Familles

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Fatima

Après une nuit un peu agiter je prend la direction de chez ma tante bien sûr le déjeuner de monsieur est déjà prêt.
Les enfants sont déjà réveillés je les aide avec leur bain leur prépare leur déjeuner oncle Marc se charge de les déposés à leur écoles respectifs heureusement qu'ils ne sont pas à l'opposé les uns des autres et c'est sur son chemin de travail.
Je range la cuisine en attendant que ma tante nettoie les chambres des enfants.
Une fois fini on se pose au salon Sara est dans les bras de sa mère je compose le numéro de ma mère et avant de mettre en mode haut parleur je l'a demande si elle est seule.
Je les raconte ma discussion avec Saïd si on peut appeler sa comme ça vu que c'est monsieur qui a parlé moi je n'ai fait que l'écouter.

Ma mère: je me demande pour combien de temps il allait te laisser faire à ta guise

Moi: quoi maman il a accepte mes conditions avant de dire oui il a voulu s'acheter bonne conscience donc il n'a qu'a accepter la situation

Ma tante : et toi est ce que tu fais ta part du marché et franchement je commence à regretter de t'avoir soutenu dans cet idée de mariage car tu ne peut pas être dans tous les champs en même temps tu t'imagines si un jour ton mari débarque ici en plein nuit te demandant alors que t'est a ton appartement qu'est ce que je vais lui dire

Ma mère: t'est resté une semaine hors de ton foyer si ça s'ébruiter que vont dire les mauvaises langues et que va pensée ton père tu sais que tes oncles continues à le fatigué avec le fait que il aurait pu te trouver mieux et dans la famille

Ma tante: répond moi et franchement si Oumar venait chez Ousmane à chaque fois sans Aby et qu'elle ne se soucis de leur bien être toi en tant que soeur d'Omar qu'est ce tu va dire

Moi: qu'elle n'aime pas sa belle famille

Ma mère: et le mari sera t il tranquille entre sa famille et sa femme voilà ce que subit ton mari et il est de ton devoir ne me parle même pas d'arrangement ou de condition quand vous avez dit oui devant dieu et les hommes il est de ton devoir et du sien de vous soutenir mutuellement

Ma tante: depuis votre mariage il t'a laisse ta liberté pesant que tu t'occuper de moi avec mon accouchement tu ne veux pas éveiller des soupçons sur tu sais qui mais avec ton agissement c'est le résultat que tu risque d'avoir car à force de chercher on risque de trouver

On continue de discuter un peu avant que je ne parte  pour l'hôpital.

Saïd

La maison est vide à mon réveil elle m'a préparé mon petit déjeuner avant de partir.
En route j'appelle ma mère pour l'avertir que je passe la soirée avec eux bien sur elle me demande si la femme sera la mais je répond que je ne sais pas encore.
Je me plonge sur mes dossiers c' est bientôt les vacances de décembre et une partie du personnel sera absente pour les fêtes.
Ma secrétaire vient m'informer de son départ je regarde l'heure il est 17h30. Je me dépêche aussi si je veux pouvoir me changer.
J'arrive à l'appartement qui est très calme je ne trouve personne au salon je vais prendre un bain et me changer. Je redescend pour prendre mon portable quand je vois Fatima assis au salon. Moi qui avait décidé de passer à l'hôpital ou chez sa tante je suis satisfait de voir qu'elle a pris mes mots au sérieux.
Moi : salam

Elle: bonsoir

Moi : t'est rentré depuis quand je n'est trouvé personne tout a l'heure

Elle : j'étais dans ma chambre

Moi : OK allons y

Le chemin jusque chez mes parents se fit en silence.
C'est ma mère qui nous accueille et vu son sourire elle est heureuse de voire Fatima.
Arrivés au salin nous sommes face à presque toute la famille mes oncles mes tantes certains cousins et cousines. Ils se sont donnés le mot ou quoi ils viennent rendre visite à ma grand mère qui est revenu avant hier étant repartie en Arabie Saoudite une semaine après mon mariage.
Après les salam je vais m'installer avec Zain Djibril et mes beaux frères.
Je jette un d'œil de temps en temps en direction de Fatima qui est assaillie par les questions de mes grands parents et mes parents. Une tante a essaye de lancé un pic mais elle a été vite calmée par mon grand père.
Après le dîner on reste entre jeunes les parents sont dans un autre salon. Les filles sont un peu en retrait mais j'ai demande à mes soeurs de m'avertir car je connais mes cousines.
J'ai eu raison leur a fallu moins de trente minutes pour qu'elle commence à élever la voix.

Mon frère Imran: Yasmina pourquoi tu cries

Yasmina: c'est pas ces folles laisse tomber elles n'ont pas de vie c'est pourquoi elles s'occupent de celle des autres

Ibti : heu madame depuis qu'on lui a passe la bague au doigt se prend pour une sainte et pourquoi tu la défend on a rien dit de mal

Marwa: ça suffit....

Ekke se fait interrompr par une autre cousine de la bande à Dunya une autre l'interrompt. Pendant ce temps ma chère femme est plongé sur son portable.

Moi: la ferme (en haussant le temps) toi ibti tu prends trop tes aise avec moi je vous averti toute que se soit la première et la dernière fois que vous agressez ma femme avec vis stupidités je ne vous ai pas demande vis avis en l'épousant donc vos point de vue on s'en tape vous voulez être amis avec elle c'est votre problème vous ne voulez pas pareil

Dunya : mais on...

Moi :tu la ferme continuer et c'est mon mauvais côté que je vais vous montrer

Elle se lève accompagné de ibti Rayna et maïssa ça nous fera des vacances.

Pour détendre l' atmosphère Djibril demande à khadija comment se passe son stage mais à bien y réfléchir il aurait mieux fait de se taire.

Djibril: j'espère que ta tyran a décoincer  

Khadija lui fait les gros yeux mais ce con ne comprend rien aux signaux facial.

Djibril : attend fatima (cette dernière pour la première fois nous prête attention) est ce que vis stage en cardiologie se passe toujours ainsi khadija a une superviseur pire qu'un tyran et grincheux ça doit être une de c'est vielle en stade de ménopause

Zain se retient de rire face au tête de fatima et de khadija.

Djibril: ah belle soeur

Khadija attrape un cousin et le lui balance à la figure en lui criant de la fermée.

Fatima: je ne pense pas être une tyran ni vieux jeu ni en stade de ménopause

On a tous rient du malaise de Djibril on est reste un peu avant d'aller dire au revoir aux parents. Mes parents ont étaient ravi de voir fatima.

Femme à oncle Youssef: Saïd on espère voire ta femme plus souvent tu sais combien c'est
important si tu avait épousé une de chez nous le problème ne se poserai pas

Je ne lui répond même pas c'est la meilleur ami à la cousine de mon père nitre chère tante Yousra donc de sa part ça m'étonne pas.
On quitte la maison pour replonger dans notre quotidien.







Ils Nous Opposent Et Nous Unissent Où les histoires vivent. Découvrez maintenant