Maïeutique

Jaden

Elle se tourne dans nos draps blanc. Dos à moi bien sur. Comme si j'étais trop affreux pour qu'elle me voit à son réveille. Je pourrais me sentir vexé, mais à vrai dire, je ne ressens plus rien pour cette pathétique femme. Elle n'ont plus ne ressens plus rien pour moi. Notre couple n'a plus aucun sens. Peut-être que nous restons mariée à cause de nos enfants, nos des jumeaux complètement adorable. Mais franchement, ça devient n'importe quoi. D'ailleurs, je suis certain qu'elle c'est déjà trouvé un amant digne de me remplacer. Sauf qu'il devait sans doute être meilleur que moi dans a peu près tout, dans chaque truc que pour elle, j'ai échoué. J'aurais aimé être à la hauteur de ses attentes, sauf que ce n'était pas le cas. La seul bonne chose que j'ai réussis a lui donner c'est des enfants. Nos jumeaux, Harlow et Harold. J'ai choisi le nom de notre petite fille, Harlow. Elle me ressemble comme deux gouttes d'eau, sur tout les angles et toute les facettes de ma personnalité. Pour moi, elle était tout ce que je souhaitais c'était mon petit bonheur à moi. Pour ma femme, par contre, elle c'était plus Harold. Même caractère, même cheveux, yeux. Malgré qu'il soit un garçon, je n'ai jamais vue des chromosomes si bien fonctionner. Sa mère, ma femme, la obligé a faire partie du groupe de footballeur alors qu'il voulait aller en musique ou bien en art. Mais elle n'a point fait attention à sa requête. ''Il doit plus s'affirmer en temps que garçon Jaden! Toi même tu le sais''. Sauf que justement, je savais que le football n'était pas fait pour lui. Même s'il a la carrure de quelqu'un qui est musclé, son cœur et ses émotions eux, ont besoin d'être exprimés sur une toile ou en composition, en chant et n'importe quoi d'autre. Je regarde ma femme, celle qui est censé partagé toute les journées de notre ''merveilleux futur ensemble''. Sauf que j'ai plus l'impression que notre relation est plus une prison et que notre maison est l'endroit parfait pour être fuit. Nos enfants eux par contre, ils sont plus une manière de rester ensemble, de s'accrocher à quelque chose d'important. Ni plus ni moins. Je la regarde, même si elle a trente ans, elle est toujours une aussi fabuleuse femme. Je tendis ma main pour lui caresser doucement l'épaule, mais ma main se crispa et au lieu de me recoucher et de faire comme si de rien n'était, je choisi de me lever. Il est 3heure du matin et je n'ai pas eu la chance de m'endormir comme ''ma femme'' la faite. Je vais donc dans la cuisine me préparer un café parce que je ne risque pas de m'endormir si tôt. Je voyais Harold rentré dans notre maison et il était en train de dévoré littéralement la bouche d'un jeune homme. La porte fit un grand ''boom'' et je sursauta, échappant au passage ma pauvre tasse. Les deux garçons, ayant surement entendu, tourne leur tête rosi vers moi. Pétrifier, je ne savais pas trop comment réagir. Eux non plus et Harold semblait avoir vue un vrai fantôme.

-P-papa. Me dit-il, hésitant. C'est hum... Alec.

-J'suis son petit ami, ravis de vous rencontrez monsieur.

Nerveusement, je faisais mine de ramasser ma tasse blanche, tâcher par la caféine qui est passer par là. Son petit ami? Ça expliquait une tonne de chose, comme le fait que mon fils sort à minuit du soir, pour aucune raison.

-De même. lui dis-je en me relevant.

Qu'est ce que je pouvais répondre d'autre? Je jeta ma tasse dans la poubelle et observa ce ''Alec''. Il n'était pas laid il est vrai. Je comprend pourquoi il soit attiré. bordel il est gay, lui aussi. Je ne peux pas dire que c'est une dure vérité. J'y est toujours pensé, mais pour ma femme... La deuxième catastrophe assuré pour elle. Déjà quand Harlow lui avait dit qu'elle était lesbienne, elle ne lui avait jamais plus parler comme une mère, mais plus comme si Harlow était ça servante et je ne savais que faire, alors je ne faisais qu'écouter, essayant en douce de lui faire reprendre raison. Mais ma femme est tellement une tête de mule qu'elle n'en fait qu'a sa tête. J'essaye de la soutenir du mieux que je peux. Il faut croire que notre famille est... Très gay. Je ne sais pas comment mis prendre avec eux. Que dois-je leur dire, comment leur faire comprendre que c'est un concept tout nouveau, tout étrange pour moi. Depuis ma tendre enfance on m'avait montré une fille et un garçon, rien d'autre. Et en se jour, je vois mes deux enfants embrasser le même sexe qu'eux, mais je sais que je devrais mis faire et que je mis ferrais. Du moins je l'espère de tout cœur. Se sont mes enfants et je les aime plus que tout. Les perdre à cause d'une histoire aussi stupide serait impossible et complètement irresponsable.
Je me lavais les mains et je vis le visage soulagé de Harold, ce qui me fit sourire. Il semble être bien avec lui et Alec avait un sourire qui semblait dire ''je suis vachement sympathique et j'ai une belle gueule d'ange. Vous aimez j'en suis sur, mais j'suis pas méchant hein!''. Même si je doutais qu'il me disait cela de la même manière dont je l'avais interprété. Je m'accota sur le comptoir et je sentais un malaise monter. Que devrais-je lui dire? La chose qui pourrait faire descendre la pression et remonter leur envie pour l'un l'autre bien sur.

-Ne faite pas trop de bruit. Leur dis-je avec un clin d'œil.