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Chapitre Spécial Noël

Joyeux noël à tous pour vous un chapitre spécial  ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! !
Regardez la déo merci !

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Noël une fête commerciale sans intérêt où les commerçants se font énormément de cash en persuadant les consommateurs d'acheter leur produits pour la fête de Noël.  Pour les enfants sache, qui n'ont pas fait de bêtises,  pour eux Noël est une fête pour les récompenser mais c'est aussi une occasion pour les parents de dire aux enfants que s'ils sont pas sage ils finiront sur la liste des enfants pas sage du père et que si au contraire ils sont des petits anges ils pourront faire une liste de cadeaux pour les récompenser d'avoir été obéissant,  mais la vérité c'est que tout ça c'est du mensonge ! Combien de fois ai je écrit au père Noël lors de mes années de collège?  Combien de fois ai je souhaité remonter le temps pour revoir mes parents ? Quel genre d'enfants perd ces parents un 24 decembre dans un accident de la route d'où vous êtes le seul survivant ? Moi Seijuro Akashi je suis ce genre d'enfants,  à mon entrée au lycée j'étais déjà indépendant vivant seul, oubliant mon passé,  avec une fortune faisant pâlir des tas de milliardaires et millionnaires réunis.  Mais que faire de tout cet argent à seulement 16 ans ? Rien su tout.  Je n'étais pas comme ces ados qui auraient invité leur copine au restaurant,  j'étais tout simplement gay, je l'assumais mais personne n'attirait mon attention . J'aurai pu m'acheter une voiture mais a quoi bon , j'ai une société " Car Akashi Industrie " . J'aurai pu faire tellement de choses enfantines et inutiles mais non, je n'étais pas un adolescent normal, je n'étais pas comme eux , j'étais différent depuis que je sais marcher mes parents me le disait tout le temps surtout ma mère. 

Elle était d'une beauté ravageante, Rin Akashi etait la femme, la plus puissante au Japon ainsi qu'en Amérique,  son cabinet était très célèbre et réputé pour n'avoie jamais perdu un seul procès,  toutes leurs affaires remportées avec succès.  Autant bien innocents comme coupables, elle était grande, un corps fin du a son mannequinat plus jeune, son visage doux n'était qu'un leur, elle était effrayante,  sadique, folle par moments mais elle a toujours été une mère pour son fils, etant à l'écoute et attentionnée,  elle lui a fait découvrir sa passion pour le basket et la musique il aimait sa mère plus que tout au monde, c'était son modèle.

Mon père,  quant a lui je ne peux dire si on a eu une relation père~ fils, les seuls fois où lui et moi échangions des mots c'était pour parler de mon comportement,  mes résultats scolaires et quelques fois de mon loisir. Mais, quand la situation l'exigeait il a été là mais a sa manière , je me souviens d'une fois où je suis tombé du toit j'avais cinq ans, mère était absente et il n'y avait que père,  les domestiques ayant été congédié,  j'avais très mal ce jour, tellement que je ne pouvais plus marcher. Mon père alerté par mes cris qui le derangeaient sans doute est venu me voir et pour la première fois, j'avais vu de l'inquiétude a mon propos dans ces yeux,  malgré le court instant que j'ai vu, il m'a soulevé et pensé ma blessure après est parti, je me suis dit que c'était déjà bien qu'il soit venu et j'ai essayé de m'endormir sans succès tournant et tournant dans mon lit , un peu plus tard mon père entra dans ma chambre avec un plateau il y avait une salade de fruits ainsi qu'un steak aux petits pois fins accompagné d'haricots il m'aida a manger et j'eus droit à un milshake ce qui est rare, a la fin il m'a pris dans ces bras et je m'y suis blottis complètement c'était la première que j'avais droit à une etreinte de la part de mon père et j'en profitais, sa main qui me caressait les cheuveux était toute douce. Je me suis endormis, a mon réveil il n'était plus là mais mon petit déjeuner si, je remarquais que j'avais un nouveau bandage mais mieux ça m'empêchait de marcher, je suis donc resté dans la chambre toute la journée,  en fin de soirée mon père venait et refit exactement comme la veille, ce fut ainsi durant une semaine, ma mère étant rentré et depuis mon père venait tous les soirs et m'embrassait délicatement le front. Finalement ma relation avec mon père était banale.