Aileen - Battu Par Mon Mari

28.

"N'attend pas d'être bien pour prier, prie pour être bien."

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- Tu es couples, ok. Mais sache que ton coeur tombe malade il s'attache vite, il tombe très vite amoureux mais wAllahi le jours où l'un d'entre vous s'attache fortement, et que l'un d'entre vous décide d'arrêté, ça ferra très très mal et dur à soigner. Tu ne mangeras plus, tu seras agressif, les gens voudront même plus te côtoyer car le courant ne passeras plus. Je sais de quoi je parle mes enfants je suis passer par là.

Elle se tu, laissant un silence naître dans la salle puis reprit doucement.

- Mon fils craint Allah, ne dit pas des paroles dans le vent, si tu aimes ma filles, agit. Passe à l'acte car abîmer un coeur est la pire chose à faire. Patienté, endurer, invoquer Dieu il vous répondra quelque soit le temps de la réponse car Dieu répond mais éprouve. Si c'est votre destin de finir votre vie ensemble, ainsi soit-il. Sinon qu'Allah vous accorde le meilleur des hommes et femmes qui vous conviennent.

- Amîn, répondit Jafaar

Moi: Amîn..

Je sourit doucement. Elle avait vraiment l'air d'apprécier Jafaar pour mon plus grand bonheur. J'étais comblé. Heureuse. Tout ce que vous voulez mais mon coeur débordait de joie. Ils s'entendaient à merveille. Ma mère ne cessait de le complimenté et de nous faire toute sorte de rappel. Jafaar tel un parfait gendre, écouté attentivement en acquiescant.

Une complicité naissais entre ces deux là. Ils parlaient de tout et de rien en rigolant parfois. Je m'étais mis à l'écart en les laissant un peu entre eux pour qu'ils se connaissent davantage. Un sourire au lèvre je les regardais rigoler après une replique de Jafaar. On aurait dit mère et fils. J'ai trouvé ça tellement mignon. Moi qui appréhender, eh bien je suis ravi. Asrar dans les bras je lui donna le biberon. Elle me regardait avec ses gros yeux comme si elle me voyait pour la première fois. Ses yeux vert me font perdre les mots à chaque fois. Je m'y habituerai sans doute jamais. Ses magnifique perle émeraude. Les même pairs que son père. Ah Chems..

Un bruit se fit un entendre. La porte d'entrée s'ouvra. Deux voix d'homme se mit à résonnait dans l'entrée de l'appartement. Des pas puis plus rien. Je tourna la tête et je vis Chems et Baba à l'entrée du salon. Celui ci resta figé quand il vit Jafaar et ma mère côte à côte entrain de discuté. C'est comme s'il venait de recevoir un couteau en plein coeur. Je me leva, Asrar toujours dans les bras et alla faire un bisou sur le front de Baba. Il me sourit et alla serré la main de Jafaar qui se crispa quand il vit Chems à son tour. Il me regarda rapidement, je lui lança un petit sourire pour le rassuré puis il reporta son regard sur Chems. Fallait s'y attendre. On était chez lui, dans mon ancien chez moi donc forcément on avait 90% de chance de le croisé.

- Salam W'Aleykoum mon fils, dis Baba en s'adressant à Jafaar en souriant chaleureusement

- W'Aleykoum Salam 3ali, répondit celui ci

- Labess?

- Hamdûlilah, Hamdûlilah je rends Grâce au Tout Puissant et vous 3ali?

- Hamdûlilah mon fils

Il s'assit près de ma mère et se mit à parler à Jafaar. Je donna Asrar à ma mère et m'éclipsa dans la cuisine. Je prépara rapidement du thé, et fis réchauffé les gâteau que ma mère avait préparé plus tôt dans la journée. Je m'activais, quand soudain je sentis une présence dernière moi. Je reconnaîtrais son parfum entre mille.