Chapitre 16: Contrôle*

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Je savais que je n'étais pas dans mon lit quand je me réveillai. Mon lit était plus confortable et ne sentait pas le garçon.

Je reniflai. Non, ce n'était pas mon lit. J'étais reposé sur quelque chose de dur. Sur quelqu'un plutôt.

Sur quelqu'un??

Je sursautai et me redressai, réveillant Thomas sur le coup. Il se frotta les yeux et regarda autour de lui.

« On s'est endormis.» dit-il.
« Bravo, Sherlock. As-tu une autre déclaration choc à nous faire?»
« Tu es bougonne au réveil. C'est bon à savoir.»

Je ruminai et jettai un coup d'œil à l'horloge. 7:20. Nous nous étions réveillés assez tôt pour ne pas manquer le bus. Mais tout de même plus tard qu'à l'habitude.

« Va au sous-sol, Thomas. Tu peux utiliser tout ce qui s'y trouve. C'est le quartier des invité. Il y a des brosses à dents, de la pâte à dent, des serviettes et tout ce que tu pourrais avoir besoin. Sers-toi. Mais dépêche, je fais le déjeuner et on s'en vas dans moins d'une heure.» débitais-je rapidement en montant les escaliers.
« Organisée aussi. C'est bien.» commenta-t-il.

Je levai les yeux au ciel et me dépêchai d'aller me préparer. En vingt minutes et des poussières, j'étais déjà prête.

À mon grand étonnement, Thomas aussi. Je figeai en voyant les vêtements qu'ils avait sur le dos.

« Où... Où t'a pris ça?»
« Dans le sous-sol. Tu m'a dit de me servir.»
« Oui mais... Laisse tomber. Tu me le rendras après les cours.»

Thomas portait les vieux vêtements de mon père qu'on avait rangé dans le coffre qui se trouvait dans le grenier.

Brenda avait dû le faire descendre en faisant le ménage. Je me demandais bien pourquoi.

Je préparai le déjeuner rapidement et nous mangêames en silence. Après nous sortîmes.

« On a un problème.» dit-il tandis que je fermais la porte.
« Quoi, donc?»
« J'ai laissé mon agenda chez moi et j'en ai besoin.»

Je soupirai et ouvrit la porte pour aller vers le porte clés et le prendre. Sur le chemin je pris mon casque et un deuxième pour Thomas.

« C'est pourquoi les casque?»
« On va aller chez toi en scooter. C'est loin?» demandais-je en ouvrant le garage.
« Non, pas vraiment.»
« Bien, on... Pourquoi tu ne bouge plus?» demandais-je en le voyant scocthé sur le pas de la porte du garage.

Il regardait la Lamborghini de maman avec des yeux brillants. Puis il tourna la tête vers la Harley Davidson de mon père.

« C'est ça ton scooter?» begaya-t-il.
« Non. Elle appartenait à mon père. C'est une moto.»
« Je vois ça... On peut la prendre?»
« Non.»

Ma voix était sèche et signifiait que je ne changerais pas d'avis. Il me fit des yeux implorant mais je m'avançais déjà vers mon scooter bleu électrique.

« Alors, je peux conduire? C'est tellement le genre de scooter que j'aurais aimé avoir et puisque tu ne veux pas prendre la Davidson ce serait un beau compromis.» Debita-t-il rapidement.
« Je ne veux pas te laisser conduire. C'est mon scooter et plus personne n'a le droit de toucher la Davidson.» dis-je inflexible.
« S'il te plaît! Je suis ton invité après tout.»
« Non, Thomas.»
« Et pour celle-ci?» demanda-t-il en lorgnant la voiture de ma mère.
« Je n'ai pas mon permis.» dis-je.
« Je pourrais conduire, moi. Et ça nous évitera d'être en retard.»

3 minutes plus tard, on sortait du garage avec Thomas au volant de la Lamborghini de maman.

Il avait tellement insisté que je n'avais pu résister. En plus, il avait raison. Nous avions reussi à arriver a l'heure en cours.

C'est difficile de dire je t'aime( Version originale) Où les histoires vivent. Découvrez maintenant