VIII

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Je me retourna et vis Leria entrain de dire je-ne-sais-quoi dans l'oreille d'un gars qui est surement celui qui a failli finir dans un lit en ma compagnie, Elle avait un air vilain scotchée au visage.

Leria leva le bras dans une direction et le mec se dirigeât vers la meuf qu'elle lui avait indiquer.

 Elle s'approchât de moi, un air joueur prenait place sur son visage quand je commençais a la scanner : elle portait une robe moulante rouge sang qui lui arrivait au milieu des cuisses, se qui laissait ses jambes blanches et lisses a la vue de tous. Je remarquais a peine son collier or, en forme de croissant de lune, qui ornait son décolté.

<< Alors chérie, tu apprécie ce que tu mattes ? me sortit de mes pensées, désinvolte, Leria qui était maintenant à moins d'un mètre de moi

- Beaucoup. dit-je toute sourire, en diminuant la distance qui nous séparait .>>

Elle avait complètement détruit l'espace entre nos deux corps, seul nos habits contrait nos pulsions. Nous dansions de tels sortes a attirer tout les regards, les regards haineux des jaloux, les regards excités des perdants, mon regards sur son corps, son regards sur le mien.

Elle plongea ses pupilles dans les miennes, je l'admirais là, la bouche entre-ouverte, son regard suppliant.

Je me jeta a ses lèvres, sa langue demandant immédiatement à rencontrais la mienne, la seconde suivante elle avait les bras autour de mon coup, mes mains agrippaient ses anches et nos langue dansait une valse endiablée.

La température monte rapidement, je la plaque contre le mur le plus proche et cale ma cuisse contre son intimité, mais elle inversa les rôles, quelque regards indiscrets étaient poser sur nous.

<< On va a l'abri des regards, le mec derrière toi louche sur ton cul et ça a le don de m'énervée .. lui chuchotais-je 

Leria se retourna, remarqua le mec et lui montra son magnifique majeur.

- Voila et maintenant, il doit bien y avoir des chambres ici ? me susurrât-elle plongeant de nouveau ses yeux dans les miens. Son regard remplis de luxure...

- Si il n'y en a pas je te prend dans le jardin . dit-je essayant de calmer la volée d'oiseaux dans mon bas-ventre.>>

Nous montons les escaliers, regardons dans chacune des pièces, jusqu'à trouver une chambre vide.

Je ferme la porte derrière nous, me retourne et agrippe les fesses de la déesse en face de moi.

Nous nous regardions quelque secondes, avant de nous jeter l'une sur l'autre sauvagement. 

Nos langues livrent un bataille acharnée, pendant que mes mains se baladent sur la fermeture-éclair de sa robe que je baisse lentement, lenteme- aïe! 

Elle ma mordue la langue et j'ai rigolé , cela ne la apparemmentpas plus puisqu'elle me plaque fortement contre la porte.

Sa bouche dérive sur le coin de la mienne, ma mâchoire, mon coup, mon lobe d'oreille, jusqu'à ma clavicule ou je gémis, elle se redresse et me regarde moqueuse, joueuse. Elle refait le même parcours mais s'attarde plus sur... mon point sensible. Elle me marqua d'un ou deux suçon puis remonta a ma bouche.

SHE'S IN LOVE.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant