Juste me tuer, c'est Juste Ça que je voulais.Le suicide, il revenait dans ma tête sans cesse. Je ne voulais qu'une seule chose, me débarrasser de ces voix... mes voix intérieure qui me dit que je ne suis qu'une petite Merde. Qu'ils me font croire des choses que je ne veux pas. Ils me hantent jour et nuit. Pendant les cours je n'avais plus de répit et ils me donnaient envie de vomir. "Non Mais regarde toi" "normal qu'ils changent toujours de place apres t'avoir vue" "t'es complètement ignoble, Ça te cacher". Et je les croyais. Je les croyais tellement que ça me donnait la nausée. Le prof passa proche de Moi, me sortant de mes pensées.
-Est ce que ça va?
J'avais la main sur ma bouche pour m'empêcher de faire sortir le liquide dégoûtant. Je lui répond oui, Mais rajoute une demande :
-est ce que je peux aller au toilette?
Elle me répondit oui. Je me leva Alors rapidement, dévalant le couloir jusqu'à être au toilette, je rentra dans une cabine et me pencha. Je toussais, toussais encore, puis finalement, tout ceci sortie de ma bouche. C'était d'une couleur étrangement blanchâtre. Je ne comprenais pas trop pourquoi, par contre dans ma bouche ça avait tout un autre goût. C'était acide et très dérangeant.
Je me tapa le front contre le mur en béton. J'essayais de les faire partir, c'est petite voix ignoble. "Tu seras jamais la préférer de personne, tu resteras Juste Seul. Seul jusqu'à la fin des temps Ma......". Mais je donna un deuxième coup sur le béton. Pas mon nom, surtout pas. De toute manière je ne remarquerais même pas que c'est le mien. Ont le prononce si rarement que même Moi j'oublie son existence et la mienne par la même occasion. Ils ont arrêté de m'inviter et j'étais loin d'eux, De eux tous. De mes deux amies et de tout le monde. Mes parents, ma classe, ma famille. Être Seul Alors qu'on ne les pas vraiment est un sentiment horrible. Pourtant je devais faire avec, en silence. D'où mes plusieurs envie de vomir. Parce que je n'étais plus rien pour personne. Une petite chose insignifiante et oublié. Je crois que même si je mourrais, personne ne le remarquerais vraiment. Finalement, je fini et revint dans la classe. Pas un bruit, pas un mouvement de mes amies. Je reviens Donc m'assoir lentement à ma chaise, la tête toujours autant embrouiller. "Ta vue comment ça change rien quand t'es pas la?".
Lâcher moi.
"T'es qu'un deuxième choix. Non même pas. Personne ne veut de toi."
Stop...
Mais elles restent la. Les autres ne me lance pas un seul regard, Meme avec le visage bouffi que j'avais. Pas un seul petit mot. Grosse déception pour moi qui voulait me changer les idées... Je vais rester avec mes démons, jusqu'à ce que je rentre chez moi.
***
J'avais été idiote de croire que les voix allait partir une fois que j'étais de retour chez moi. Elles sont toujours la, Bien encrer dans ma tête. Je ne suis pas capable de dire un mot et je vois toujours embrouiller à cause des larmes qui font obstruction. Il n'y a personne chez moi pour l'instant Alors c'était Bon. Je me laissa aller et pleura toute les larmes de mon corps. Ça faisait deja un mois que c'est voix ne me lâchait plus. D'habitude elles partent, Mais cette fois ci elles persistent. Et ça devient de plus en plus insupportable pour moi. Hier j'avais tenter de me couper avec une lame, Mais j'ai refusée du mieux que je le pouvais.
Je me laissa tomber sur mon lit et commença à me frapper plus que violemment mes cuisses, jusqu'à ce que je ne les ressente plus. Mais pourtant ça ne règlerais rien. Je me trouvais encore plus pitoyable de faire Ça. Le tic tac De l'horloge de ma salle de bain m'oppressais a un plus haut point. Je du Boucher mes oreilles afin de pouvoir être calme, du moins c'est ce que je croyais.
"Aller vas-y détruit toi. De toute manière Ça ne change rien pour les autres."
Cette voix avait effectivement raison. J'étais un être transparent. C'était décidé, j'alla dans la chambre de bain et chercha les pilules de mon père. Ceux-ci sont extrêmement forte, tellement forte que si ont avalais la dose en entier, on pourrait mourir. Et c'était exactement ce que je souhaitais, pratique non?
Ça ne faisait pas qu'un seul mois que ces voix était la, Mais d'habitude j'ai des pauses. Ça faisait maintenant 4 ans que j'endurais Ça. Mais pendant c'est 4 ans, tout le monde m'avais convaincue. Je ne semblais toujours pas être importante pour qui que ce soit. Je n'étais plus rien.
Un verre d'eau et un pot de pilule proche, restant couchée dans la baignoire. Une seule chose à faire: prendre tout les cachets et les avaler. Les avaler et dormir jusqu'à la mort total.
Ce que je fis sans aucun regret.
Fin.si vous voulez suivre la voie de M c'est une très mauvaise idée. Comprenez ce qui vous entoure, regardez comme il faut. Il y a toujours de l'espoir même si ont ne le voit pas.

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Maïeutique
Kurgu OlmayanDes personnages qui n'ont existé que dans ma tête et nul part ailleurs. Essayant de les mettre sur papier, Mais sans succès à chaque fois. Hé bien, voici, dans ce livre touts les personnages que ne sont pas née sauf bien sur dans ma petite cervelle...