All You Need Is Love Tome I : The Beginning

Chapitre 6

Je suis comme dans un cocon. Dans une chaleur magnifique. J'ai l'impression de rêver tellement c'est bon. Ça fait longtemps que je ne me suis pas senti aussi bien. Et puis tout d'un coup je me sens poser sur un lit tellement moelleux et j'ouvre les yeux. Des jolie yeux marrons sont scrutés dans les miens. Matthew me pose délicatement sur lit et me recouvre du drap. Je le regarde éblouie. C'est mon patron mais il est trop beau je ne peux que le trouver beau. Si vous seriez à ma place vous serez tout à fait d'accord avec moi.

- Vous vous êtes endormie. J'ai décidé de vous mettre dans ma chambre pendant le reste du vol. Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas rester avec vous, je vais retournée dans mon siège. Ne prévenez pas votre petit ami. Dormez maintenant.

Il se retourne et commence à s'en aller mais je ne sais pas pourquoi je prononce ces mots.

- Je n'ai pas de petit ami.

Je pensais qu'il aller ouvrir la porte et retourner à son siège. Mais il me regarde et fonce vers moi. Pose un genoux sur le lit et pose ses lèvres contre les miennes. Il m'embrasse. Une décharge court dans tout mon corps. Ses lèvres sont tellement douce. Il met sa main derrière ma tête et me tient fermement tout en s'allongeant sur moi. Et il enroule enfin sa langue avec la mienne. Me mordille plusieurs fois. Je n'ai jamais était embrasser comme il le fait à l'instant. Pris part le désir et l'envie, je passe mes mains dans son cou puis dans ses cheveux. Il grogne puis s'arrache à mes lèvres et je gémis de frustration. Il me regarde, son regard marrons est en feu. Il est essoufflé.

- Tu me rends fou depuis que tu es tombé dans mes bras à la sortie de l'ascenseur. La maintenant j'ai juste envie de sentir ton corps. Je me fou des conséquences. On en parlera plus tard.

Et il replonge sur ma bouche tout en écartante mes jambes avec son genoux. Je repasse mes mains dans ses cheveux et tire dessus pris par l'envie et la folie de sa bouche. Il commence à se frotter contre moi et je fais de même. À travers mon chemisier je sens son corps très musclé. Je commence à passer mes mains sur son pull pour le caresser par dessus son pull. Il grogne et me mordille puis il s'arrache à ma bouche pour plantée des baisers sur ma joue et mon cou. Je sens son érection frotter contre mon entrejambe et j'adore ça. Il est tellement imposant. Ses mains suives le mouvement de ses baisers et passe par ma joue et mon cou.

- Matthew dis-je en gémissent son nom.

- Oh ma douce.

Il continue à descendre sur mon corps jusqu'à que son visage soit à porter de mes seins et la je panique. C'est comme si on venez de me verser un grand seau d'eau froide sur mon corps. J'ai tellement peur qu'il découvre ma cicatrice alors pour le repousser je lui dit des chose dont je n'ai aucune honte. Je commence à pousser sur son torse musclé et dis :

- Arrête je suis vierge et tu es mon patron. On ne peut pas faire ça.

Il me lache brusquement et j'ai tellement froid. Il se lève du lit et tourne en rond dans la petite chambre. J'ai peur de sa réaction alors je décide de m'assoir contre la tête de lit et ramener le drap contre moi.

- Tu as raison. Je suis désolé, ça ne se reproduira pas. Tu es mon assistante et je suis ton patron.

Ça ne se reproduira pas. Je reste bloque sur ses mots déçu. Mais putain merde ! Qu'est-ce qui me prend ?!

- Euh... vous avez raison oui. Vous êtes mon patron et je suis votre assistante.

Il me regarde fixement et me dis :

- Tu n'as pas de petit ami alors ?

Merde

- Non je n'ai pas de petit copain. Kenzo est juste un ami.

Il passe ses mains dans ses cheveux.

- Alors pourquoi m'avoir menti ?

- Kenzo est comme un frère et je suis comme sa sœur. Laisser partie sa sœur avec un inconnu n'est pas très rassurant alors...

- Il s'est fait passer pour ton petit ami dit-il en fixant ses chaussures.

- Oui Monsieur.

Il remonte brusquement sa tête vers moi. Il a l'air en colère.

- Tu vas me tutoyer et m'appeler par mon prénom. Merde, tu étais entrain de gémir sous moi ne l'oublie pas.

Je déglutis et hoche la tête.

- Bien. D'accord...Matthew.

Il regarde ça montre et avance vers la porte.

- Il reste trois heures de vol. Reste ici. Repose toi. On discutera plus tard.

Cette fois-ci, il sort de la chambre. Je souffle pour me calmer. Il n'a pas vu ma cicatrice, il n'a pas toucher ma cicatrice.

Je soulève mon haut, et touche le long trait balafré qui est encré sur mon ventre. Cette cicatrice ne me laisse pas vivre tranquillement. Une larme roule sur ma joue quand je repense à quoi elle symbolise. Et de ce qui c'est passé pour qu'elle soit la. J'essuie mes joue et m'allonge sur le lit.

Autant dormir car je n'ai aucune envie d'aller m'assoir près de mon patron maintenant.

***
Je me réveille deux heures plus tard. Je décide de sortir du lit et de remettre mes habilles en ordre. Je regarde autour de moi. Des murs blanc, un petit hublot, une porte, et un petit placard.

J'ai besoin d'aller au toilette et de me rafraîchir. Je pense que derrière la porte il doit y avoir une salle de bain. J'avance et ouvre. Je ne me suis pas trompé. Je fais pipi et asperge mon visage d'eau fraîche. Je me regarde via le miroir et replace mes cheveux dans mon dos. Je ressors de la salle de bain et souffle un bon coup.

Je sors de la chambre et m'assois sur le siège en face de mon patron. À ce moment la Marine passe vers moi et me demande si je veux boire ou manger quelques chose mais je refuse, je n'ai pas très faim. Je sais qu'il me fixe.

- Marine apporter nous de quoi grignoter et du vin. Merci.

- Bien Monsieur.

Non mais je rêve !

- Je lui est dit que je n'avais pas faim.

- Tu n'a rien mangé. Il nous reste 1 heure de vol. Alors mange.

Marine arrive avec deux plateaux. Il y a des biscuits. Du fromage. Du pains. Puis elle reviens posé deux verre de vin blanc et repart. Je n'ai pas faim et je ne vais pas lui obéir. Je me cale dans mon siège et boucle ma ceinture. Je crois mes bras et regarde par le hublot. De toute façon nous sommes bientôt arrivé.

- Bien. Puisque tu as décidé de ne rien manger, nous allons parler.

Je le regarde.

- Parler de quoi ?

Il sourit. Puis prend une gorgée de son vin. Repose son verre et me regarde.

- Pourquoi est tu toujours vierge ?