/~Renaissance~\

/~Chapitre 4~\

Point De Vue de Délilah :

Se soir je suis ailleurs. Je pense à touts les événements qui se sont produit aujourd'hui et cela me distrait à un point que j'ai oublié de manger, tant pis j'ai pas faim.

Je repense particulièrement à Lui. Ses yeux bleu, ses cheveux indomptable avec lesquels il se bat pour qu'ils tiennent en place, son corps élancé et fin, sa voix...

Je me rend vite compte que je pense à Lui alors que je ne connais même pas son prénom et cette pensée me chiffonne.

Putain mais qu'es qui m'arrive ?! Je pense à un garçon ! Je déteste les garçons ! Et je ne veux surtout pas savoir le prénom de l'autre con.

Comment j'ai fait pour le décrire autant en détails alors que je suis persuader de ne pas avoir fait attention à ce spécimen masculin ?

Je me jette en arrière sur mon lit et je ferme mes paupières. Des milliers de questions se bouscules dans ma tête mais je fini par m'endormir à cause de l'activation soudaine de mon cerveau.

Je me réveil en avance ce matin pour avoir le temps de me laver.

Après ma douche je contemple mon corps. Mes yeux dérivent sur pleins de séquelles que m'ont laisser ces montres, ainsi que des séquelles que j'ai moi même choisi d'ajouter. Je ne suis pas grosse, non, mais le fait de me faire maigrir me permet de me sentir plus légère et plus libre. De toute façon personne ne verra jamais mon corps hideux. Je prend mes vêtements de la veille et les enfiles.

Ce matin je choisi de ne pas manger. Je part donc en avance pour le lycée.

Après avoir marcher même pas 5 minutes je voie un groupe de filles plutôt malais-ante (je sais pas vous mais perso c'est pas mon délire de marcher dans la rue en ressemblant à un feu orange) s'approcher de moi. Je ne perd pas ma cadence et continue de marcher.

Mais en arrivant vers le parc au niveau ou l'entré du lycée et cacher par des buissons je sens un choc me propulser en arrière. Je tombe à la renverse et en relevant la tête je remarque que c'est le groupe de mesdemoiselles feus de signalisations qui sont la cause de ma chute. Dans ma tête je rigole en voyant leur tête de chihuahua mais ma penser et tout de suite remplacer par une vive douleurs situer au niveau de mon ventre. Je secoue la tête et lâche un râle de douleurs.

Mais j'ai fait quoi pour mériter ça ? Dans ma tête cette question tourne en boucle et je revois la tête du gars d'hier choqué après avoir reçu une baffe de ma part. D'un coup une des beurette commence à me parler, dents serrer pour montrer sa colère et sûrement pour éviter de crier : « -Tu ne t'approche plus de lui. Tu as bien compris la nouvelle ?

-Mais de qui tu parle ? Répondit je faiblement

-Fait pas l'innocente salope !, elle hurle maintenant, Tu sais très bien de qui je parle ! Je t'ai vu l'attirer vers le banc a l'arrière du lycée ! »

Je ne répond pas. Elle parle de Lui. Cela me retombe dessus alors que c'est Lui qui ma suivi. Je me lève ne regardant pas les filles qui sont autour de moi. Je me redresse faiblement et me retourne comme si il ne c'était rien passer, mais elles ne sont pas de cet avis. Une des filles du groupe sûrement un caniche de la populaire me pousse encore une fois violemment en avant. Je remarque que mes coudes et mes mains sont bien amochées. Je contracte mes muscles prête à recevoir des coups.

Bien sur vous pouvez très bien me dire que je peux me défendre etc., mais si j'ai bien appris une chose pour devenir invisible c'est de fermer ça gueule. Alors évidement je ferme ma gueule et je ne fait aucune actions stupides qui pourraient me coûter ma discrétion.

Finalement les filles on décidé de me laisser. La sonnerie a retentit peu de temps après. Pour ne pas être en retard je fait un tour vite fait au toilettes juste pour dire de nettoyer le sang sur mes mains, tant pis pour mes coudes. Je sort en courant et arrive pile au moment ou le prof ferme la porte, je rouvre alors doucement la porte et rentre tête baissée, il ne fait aucun commentaire et je part m'asseoir à ma place toujours le regard vers le sol. Une fois installée je sens qu'une personne me regarde et bien sur, je n'ai besoin que de faire pivoter mes yeux vers la droite pour remarqué que c'est Lui