Imagine

JadeLajeunesse

Cela fait maintenant trois mois que je suis un coyote et je n'arrive toujours pas à me contrôler. Stiles m'aide beaucoup mais ça ne change rien. Ce soir il y a une nouvelle pleine lune que j'appréhende beaucoup.

Stiles: Jade, tu m'écoute?

Moi: Hein, quoi? tu disais?

Stiles:  Rien, laisse tomber.  Tu stresse pour  ce soir.

Ce n'était même pas une question, il le savait. En même temps ça se li sur mon visage. Il me regarde puis fini par me prendre dans ses bras. Je niche immédiatement ma tête dans son cou tandis qu'il pose sa tête sur la mienne et me caresse le dos en un geste rassurant.

Stiles: tu sait ma belle tu n'as pas a t'inquiété, je suis et serais toujours là.

Moi: Merci Stiles.

*Ellipse de l'après-midi*

je rentre dans cette cave au murs délabrés et aux chaines rouillées. Stiles, qui me suivait, m'attache au mur et se place en face de moi pour me parler.

Stiles: Tu vas y arriver.

*ellipse du début de soirée*

La pleine lune commence a prendre le dessus sur ma bonne volonté et je me débat de plus en plus. Les chaines finissent par lâcher et je saute sur Stiles. Ma main se soulève et juste avant de le tuer j'entends sa voix.

Stiles: Jade! Fait pas ça !

Ma main s'abat sur lui, l'assommant. Je me relève et cour le plus loin possible. Mon dernier souvenir est un bus, des humains, et du sang. Beaucoup de sang.

Je me réveille dans le bois. Je suis couverte de sang, humain si je ma fie a l'odeur. Au mon dieux!!! Des corps, partout!! Je me lève et cour, les larmes ruisselant sur mes joues.

Les jours passent, et je reste dans cette cave. La meute est venue tellement de fois pour me dire que ce n'était pas ma faute, que je ne les comptes plus. Je suis un monstre, une abomination. Stiles ne voudras sûrement plus jamais de moi. Un couteau ruisselant d'aconit m'attend. Moi, le monstre. Je le prend et trace un, puis deux, puis trois traits sur mes poignets. Puis je repose l'arme, et attend. N'attend la fin. Des coups a la porte. Je l'ouvre.

Moi: Stiles...

Et je tombe.

Mes paupières lourdes de sommeil s'ouvrent, puis se referment presque immédiatement. La lumière, aveuglante, est diriger vers mon visage. Je suis morte? Non, j'entends sa voix. Lui est bien vivant, donc moi aussi.

Stiles: Jade, je t'ai vu ouvrir les yeux.

Je me redresse d'un coup et le sert dans mes bras. Mes larmes coulent tandis qu'il passe ses bras autour de par taille et qu'il me test contre lui aussi fort que possible. Je sens une larme sur mon épaule et resert mon  étreinte, ma tête enfouis dans son cou.

Stiles: ne le fait plus jamais ça.

Moi: promis.

Et il m'embrasse, faisant passer tout son amour a travers ce baiser.

Quelques semaines plus tard j'arriver a controler mon coyote mais il ne fallait pas trop toucher a min chéri...