et de contrôle. Mais j'en étais incapable. Qu'elle meurt, je pouvais l'accepter, mais pas comme ça, pas dans ces conditions là. Impossible d'accepter tout ça en sachant que les murs de notre maisons on été peinturé de son sang.

-Ash, ça va aller je te promet...

Je ne pouvais même pas supporter ma sœur qui essayait de me réconforter à longueur de journée. Je ne voulait pas de son réconfort. Je sais que c'est cruel, Mais tout ce que je voulais c'était la paix, le calme intérieur. Mourir à 27 ans n'était pas possible, Elle ne faisait que commencer sa vie. Rien n'était naturel dans cette histoire. Je me sentais en colère et trahis par le monde et la Vie. Je me sentais comme un pion auquel on aurait enlever sa reine.  Je n'avais même pas vécu 3 ans avec Elle. Tout ce qui me restait était Eléonore, Mais en vingt... elle est morte comme les autres. Je commençais à perdre espoirs, vraiment. Éléonore était tout pour moi, mon monde, mon gouffre. Elle était fantastique, un vrai rayon de soleil alors que moi je n'arrivais que très rarement à rire, Mais grâce à Elle, j'arrivais même à faire des blagues! Vraiment, même Elle, Elle ne se rendait pas compte à quel point elle était magnifique. Rien qu'a y repensé Et j'ai le sourire, même si je sais qu'elle n'est plus là, sauf dans ma tête Où les souvenirs que j'aurais partagé avec Elle resterons. Et que juste qu'à la fin de Ma vie, je l'aimerais à la folie.

MaïeutiqueOù les histoires vivent. Découvrez maintenant