All You Need Is Love Tome I : The Beginning

Chapitre 7

Bordel !

J'y crois pas. Il a aucune retenue, il à osez me dire cela. Je pensais que c'était un sujet difficile comme pour les femmes et pour les hommes mais en faite non. Lui en tout cas en n'a rien à foutre. Je ne peux pas lui parler de la vraie raison. Je ne peut pas lui parler de ma cicatrice. Il n'y a que Kate qui est au courant. Même kenzo ne sait rien et pourtant il est comme mon frère que je n'ai jamais eu.

Alors je le fixe et réfléchie à une réponse ou plutôt un mensonge. Mais j'ai une meilleure idée et opte pour la colère.

Son sourire me fait tellement de choses ! Parce que oui, cet enflure sourit alors qu'il parle de ma virginité !

- Matthew ça ne te regarde pas. Tu penses vraiment que je vais parler de cela avec toi ? Toi qui est mon patron ?

- Tu étais entrain de gémir dans cette chambre, dans mon jet. Alors oui je veux savoir pourquoi une femme comme toi, belle, est toujours vierge ?

Belle ? Moi ?

- Tu dis vraiment n'importe quoi. Tu devrais me parler du client pour lequel nous allons à LA, au lieu de me parler de ma virginité.

Je croise les bras encore une fois. Parce que oui j'étais entrain de gesticuler mes mains pendant que je lui parlais. Je regarde vers le hublot, il fait nuit, je n'avais pas remarqué cela tout à l'heure.

- Tu veux bien arrêter de regarder par le hublot et me regarder dans les yeux ? Et sache qu'on discutera de HILTON en temps voulu.

Je dirige mon regard vers lui.

- Très bien. Maintenant arrête de me parler et laisse moi regarder le hublot. Le paysage est tellement magnifique de là.

- Ouch ça fait mal. Tu dois être la première femme qui n'aime pas me regarder. Et puis sincèrement tu pourrais me parler autrement non ? Je t'ai demandé de me tutoyer ça ne veut pas dire que je ne suis plus ton patron.

- Si tu n'aimes pas, vire moi. Je suis sur que je pourrais trouver un autre job.

Il pince les lèvres. Super ! Il va me laisser tranquille maintenant.

Le paysage et magnifique. Ça brille de partout j'en conclus que nous sommes bientôt arriver à l'aéroport de LA. J'ai raison à ce moment là, le commandant nous demande d'attacher nous ceinture de sécurité et d'éteindre nos appareils électroniques.

Etant donné que j'avais déjà attaché ma ceinture, je vérifie juste qu'elle est bien serré. J'ai toujours peur des décollage et atterrissage. Quand c'est fait, je relève ma tête et il n'y a plus personne en face de moi. Matthew ?

Il s'assoit dans le siège vide à mes côté, comme pour le décollage. Attache sa ceinture et prend ma main. Ça main est tellement douce. Et bien plus grande que la mienne. Des mains d'homme, j'adore. J'y crois pas que je pense cela. C'est quand même mon patron. Je décide d'enlever ma main. Mais il serre trop et je ne peux rien faire.

- Lâche moi Matthew.

- Non. Tu as peur. Ma main dans la tienne te rassure. Je le sais. Alors arrête d'essayer d'enlever ta main.

- Tu es médium ?

Il rigole. Un rire rauque et une fossette apparaît sur sa joue.

- Non. Mais si tu n'as pas peur, enlève ta main maintenant.

Je déteste le décollage et l'atterrissage, je pense que vous le savez maintenant. Mais sa main et tellement bien dans la mienne. Je fixe nos mains et le regarde dans les yeux. Merde ! Il a gagné et il le sait.

Je détourne mon regard et ferme les yeux. Matthew caresse ma main avec son pouce. Je souffle. Tout va bien se passer.

***

Nous avons atterri sans encombre. Dieu merci. Après avoir quitté le jet, nous sommes passés par les douanes puis à la sortie de l'aéroport une voiture Audi, nous attendez. Matthew ouvre la portière arrière et se retourne pour me regarder.

- Olivia.

- Merci.

Je monte dans la voiture et il claque la portière. Pendant qu'il fait le tour de la voiture pour monter à son tour, le conducteur parle dans une oreillette. Il parle avec des codes et puis en français. Je sais que c'est un garde du corps de Matthew.

- Bonsoir Philippe dit Matthew.

- Bonsoir monsieur.

Pendant que Matthew s'installe près de moi à l'arrière de la voiture, il me désigne et parle à Philippe.

- Voici ma nouvelle assistante. Olivia WARE.

Puis il me regarde et dit :

- Olivia, voici Philippe. Mon deuxième garde du corps. Marc n'a pas pu venir.

- Mademoiselle WARE me dit Philippe en agitant la tête de haut en bas.

- Bonsoir Philipe. Appelez moi Olivia.

Je lui sourie. Il me sourit en retour et me dit :

- Bien Olivia.

- Quand vous aurez fini de flirter, on pourra aller à notre hôtel. Je suis épuisé.

- Désolé Monsieur.

Flirter ? Moi je flirte avec son garde du corps ? Saluer et sourire c'est flirter pour lui ? Je le regarde ébahie.

***

Dans la voiture Matthew reste silencieux et regarde par la fenêtre. La voiture avance dans la nuit noir de LA. C'est magnifique, même à 2 heures du matin il y a un monde fou !
20 minutes plus tard nous arrivons à l'entrée de notre hôtel. La voiture s'arrête et je descend. Un portier juste derrière attendait pour m'ouvrir la porte. Je lui souris et lui dit en anglais.

- Ne vous inquiétez pas. Je sais ouvrir une porte.

Il hoche la tête et me dit :

- Bien madame, mais laissez moi prendre votre valise et la monter jusqu'à votre chambre.

Il a un jolie sourire. Les cheveux long qui lui arrive au cou. Il a les yeux bleu.

- Merci. Elle est lourde.

À ce moment là, Matthew pose sa main sur mon dos et appuie pour que j'avance. Je baisse la tête et avance jusqu'au porte de l'hôtel. Et me retourne vers lui et lui dit :

- Arrête. De me toucher.

Ses yeux sont sombre. Le marron de ses yeux me lance des éclaires.

- Et toi arrête de flirter avec tout le monde. Je ne t'ai pas emmener avec moi pour te faire sautée.

Je brûle de colère.

- Connard.

Je tourne les talons et avance près de la réception.

- Olivia attend.

J'arrive à la réception et une blonde avec un pot de peinture sur la figure, qu'elle doit considéré comme du maquillage, me demande mon nom et prénom.

Après lui avoir donnée et qu'elle met donner la carte permettant d'ouvrir ma chambre j'avance près des ascenseurs.

- Olivia attend bordel.

Je me retourne toujours en colère.

- Quoi Matthew ? Tu souhaites encore m'insulter ?

- Je suis désolé, je ne sais pas ce qui ma pris.

- Je vais monter dans ma chambre et dormir. On se verra demain pour parler boulot.

J'appuie sur l'ascenseur.

- Attend, tu ne sais même pas à qu'elle étage est ta chambre. Tu as arraché la carte à la réceptionniste et tu es partie.

Merde.

Je me retourne et le regarde. Il indique la réception de la tête et me dit :

- Viens. On va lui demander.