Des gros bruits d'orages qui donnait l'impression de fissurer le ciel en deux éclata. Le ciel était d'un gris obscure, ne laissant pas la lumière se glisser à travers les gros nuages opaques pour atteindre le sol. Le sol, lui, n'habitait aucune nature. Il était sec et dur, séché sans aucune trace de vie. Quelque chose était arrivé... Quelque chose de gros, très gros... Les ruines d'un village reposait à gauche d'un cours d'eau asséché. Il avait été détruit... brulé... mais plus personne ne pouvait y vivre maintenant. Les maisons étaient tous au sol, les murs défoncés laissant visible les cadavres tous décomposés des habitants. Un grand arbre était au cendre de la grande rue toute démolie. Il n'avait, lui non plus, survécu à ce qui s'était passé. Il devait avoir plus de trois- cent ans cet arbre, mais il était la, couché au sol, le tronc noir brûlé et avec aucune feuilles. Un autre tonner rugit, et le vent se leva soudainement, faisant envoler la poussière, ou les cendres, qui habillait tout le village. Joffrey s'approcha de l'arbre mort, sans se poser la moindre question... C'était comme si c'était automatique, comme si il sentait le devoir de l'approcher. Il était si grand, et si impressionnant. Il l'imaginait, debout au milieu de la grande avenue, feuillu de belles couleurs vives, voyant chaque recoins du village. Le petit déposa sa main sur la dépouille de celle-ce et ferma les yeux, quand tout à coup, il entendit un pas derrière lui. Il se retourna et sans s'en rendre compte, il sorti une grande épée d'un fourreau qu'il portait sur lui. Une femme se tenait devant elle. Elle était si belle, de longs cheveux blonds descendait jusqu'à la moitié de son dot et elle avait de beaux grands yeux bleu mers. Son visage était lisse, et ses lèvres d'une perfection indescriptible. Elle portait une grande robe bleu magnifique qui traînait derrière elle qui donnait l'impression au petit de projeter une illuminante lumière qui lui obstruait un petit peut la vue. Joffrey se sentait hypnotisé par cette beauté, ce qui le paralysait. Il tenait toujours son épée levé vers elle et sentait son désir de l'abaisser.
-Qui... qui êtes-vous...? dit-il d'une voix tremblante. Elle le regardait dans les yeux, avec ses magnifiques yeux bleu ce qui lui faisait battre le cœur à mille à l'heure. Le petit avait peur, peur que sa beauté soit en fait son arme... mais il ne comprenait pas pourquoi il était autant sur ses gardes.
-Qui je suis n'a pas d'importance Joffrey. Dès qu'elle prononça son prénom, le petit abaissa son arme, sans âtre capable de s'en empêcher. <<Elle est un ange des dieux, ce disait le petit, éblouit par la femme>>
-Comm.. comment me connaissez vous..? La dame avança vers lui, mais Joffrey recula d'un pas, encore dans le doute.
-Je suis l'âme de cet arbre... Celui que tu avait l'aire de tant apprécier,et je suis la déesse de la sagesse, Sapientes. Je le savait! C'est un ange! se dit Joffrey les yeux posés sur elle.
-Une... une déesse..?
-Joffey... Ce que je m'apprête à te dire est d'une importance cruciale pour le destin d'Orbis et pour le tiens.
La Déesse s'avança encore vers lui.
-Tu vois autour de toi..? dit elle. Joffrey profita de sa beauté encore quelque secondes avant de bouger son regard vers la ruine qui les entouraient. L'arbre effondré au sol lui fit doublement pitié cette fois, mais il n'arrivait pas à savoir pourquoi. Il vit le ciel gris, presque noir, qui cachait la lumière du soleil et plongait le monde dans l'obscurité. Un autre tonner éclata, encore.
-Que c'est-il passé..? je veux dire... pour que tout sois mort... comme ca... Il n'y a même plus d'herbe, de gazon, d'arbre... tout est mort... partout... dit le petit. La déesse soupira en levant à son tour don regard vers le décor horrible.
-Tout cela ce que tu vois actuellement est le résultat des choix que tu va faire dans le futur... Tu va te laisser manipuler par de mauvaises personnes, ce qui va te pousser à faire des chose, qui vont te sembler juste, mais qui vont enfaîte détruire ce monde.
VOUS LISEZ
Orbis
FantasyL'univers d'Orbris fêtait ses 100 ans de fin de guerre! La population était là, dansant, buvant, chantant tous en cœur sous la grande pleine lune en l'honneur de la race Elfique qui c'est sacrifié pour les hommes et pour les 600 sorciers qui ont pér...