Chapitre 2

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Depuis l'événement du matin, les gens de Nauta restèrent dans le douloureux deuil. Bien que ils devaient garder le sourire pour la fête de se soir, les gens gardaient toujours la crainte de ce qu'avait dit la voyante, même si ils n'arrivaient pas à se rappeler une fois où cette dernière a réussi à prévenir quelque chose d'exacte. La fête allais commencer vers 17 heure du soir. Il va y avoir une grande table à buffet où tout les villageois de Nauta seront assis. Des mages sont invité de la capitale pour raconter l'histoire de la bataille contre les elfes noirs , il y a cent ans. Joffrey avait contribué, avec ses amis; Fred et Amanda, à préparer la fête. Ils avaient aidé les femmes, qui avait le devoir de préparer la soirée, à monter la banquette et les grandes tantes blanches. Une mini scène était placé vers le centre du terrain, pour que les mages y racontent leur histoires. Mais Joffrey n'avait pas cessé de penser à ce qu'avait dit Rachel. Celle-ci était encore là à se promener dans les rues du village et suppliait les gens de quitter la ville pour ne pas mourir, mais personne ne l'écoutais. C'est vers 16 heure, que Joffrey retourna chez lui pour se préparer pour la soirée. Il avait une veste de fourrure qu'il allait porter, ainsi qu'un chapeau. C'est son père qui lui avait offert, comme remerciement parce qu'il l'aidait à survenir à leur besoins en travaillant. La maison était très petite. Les murs était fait de bois brutes, et elle n'avait pas beaucoup de chauffage. Seul un foyer était placé dans le salon du ré de chaussé permettait de réchauffer la maison de deux étage. Mais les deux étages n'étaient vraiment pas grandes; le ré de chaussé contenait un divan, sur lequel dormais habituellement le père de Joffrey, lorsqu'il ne passait pas sa nuit dans un bar à se saouler. Le deuxième étage servait de chambre à Joffrey et à sa soeur. Dans le salon ornait la grande épée qui avait été donné de génération en génération de la famille. Le manche était fait de pièces d'or et d'argent, et était solide comme le roc. La lame, longue et brillante pouvait donner des frissons à quiconque juste à la regarder. Le garçon alluma le foyer, et e vêtis de sa veste. C'est alors qu'il tourna la tête vers la fenêtre. La vieille voyante, de l'autre côté de la rue, était debout sans bouger, tout en fixant Joffrey. Les frissons lui parcoururent le corps. La dame avait l'aire furieuse, comme si elle lui en voulait énormément. Joffrey se dirigea vers la porte, pour lui demander ce qui se passait, mais dès qu'il toucha la poignée, un mal de tête énorme s'empara de lui. C'était comme une énorme migraine qui venait d'éclater en une fraction de seconde. Le petit tomba au sol, se tenant la tête entre les mains. Des flashs rouges lui apparaissaient dans les yeux et un gros bruit puissant criait dans ses oreilles. C'était insupportable! Soudain, il vu une image; une grande fumée grise, presque noir. Elle ressemblait à un énorme nuage de tempête, mais deux fois plus épeurant. Joffrey avait l'impression qu'un vent puissant le repoussait si fort qu'il pourrait d'envoler s'il ne se retenait. C'est alors qu'il vit un visage. C'était un homme, peut être dans les bas-âges (environ 18-19 ans) . Une longue cicatrice passait de son front, vers son cou en diagonale. Sa peau était pâle et ses yeux d'un noir menaçant. L'homme s'avança vers lui,d'un pas lent, et le pointa du doigts. La main approchais, et dèsqu'il toucha Joffrey, le petit se réveilla, couché au sol, en sursaut. La douleur avait disparu. Tout en sueur, Joffrey se releva, doucement en se demandant ce qu'il venait de se passer. Il toucha son front en se demandant si la douleur était totalement partie, ce qui était le cas. Il pris la poignée dans ses mains et ouvris lentement la porte. La lumière du soleil l'éblouissait, l'empêchant de voir devant lui. C'est alors que , après quelques secondes, qu'il vit la voyante, directement devant lui ce qui le fit sursauter à nouveau.

-Qu'est-ce... heum... oui? La dame plissa des yeux tout en le fixant d'un regard malaisant.

-Tout ce village va être détruit, tué, décapiter... Tout ça à cause de toi..? Dit elle

-Quoi? mais... je n'ai rien fait moi... La voyante lui mit la main sur sont front tout mouillé de sueur.

-Tu l'a vu... Joffrey plissa des yeux, sans comprendre de quoi elle voulait parler.

-de quoi? Qui?

-Le premier des trois! Un des tiers! et il t'a touché?

-mais... De quoi parlez vous?

-C'est ce que je craignait... dit la vieille en fermant les yeux, après avoir retiré sa main de son front. Nous sommes fichus, comme le monde l'est depuis ta naissance! Joffrey la repoussa et recula.

-Laissez moi tranquille espèce de vieille folle! Et allez faire peur aux autres!.. Le petit regretta rapidement son arrogance en voyant tout les passants se retourner vers eux. La voyante recula en replaçant ses vieux cheveux gris et sales.

-C'est ça! C'est exactement ça qui mènera le monde à sa perte... cette impatience et cette violence que tu garde en toi...

-Hé! , laissez ce petit tranquille! dit un garde en arrivant de l'autre bout de la rue dans sa grande armure dorée. La vieille fixa Joffrey d'un regard noir et partit d'un pat hésitant. Le soleil commençait à descendre doucement dans le ciel et le temps restant avant la fête du soir ne cessait de diminuer. Le garde rejoignit le petit.

-Ça va mon gar? Elle ne t'a pas trop fait peur?.. ne t'inquiète pas, elle n'a pas toute sa tête...

-euh.. non non... c'est bon je vais bien... Fred arriva en courant.

-Joffrey! Les mages du rois sont arrivé! viens voir! vite!

-Quoi? dit ce dernier, ayant encore le reste de sa migraine dans la tête. Les deux allèrent à la porte de la ville, où se regroupaient plein de villageois, attendant l'arrivée des invités. Sur la muraille, un homme se mit à souffler dans une grosse trompe, faisant un gros sons grave qui résonna dans tout le village. Les deux grandes portes de bois s'ouvrirent alors lentement et une énorme bannière bleue s'étala dans les airs. C'est alors que trois gardes du village arriva en courant et en poussant la population pour créer un chemin.

-Attention, poussez vous tout le monde! poussez vous!, criaient-ils. Joffrey et son ami se retrouvèrent coincé entre tous, sans pouvoir voir devant eux. Les garçons se faufilèrent et grimpèrent sur le pied d'une statue de pierre qui ornait la grande place. Le ciel commençait à s'assombrir et le vent à se rafraîchir, quand soudain, une cabine blanche et dorée, traînée par deux chevaux fit son entrée. Les chevaux portaient une belle armure d'argent, avec des pièces d'or sur les deux côtés de la tête de l'animal. C'était une charrette riche, que seul des personnes du gouvernement royal pouvait se permettre d'acheter. Les gens, tous époustouflés par la qualité du chars n'arrêtaient pas de la fixer, sans bouger. Les chevaux avança et s'arrêtèrent, une fois à l'intérieur des murs. Le conducteur sauta au sol et se dépêcha, sous les yeux de tous, d'ouvrir la porte de la charrette. Il eu un silence. Le suspens régnait. Tout le monde avaient hâte de voir les mages, qu'il n'avaient pas vus depuis peut-être cinquante ans... C'est alors qu'un homme sortit. Il portait une longue veste blanche qui descendait jusqu'au sol. Il avait une longue barbe grise et des rides, probablement à cause de son vieil âge, un peut partout sur le visage. Deux homme sortirent ensuite. Les deux était vêtus de vêtement un peut plus modernes, mais portaient eux aussi une sorte de longue veste blanche. Un homme arriva en courant et déroula un long tapis rouge, passant de la charrette vers la grande table où allait se dérouler la fête du soir. La population se mis alors à applaudir, tous fiers d'accueillir des personnes aussi importante chez eux. Le vieux mage se nommait Veteris, le Sorcier. Il occupe une place très importante dans la communauté des sorcier; il est un des plus vieux sorcier, et est le deuxième à avoir connu la fin de la guerre, il y a cent ans, parce que oui, grâce à leur magie, ils peuvent vivre au dessus de l'âge moyens des humains normaux. Les deux autres sont ses apprentis; Filius et, le plus vieux des deux; Trez. Ils étaient peut-être âgés d'environ 25-30 ans et leur regards profond donnait des frissons aux gens qui osaient les dévisager. C'est alors que Trez, un des deux apprentis, tourna la tête directement vers Joffrey. La migraine refrappa le petit, et le fis tomber au sol. La lumière qui entrait dans ses yeux lui donnait l'impression de recevoir des coups de poings, un à la suite des autres en pleine figure. Fred se pencha vers lui en se demanda ce qui venait de se passer.

-Joffrey..? Ça va? Ce dernier tenait sa tête entre ses deux mains, incapable de subir cette douleur plus longtemps. Il se mit à crier, si fort que la foule se retourna vers lui.

-Joffrey!? dit Fred, inquiet. Ce dernier pris la mains du petit, quand soudain, une grande lueur bleu apparut entre les deux jeune, juste avant de faire projeter Fred loin dans les airs. Il atterrit plus loin en se cognant violemment la tête contre le sol, juste devant le grand sorcier Veteris.

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