C'était le journal d'une petite fille nommé Serah à l'an 1986. Voici le cahier que nous avons trouvé sous son lit, 20 ans plus tard.
Je l'avais appelé l'arbre de la mort. Cette arbre majestueusement grand faisait affreusement peur et appelait les corbeaux sens cesse. Avec ses branches rabougris et son tronc massif, il faisait ressentir à chaque passant un malaise. Moi je savais d'où venait ce malaise, parce que je le voyais. Ils étaient tous là, la tête pancher au teint bleuâtre. Certain était couvert de sang et d'autre mutilé. Chaque cas était différent. Hélas, cette arbre dû être poser juste sous ma fenêtre. Alors je les voyais, constamment. Depuis que j'ai 6 ans ils font partie de ma vie. Ils ne parlent pas, ne bouge pas. Ils ne font que rester debout, toute la journée. Quelque uns disparaisse quelque fois. Je me dis que c'est parce qu'ils ont trouvé la paix intérieur. Mais au fond, peut-être que c'était aussi la faucheuse qui venait voler leur âmes égarées. Tout était possible Et c'était flippant. Au début, à chaque fois que je voyais l'un apparaître je criais toute mes tripes. Mes parents pensait que j'avais un problème mentale alors j'ai fais une tonne de test. Ils n'avaient rien trouvés. J'étais parfaitement normal. Mais moi je ne croyais pas.
Pages 50Voir les morts n'était pas "normal". C'était de la folie. Chaque jour quand je passais devant eu pour me rendre à l'école, ils ne faisait rien. Sauf un jour ou je sentais que quelque chose de bizarre allait se produire. L'un des morts leva le bras et me pointa. J'avais eu la peur de ma vie. Ils n'étaient pas censé bouger! Après que celui ci aille levé son bras, les autres suivirent et ils me fixaient intensément. Une grande bouffer de mélancolique, de colère et bien plus d'émotion désastreuse encore prit possession de mon corps. J'avais beau essayer de les combattre, rien n'y faisait. Je transpirais la haine. J'avais envie de disparaître loin. Un gros trou noir de pensé ténébreuse me succombait de l'intérieur. Ce jour ci allait être différent. Oh non, pas en bien. Ça allait être le jour où je sombrerais dans le néant total. En d'autre terme, ma mort. Comment je le sais? Leur regard, les sentiments que j'ai ressentis voulait tout dire. Je ne savais pas comment j'allais mourir, mais j'allais mourir.
J'avais eu raison. Nous avions piscine aujourd'hui et je mis suis noyer. Je ne sais plus comment, mais j'ai été retenue au fond de la piscine, je ne voyais rien et je suffoquais. Je ne pouvais rien faire, je me débattais. Je voulais vivre! Mais trop tard. Personne n'avait remarqué mon absence, je mourrais juste là, sous l'eau.
Pages 80Mon corps gèle encore sous cette eau. Parce que ce bâtiment a été abandonner. Mon corps physique était resté là bas et mon âme vagabondais un peu partout. Mon corps astral était couler au pied de l'arbre de la mort. Par la fenêtre de ma chambre je le regarde. Mon âme ne s'attachais plus à rien, ni à mon corps physique ni à mon corps astral. Elle ne faisait que voler. Je pouvais manipuler tout ce que je voulais. D'où le fait que même après ma mort j'écris encore dans ce stupide journal... J'en ai marre de faire comme si je n'étais pas là, que je ne ressens rien. C'est faux! J'en ai marre de geler au fond de cette affreuse piscine crasseuse. Je suis éparpiller de partout et à chaque jour j'ai peur! J'ai envie de retrouvé ma mère et mon père... Ils sont morte? Je ne me souviens plus... Ma mémoire se dégrade lentement, pourtant je continue d'existé en silence...
Pages 130C'est quoi ce journal..? Qu'est ce que je suis au juste? Attend.. Pourquoi j'écris dans ça? Quelqu'un l'a peut-être perdu... Pourtant j'ai la sensation qu'il est à moi. Peut-être qu'il est à la petite fille dehors. Sur le dessus de la page couverture il est marqué Serah et sur l'étiquette de son maillot est aussi inscrit Serah. Il est surement à elle, mais elle ne me répond pas. Que faire?
Pages 1302Nous ne savons pas si c'est quelqu'un qui a tenter de faire une blague ou si tout ce qu'il y est inscrit est réelle, mais en tout cas... Nous avons bel et bien trouvé les os d'une petite fille du nom de Serah. Elle avait 11 ans quand elle est morte noyer. Je ne comprend pas comment le surveillant n'a pas remarqué ça disparition.
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Maïeutique
Non-FictionDes personnages qui n'ont existé que dans ma tête et nul part ailleurs. Essayant de les mettre sur papier, Mais sans succès à chaque fois. Hé bien, voici, dans ce livre touts les personnages que ne sont pas née sauf bien sur dans ma petite cervelle...