Is It Scary ? [ Michael Jackson ]

Bonus

       

Vu que beaucoup de dames ont demandées une scène de décoinçage entre Anna et le Maestro, j'ai décidé d'en faire une ( parce que j'suis une fille gentille ui ui ) hors fiction. Parce que je trouve que la fiction est trop... Soft pour accueillir un tel chapitre !
Donc pour les personnes gênées, je vous déconseille de lire la suite parce que Michael va sortir Mikezilla le puissant !

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Anna se regardait dans un miroir, l'air amusé. Pendant que le Maestro s'était assoupi, elle lui avait volé son si joli chemisier blanc qu'il portait toujours. La vie était devenue paisible au manoir. Elle commençait à apprécier le calme, ainsi que sa complicité avec Michael.

Tout en s'admirant dans le miroir avec le vêtement de celui-ci, elle s'amusa à tournoyer, le faisant voler. Jusqu'à sentir deux mains sur ses hanches la faisant stopper net.

-          Bouh.

Elle sursauta en apercevant le Maestro qui avait fait son apparition à ses côtés.

-          Ah ! Idiot, j'ai faillis tomber ! s'indigna-t-elle faussement.

-          Ça vous apprendra à me voler ma chemise ! J'ai froid maintenant.

Il se mit à rire, mais elle ne put s'empêcher de rougir. Il ne semblait pas du tout gêné de se retrouver torse nu devant elle. C'était d'ailleurs la première fois qu'elle le voyait ainsi. Il finit par la lâcher et s'assit au bord du lit, tandis qu'elle se tournait de son côté pour lui faire face. Et petit à petit, elle se mit à déboutonner le chemisier sous les yeux étonnés du Maestro.

-          Oh... Anna, que faites vous voyons, vous n'êtes pas obligés, bégaya-t-il avec empressement.

-          Mais vous avez froid...

Il ne sut quoi répondre, et la regarda simplement faire, les yeux écarquillés et les joues en feu. Il avait déjà pensé à elle de cette façon, mais n'avez jamais osé quoi que ce soit. Il avait peur de la briser entre ses grandes mains, Anna semblait si fragile à ses yeux.

Peut-être pas si fragile que ça. Après tout, ils étaient là pour l'éternité, et elle l'aimait. Et Michael semblait toujours si timide à son contact. Elle voulait lui montrer qu'il pouvait la toucher, qu'il pouvait tout faire et qu'elle lui appartenait. Elle n'y voyait qu'un seul moyen.

Elle lança la chemise sur le lit, mais le Maestro ne détacha pas son regard de la jeune fille. Elle était là, presque nue, une culotte pour seul vêtement. Une chaleur, longtemps restée enfouie, naquit dans son bas ventre alors qu'elle finit par s'approcher avec lenteur.

-          N'ayez pas peur, Michael, murmura-t-elle en posant un genou sur le matelas, juste à côté de la jambe droite du bouclé.

Elle parlait avec une telle assurance. Avait-elle déjà fait se genre de chose dans sa vie ? Il ne voulait pas le savoir, de peur d'être jaloux. Il savait tout simplement qu'elle se donnait à lui. Qu'elle était à lui.